LES PROJETS AVORTÉS

Je détestais…

Oui, un petit bijou animé qui n’avait pas peur d’aller très loin dans l’hommage aux récits de l’**Age d’Argent **(au point de les adapter sur le tard). Mais le véritable intérêt de la série, c’était sa manière de développer un catalogue exhaustif et fidèle de l’univers DC Comics, fun et plaisant pour les jeunes; avec un traitement assez finaud de Bruce Wayne (ou l’absence d’icelui) (encore une fois, l’épisode de noël est un must see dans mon souvenir).

Même si les dernières séries en date de Marvel/Disney visent clairement un autre public (avec répétition des catastrophes et des vilains pour pas le perdre) et que DC Comics se complait à adapter maladroitement ses propriétés nioufiftitou dans des films à l’animation catastrophique, on a eu quelques produits de qualité au fil des années.

Il n’est pas si loin le temps où la malicieuse **Young Justice **passait à la télévision. La dernière Star Wars fonctionne bien (apparemment). Malgré son animation particulière, Beware the Batman était la digne descendante de l’ère Timm/Dini. Dans le même ordre d’idée, Green Lantern se laissait regarder sans trop de déplaisir. Et puis il y a le dernier film **Justice: Gods ans Monsters **qui, loin d’être la surprise espérée, est une véritable bouffée d’air frais face au reste de la production et laisse présager une suite des plus sympathiques (avec le deal Machinima).

C’est vrai que la série Green Lantern est pas mal, et ne colle pas trop au comic book pour laisser une certaine liberté tout en faisant plaisir au fan !

La Star Wars est pas mal, ouais, y a une bonne dynamique !

Pour continuer dans la même veine, voici un autre projet inabouti de ce bon vieux Rob :

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The Hood (Rob Liefeld/Eazy-E)

Au début des 90’s, le créateur star de Cable et Deadpool, fait la rencontre de Eric Lynn Wright dit « Eazy-E » connu en tant que membre du groupe musical N.W.A. (autrement dit « Niggaz Wit Attitudes », qui refait l’actualité grâce au biopic NWA : Straight Outta Compton qui a cartonné au box-office américain et qui débarque cette semaine dans les salles françaises) et comme grande figure du courant du gangsta rap, popularisé par Tupac entre autres.
Les deux hommes se rencontrent au moment du lancement du premier numéro de Youngblood, et vu que Easy-E était manifestement fan de Liefeld, il lui proposa une collaboration commune avec la création d’une toute nouvelle série baptisée « The Hood » consacrée à un gang urbain de surhommes.
Le projet fut de courte durée puisque il a été stoppé net par le décès du rappeur.

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source: bleedingcool.com

Eh beh sacré Eazy Z, ça ne m’étonne qu’à moitié

…[size=85]Illustration de couverture réalisée par Gerard Way.[/size]

DOOM PATROL de Gerard Way et Becky Cloonan.

Il y a certains (jeunes) auteurs qui se battissent une solide réputation à partir de presque rien. C’est le cas par exemple de Gerard Way, musicien accompli et scénariste de comics confirmé, adoubé par des personnalités comme Grant Morrison et Neil Gaiman avec seulement deux œuvres « et demie » à son actif (les excellentes Umbrella Academy: Apocalypse Suite et Umbrella Academy: Dallas ainsi que la mini-série The True Lives of the Fabulous Killjoys).

Seulement deux et demie parce que le bonhomme est malheureusement très occupé avec ses tournées musicales comme il l’avoue lui-même. D’ailleurs, si on attend avec impatience le troisième volet de l’Académie du Parapluie, intitulé Hotel Oblivion, on apprend aujourd’hui que le chanteur du groupe My Chemical Romance vendit à DC Comics de relancer un des titres phares de la maison Vertigo, la Doom Patrol, avec l’aide de la dessinatrice Becky Cloonan (déjà collaboratrice sur Killjoys).

…[size=85]D’avant en arrière : les habitués - Cliff et Negative Man - et les nouveaux - Terry None et Bryan Ferry[/size]

Créée par Arnold Drake, Bob Haney et Bruno Premiani en 1963, la Doom Patrol (ou Patrouille Z) est une équipe de « bêtes de foire » composée des marginaux comme Robotman, Elasti-Girl ou Negative Man et chargée de sauver le Monde sous la (r)houlette du mystérieux Chef.

La série connut son heure de gloire à la fin des années 80 lorsqu’elle fut reprise par Grant Morrison et Richard Case ; un run encore aujourd’hui considéré comme emblématique par une grande majorité des lecteurs.

Il est d’ailleurs amusant de noter que lorsque Grant Morrison découvrit Umbrella Academy, il la présenta apparemment en ces termes : « La Doom Patrol de sa génération ».

[quote=« Gerard Way »]Pour information, DC a donné son aval pour toutes mes propositions mais je n’ai pas su tenir les délais. C’est de ma faute. Si ma vie était un peu différente, j’écrirais des comics pour DC et Marvel toute la journée s’ils voulaient de moi. Mais ainsi va la vie…

J’étais vraiment obsédé par ce projet. J’ai failli quitté mon groupe pour pouvoir l’écrire à temps plein. Ça ne s’est pas passé ainsi…

Ça aurait était amusant… Enfin, qui sait ce que le futur réserve à la Doom Patrol ?[/quote]

Oui, qui sait ?

Découvrez aussi :

On revient encore une fois au film avorté Justice League Mortal de George Miller (dont on parle plus en détail ici et ou encore ) avec quelques photos de l’actrice Megan Gale (Mad Max : Fury Road) dans le costume de Wonder Woman :

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Je la trouve vraiment très belle dis donc.

Ce film va rentrer au panthéon des projets incroyable et totalement regretté dont l’aura grandira de plus en plus au fil des années au même titre que le Dune de Jodorowsky ou le Napoléon de Kubrick

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**Qui est Starhawk ? **

C’est la question que se posent encore de nombreux lecteurs de Marvel Super-Heroes #20 (mai 1969) alors qu’une publicité annonçait en grande pompe l’arrivée d’un nouveau super-héros - rien de moins que « le nouveau concept le plus ébouriffant de la Maison des Idées » - sous la houlette du scénariste Roy Thomas et du dessinateur Dan Adkins.

Cependant, le mois suivant - stupeur ! - pas de Starhawk à l’horizon. Marvel Super-Heroes #21 parait bien en juillet 1969 mais il est composé de rééditions d’épisodes des X-Men et des Vengeurs, comme c’était souvent le cas à l’époque.
Alors que s’est-il passé ? La rumeur veut que le concept d’un guerrier galactique dans un futur proche, combattant des robots et autres menaces extra-terrestres ait fortement déplut au rédacteur Martin Goodman qui n’aimait ni la science-fiction, ni les robots et encore moins les fusées (mais aimait-il les comics ?)

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Heureusement, comme chacun le sait, rien ne se perd. Si le nom de Starhawk refait surface dans la série Les Gardiens de la Galaxie (1975) de Steve Gerber, le terrifiant Mandroïd trouvera quant à lui sa place dans un épisode de Captain Marvel (#18) - écrit par un certain R. Thomas avec Adkins à l’encrage - avant que le terme ne soit réutilisé pour définir les agents du S.H.I.E.L.D. en armure lors de la célèbre guerre Kree-Skrull (Les Vengeurs #89-97) (Roy Thomas, encore).

Même le soit-disant Faucon des Étoiles aura les faveurs d’une simili-renaissance grâce au fanzine « officiel » (cherchez l’erreur) Marvelmania en 1972, d’abord sous la forme d’une pub dans le troisième numéro (on ne se refait pas) avant que ne débute la publication de son unique aventure épisodiquement à partir du sixième numéro et suivant.

Coup du sort ou machination machiavélique, il n’y aura pas de numéro suivant. Y en a qui n’ont vraiment pas de pot.

Et une page supplémentaire de Dan Adkins :

Certains héros sont destinés à la grandeur… Pas lui !

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The Last Wolverine Story (Joseph Harris/Enrique Breccia)

Au début des années 2000, bien des années avant le Old Man Logan de Millar, les éditeurs de la maison des idées commandent un ambitieux graphic novel de 64 pages au duo d’artistes Joseph Harris et Enrique Breccia.

Le projet a été finalement annulé peu avant sa sortie, remplacé plus tard par un Wolverine: The End assez anecdotique, et dont la seule trace qui subsiste est composée de 12 pages faisant office de prologue, ainsi que d’un synopsis qui montre que le récit se déroule au moment d’une date anniversaire un peu spéciale, l’occasion d’une commémoration pour le vieux griffu devenu un guerrier/ronin solitaire, le seul X-Man ayant survécu à la guerre contre les humains dans un énième futur apocalyptique.

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Source: comics.imakinarium.net/index.htm

Dedieu, mais rien que ces pages sont moins anecdotiques que celles de l’officiel !

Ouais, c’est vraiment pas mal, belle trouvaille.
Merci.

L’occasion manquée.

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North & South (John Byrne)

Durant la première moitié des années 80, la popularité de l’équipe canadienne Alpha Flight lui permet d’accéder à son propre titre, confié à Byrne qui avait participé à la création du groupe peu avant la fameuse Proteus saga.
Celui-çi n’a jamais caché le fait qu’il n’aimait pas écrire et illustrer cette série, tout content manifestement de pouvoir ensuite échanger de série avec le Hulk de Mantlo, tout ça pour ne faire que sept numéros au final peu avant de partir chez DC.

La possibilité que le personnage soit gay n’avait pas encore été clairement établie, même si Byrne considérait déjà le personnage comme tel, ce que Mantlo va essayer sans succès de révéler avec l’idée que le personnage a contracté le virus du Sida.
Cela n’aboutira pas car les éditeurs ont eu tendance à préférer une solution plutôt étrange, à savoir que la physiologie du personnage n’était pas adapté à la vie sur terre de manière prolongée, comme Crystal lorsque elle fréquentait Johnny Storm, ce qui s’explique par le fait qu’il serait un elfe et non un mutant (encore une idée qui n’a pas fait long feu et ce n’est pas plus mal).

Le pas sera franchi concernant l’évocation du VIH dans les séries mainstream quelques années plus tard, notamment avec un épisode inoubliable du Hulk de PaD impliquant Jim Wilson.

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Lorsque il est revenu chez la maison des idées, Byrne a reçu une proposition d’un éditeur lui offrant la possibilité de s’occuper d’une nouvelle série mettant en scène Véga et Ironclad des U-Foes, dans une dynamique buddy movie assez conflictuelle, que ce soit en raison de l’opinion d’Ironclad sur l’homosexualité de son associé, ou encore le fait qu’il commence à sortir avec Aurora la soeur jumelle de Jean-Paul Beaubier.
Le projet a été stoppé net car Byrne avait demandé un cachet trop important selon les éditeurs (pour assurer à la fois le scénario, le dessin et l’encrage) ce à quoi il a répondu que cela correspondait à un salaire inférieur par rapport aux frères Kubert, qui avaient alors reçus une augmentation afin de rester chez Marvel.

Véga/Northstar aura finalement droit à sa propre mini-série dans les années 90, peu après son coming out, conçu en grande partie comme un coup éditorial histoire de remonter les ventes de la série des plus célèbres super-héros canadiens avec Wolverine et Captain Canuck.

Source: byrnerobotics.com/home.asp

Sommes-nous passés à coté d’une mini-série Docteur Strange par Harlan Ellison et John Romita Jr. ?

Au début des années 2000, le célèbre auteur de science-fiction annonce (sans avoir l’aval de Marvel Comics apparemment) qu’il travaille sur une histoire concernant la relation codépendante entre le Surfer d’Argent et son maitre Galactus.

Il s’agissait en fait d’une reprise de son récit Antibody qu’il imagina pour les besoins de la série animée Silver Surfer dans les années 90 :

Malheureusement pour lui, Louise Simonson, John Buscema et Bill Sienkiewicz tuent le Dévoreur de Mondes en conclusion du sixième numéro de Galactus the Devourer.

Qu’à cela ne tienne, celui qui se présente comme un mélange de Zorro et de Jiminy Cricket décrète donc qu’il s’agit maintenant d’une histoire sur le Docteur Strange.
Le bon magicien de l’univers Marvel est chargé d’opérer à l’intérieur d’un Dormammu mourant au risque que la disparition de l’entité diabolique n’entraine la fin de la Dimension de l’Ombre.

Ellison s’alloue même les services d’un dessinateur confirmé de la Maison des Idées, le non-moins célèbre John Romita Jr. Ce dernier annonce lui-même, lors du Wonder Con 2000, avoir plusieurs projets en route, dont un avec Scott Lobdell (alors scénariste révéré de la franchise X-Men) et un autre avec le sieur Harlan Ellison.

Pour le reste, on connait l’histoire mais laissons la parole au responsable Tom Brevoort :

A noter que le projet Fantastic Four dont parle Brevoort n’est autre que la mini-série Fantastic Four 1234 de Morrison et Jae Lee parue finalement en 2001.

100 BALLES DANS TA CONSOLE

Voilà le genre de projet avorté dont on ne parle pas tous les jours ici : un jeu vidéo !

Ou plutôt l’adaptation d’un comic-book en jeu vidéo. Et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit, comme vous l’aurez deviné, du succès critique 100 Bullets, bande-dessinée américaine de Brian Azzarello et Eduardo Risso qui fut publiée par Vertigo entre 1999 et 2009.

[quote=« Urban Comics »]L’impassible Agent Graves a une proposition à vous faire : dans la mallette qu’il vous confie, la photo de votre pire ennemi et le nécessaire pour vous en débarrasser : une arme, 100 munitions totalement intraçables et l’assurance d’une totale immunité. …]

Suivant un agenda connu de lui seul, l’Agent Graves réactive un par un les agents d’un mystérieux groupe : les Minutemen. Comment Cole Burns, paisible marchand de glaces, a-t-il pu se débarrasser aussi facilement des mafieux qui lui menaient la vie dure ? Et pourquoi son habileté à tuer s’est-elle déclenchée au son du mot fatidique « Croatoa » ? [/quote]

Développé par Acclaim Entertainment à partir de 2003 sur une idée d’Azzarello lui-même et avec l’aide de Risso à la direction artistique, le jeu proposait au joueur d’incarner soit Cole « le marchand de glaces » Burns, porte-flingue connu des lecteurs et célèbre membre des Minutemen, ou la mystérieuse Snow Falls créée spécifiquement par l’auteur pour les besoins du jeu.

Voici le peu qu’en dit le cahier des charges d’Acclaim :

[quote]SNOW FALLS
#La description de Snow sera mise à jour après la rédaction de l’histoire#
Snow vient des rues de New York. Elle se retrouve profondément empêtrée dans la guerre qui oppose les Minutemen à l’organisation du Trust.

Note : …] Eduardo Rissos, le dessinateur de la bande-dessinée, est en charge de la conception de Snow.[/quote]

Pour l’époque, le gameplay de ce simple jeu de ‹ shoot › à la troisième personne se voulait particulièrement ambitieux, au point de « mettre le joueur à l’épreuve en le forçant à réfléchir avant de tirer hâtivement » (un service de visée automatique permettait de tirer plus adroitement en prenant son temps).
Au fil des missions, d’autres systèmes lui permettaient de se battre à main nue ; de se servir de ses ennemis comme bouclier ; de leur exploser la tête contre un mur ; d’utiliser le décor comme arme ; d’éviter une attaque en appuyant rapidement sur le bouton précisé à l’écran ; de se faufiler furtivement ou, au contraire, de se laisser aller au massacre lorsque sa jauge de colère était pleine.

[size=85]Certains mécanismes ont fait leur preuve et sont encore couramment utilisés dans de célèbres franchises comme Resident Evil, Hitman ou Uncharted.[/size]

La démo mise à disposition lors des salons spécialisés fit grand bruit mais, en 2004, à quelques mois de la sortie du jeu sur Playstation 2 et Xbox, Acclaim déclare une faillite financière et met la clé sous la porte, anéantissement toutes les chances de voir le jeu paraitre.

La chaine Youtube PtopOnline - spécialisée dans les projets avortés du domaine vidéoludique - a consacré toute une émission au 100 Bullets de Acclaim et permet ainsi de se faire une idée sur l’esthétique du produit :

En 2007, la compagnie D3 Publisher of America tentera de ressusciter le projet d’adaptation avec l’annonce d’une sortie sur les consoles dernière génération (dont PlayStation 3, Wii, Xbox 360, Nintendo DS, PlayStation portable, et Game Boy Advance) mais les concepteurs iront encore moins loin qu’Acclaim avant de jeter l’éponge.

Brian Azzarello a depuis révélé qu’adapter 100 Bullets en jeu vidéo n’était pas une bonne idée.

Peut être le comic aura-t-il plus de chance sur le grand écran avec l’acteur Tom Hardy à la prod’.

« Pour 100 balles, t’as plus rien »…

Tori.

THE GOVERNATOR

Il y a des projets dont on se dit parfois qu’ils font bien de rester dans le placard, peu importe les auteurs impliqués… Ou pas !

Le dessinateur vétéran Chuck Dixon a publié sur son blog les images du comic-book The Governator. Projet suggéré par Stan Lee, il devait réinventer Arnold Schwarzenegger, la vedette du cinéma d’action des années 80 devenu gouverneur de Californie, en tant que… gouverneur de Californie devenu super-héros toujours en action (il avait même sa propre Arnold Cave).

La série fut annoncée en 2011 par l’éditeur Archie Comics, puis on en entendit plus jamais parler. Je me demande bien pourquoi ? *

D’après Dixon, le premier numéro a été entièrement réalisé et le script des deux épisodes suivants sont écrits. C’est dommage d’avoir loupé ça.

Source : www.dixonverse.blogspot.fr


[size=85]* Parce que Schwarzy a eu un enfant illégitime avec une des femmes de son staff et que ça a fait jazzer, en fait. [/size]

Oui je suis d’accord, mais sans ironie pour ma part ; j’aurais bien voulu voir ce qu’aurait donné cette idée farfelue. :wink:
**Arnold **, en tant que personnage d’action, mâtiné d’humour comme il l’est souvent est un bon client pour ce genre d’idée.