LA PLANÈTE DES SINGES : L'AFFRONTEMENT (Matt Reeves)

La Planète des Singes : Les Origines de Rupert Wyatt fut l’un des plus gros succès de 2011 avec plus de 480 millions de dollars de recettes au box-office mondial.

Le tournage de la suite, intitulée Dawn of The Planet of The Apes et réalisée cette fois-ci par Matt Reeves (Cloverfield, Laisse-Moi entrer), va commencer dans quelques semaines.

Le synopsis :

Andy Serkis reprendra le rôle de Caesar.

A ses côtés, la distribution réunira Jason Clarke (vu récemment dans Zero Dark Thirty),

Kodi Smit-McPhee (que Matt Reeves avait déjà dirigé dans Laisse-moi entrer)

et Gary Oldman dans le rôle du chef d’une colonie d’hommes.

La date de sortie française a été fixée au 30 juillet 2014.

Matt Reeves. Noooooooooon.

« Cloverfield » n’était franchement pas terrible.

« Regardez, je vous fais le coup de la caméra qui tremble pour vous donner l’illusion d’être au coeur de l’action. »

Pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff.

Je ne parle même pas de « Laisse-Moi entrer ». Dommage, le premier film était bien sympa.

Moi j’avais bien apprécié Cloverfield donc je ne suis pas plus inquiet que ça.
Et puis c’est pas comme si j’étais un fan de la planète des singes…

J’ai du voir un unique film de ce très très long filon qu’est la planète des singes, celui de Tim Burton et si à l’époque je l’avais plutôt apprécié, ces suites de reboots interminables ne me tente franchement pas.

la fin du dernier opus le laissait bien supposer… et étant donné qu’il m’avait fait bonne impression, j’irais voir le suivant sans doute…

Je me rends compte que tout ce que j’ai vu de la Planete des singes, c’est la parodie version comedie musicale des simpson.

« Doctor Zaius Doctor Zaius »

Ca m’a plus marqué que la saga d’origine en effet ^^ mort de rire.

Nouvel ajout au casting : Keri Russell (Felicity, The Americans)

La première image officielle :

http://img17.imageshack.us/img17/568/7i9b.jpg

Regardez le tout premier, celui avec Charlton Heston. Complètement énorme. Et l’une des meilleures chutes du cinéma de science-fiction. (Et scotchez la bouche de ceux qui voudront vous raconter le film…)

:wink:

Jim

J’ai vu ça à l’époque de La Cinq. J’étais pas vieux, mais ça m’est bien resté en mémoire !

La chute du premier film était d’ailleurs absente du roman originel signé Pierre Boulle, elle a été pondue pour le grand écran par Rod Serling (« La Quatrième Dimension »), un spécialiste en la matière…
Une des fins les plus énormes et les plus pastichées de l’histoire du cinéma.

Profitons de l’occasion pour signaler qu’aucun film n’a jamais réellement adapté le roman : ils en ont tiré un contexte général, mais la chute du roman n’a jamais été reprise, non plus que la parabole qu’elle sous-tend.

Il y a deux-trois ans, j’ai eu le plaisir de revoir le film avec quelqu’un qui ne l’avait jamais vu, ou en tout cas qui ne s’en souvenait pas. Et quel plaisir de voir le choc de la révélation sur son visage.

Jim

qui l’avait chipée sur une couve de pulp, d’ailleurs.un fantastic universe science fiction de 1953.

Ah ça, j’ignorais. Intéressant !

Yope, le numéro de Septembre 1953, je crois bien.

Août-septembre, très précisément.
Accessoirement, c’est une couverture d’Alex Schomburg, célèbre aussi pour ses couvertures de comic books, notamment sur Marvel Comics.

(Ceux d’entre vous qui n’ont pas vu le vieux film avec Charlton Heston, ne cliquez pas sur la bannière spoiler, si tant est qu’elle fonctionne… et apparemment, elle ne fonctionne pas, tonnerre de sort…)

Le même Schomburg reprendra le principe pour une couverture d’Amazing Stories de février 1964.

Ça, c’est pour le côté « sable / dune ». Pour le côté « mer qui monte », on peut remonter au roman de John Bowen, After the Rain, sorti en 1958, et dont deux éditions, celles de 1959 et 1965, présentent le thème bien connu.

Et la plus vieille occurrence, à ma connaissance (mais je pense qu’il est peut-être possible d’en trouver d’autres) du thème de la Statue laissée à l’érosion et au déclin, on la trouve sur la couverture d’Astounding Science Fiction de février 1941, peinte par Hubert Rogers.

Tout ceci nous menant à Kirby, bien entendu.

Et là, s’il est évident que la naissance de Kamandi vient de la volonté de DC (et d’Infantino) de surfer sur la vague de la Planète des Singes, et puisque l’on sait également que l’idée d’un monde post-apo traîne dans la tête de Kirby depuis une douzaine d’années déjà, on peut légitimement imaginer que certaines idées lui proviennent autant, voire davantage, des pulps que de la vision du film. au mieux, le long métrage n’aura fait que réveiller les envies graphiques de Kirby.

Jim

La première bande-annonce :

Il parait mieux que celui d’avant (les origines)