Oui c est ce que je disais dans le topic Captain America.
Il y avait eu une avant premiere avec ce GN, celui de man-thing par Gerber/Nowlan (avec images) et le aventures Of Cap…
Avec L. Queyssi et un pote, on était fou devant le man-ting et le punisher (et moi j etais fou en plus du adventures)
Tiens je crois me souvenir qu’au final, hercules rase sa barbe durant le fun d’harras.
Ant-Man version MAX par Way & Crain :
The Pulse: « What inspired your upcoming Ant Man Marvel Max series? »
Daniel Way: « Axel asked me to write an Ant-Man Marvel Max series. »
The Pulse: « Hank Pym in the Ultimates universe seems a little ‹ Max › but the mainstream universe Hank Pym has never seemed that cutting edge or mature – at least before the Avengers 71 issue – so why was this Ant Man (as opposed to Scott Lange ) chosen for the Max series? »
Daniel Way: « I don’t know (just like I don’t know about this ‹ Avengers 71 › thing). Marvel sent me this big book of old Ant-Man stories and said ‹ go. › I flipped through it–sometimes he got really small, sometimes he got really big … I didn’t know what the fuck was going on. So I just read the first 6 or 8 pages of the first story, got it and went off. »
The Pulse: « What do you view as Hank’s greatest assets? »
Way: « Well … he can make himself really small. That’s what we call his ‹ power ›. »
The Pulse: « What do you view as his greatest weaknesses? »
Way: « Insecurity. Egomania. Totally gay outfit. »
The Pulse: « What are your goals with this series? »
Way: « Midget prostitute in a plush kangaroo costume. »
The Pulse: « What are some of the elements that will make this comic have to be for Mature readers? »
Way: « The butt-fucking, mostly. »
Projet de minisérie en 6 numéros pour le label adulte MAX en 2003, Ant-Man devait prendre pour héros Hank Pym . Les auteur et artiste prévus étaient Daniel Way et Clayton Crain . D’après les propres propos de Daniel Way, il ne connait pratiquement rien du personnage. Marvel lui a envoyé les histoires majeures de Hank Pym, qu’il a rapidement survolé. Sa synthèse ? Parfois, Ant-Man devient tout petit. Parfois, il devient très grand. Dans une interview, Daniel Way est allé assez loin dans la provocation. Il a décrit son objectif pour la série comme suit : une prostituée naine dans un costume de kangourou. Les fans ont peu apprécié et l’ont fait savoir, ce qui peut expliquer l’annulation de la série . D’après les annonces, Hank Pym devait découvrir l’existence d’un réseau d’agents secrets au cœur de Washington. Ant-Man allait tenter de déjouer leurs plans sans savoir qu’il était lui-même un pion dans ces jeux d’espions.
Oui. Je me suis toujours demandé si c’était, aussi, pour coller à la série TV.
Pas les mêmes période. Son run c’est 1991-1996 et Hercule n’a plus sa barbe dès 1992. La série Hercule, elle, commence en 1995 (précédée par les téléfilms de 1994)
Ha merci, je n’ai eu l’intérêt d’aller chercher aussi loin.
Une heureuse coïncidence, donc.
Un scénario très dickien, et attrayant. Dommage.
Dommage en effet, ce personnage (et ceux de son espèce, i.e qui peuvent rétrécir) est très sous-employé je trouve. Les films avaient amorcé une approche de l’infiniment petit qui mériterait d’être creusé.
Jeff Lemire avait fait un bon truc sympa, mais encore une fois périphérique, chez la « Distinguée Concurrence », dans l’excellente série Frankenstein, agent of S.H.A.D.E. (du moins jusqu’à l’arrivée de Matt Kindt et le sabordage de ladite série), un peu comme Remender, chez ses Secret Avengers, où le QG des héros était minuscule.
Spider-Man: The Gilded Cage (Bob Layton/Paul Smith/Barry Windsor-Smith)
Au sein de la gamme des Marvel Graphic Novels des ères Shooter & DeFalco, quatre récits consacrés à Spidey ont été publiés : Hooky (1986), Parallel Lives (1989), Spirits of the Earth (1990) et Fear Itself (1992).
Plusieurs autres graphic novels consacrés à Spidey auraient du voir le jour (c’est notamment le cas du Web of Fortune de Peter David et Ron Frenz) mais celui qui a bénéficié d’une des équipes créatives les plus prestigieuse est sans nul doute The Gilded Cage, avec Bob « Iron Man » Layton au scénario, Paul « Leave It to Chance » Smith au dessin, et Barry « Conan the barbarian » Windsor-Smith à l’encrage.
Durant cette première moitié des années 80, Bob Layton tâte du scénario en solo sans Michelinie avec notamment la mini-série sur Hercules (qui aura droit à plusieurs suites par le même auteur), Barry Windsor-Smith revient en douceur dans le giron de Marvel (une histoire courte sur Ben Grimm dans Marvel Fanfare, une remise de pied à l’étrier sur le plan séquentiel avec Herb Trimpe sur Machine Man, un retour sur les X-Men entamé avec le fameux « Lifedeath ») et le petit nouveau Paul Smith marque les esprits durablement avec ses dix numéros sur les X-Men (restés à la postérité tant ils sont bons, il est vrai qu’il y a de quoi rester fan à vie de ce dessinateur suite à la découverte de ces épisodes, au moins toute une génération de lecteurs peut en témoigner, aka celle de Paul Renaud).
L’ascension de Smith chez Marvel est assez rapide, et il s’y distingue sur 3 titres (Marvel Fanfare, Doctor Strange et bien sûr Uncanny X-Men). Smith revient ensuite sur le Docteur Strange pour le final du cycle de Stern et sur les X-Men de Claremont pour une rencontre avec Alpha Flight (à noter également le début de la mini-série sur le Faucon ainsi qu’une histoire sur la Vision dans Fanfare). Après une petite infidélité à Marvel (une partie d’un Annual de Batman chez DC et une participation au Sun Runners de McKenzie chez Pacific), Smith choisit de partir vers l’indé chez First (un peu de Grimjack & d’American Flagg et surtout dix numéros du Nexus de Baron/Rude), avant un autre retour sur les mutants (loin d’être le dernier, sans qu’aucun d’eux n’arrivent à la cheville de son passage initial sur ces personnages).
Pour avoir un aperçu de que donne la collaboration des Smiths (PMS & BWS hein, pas le groupe de Morrissey), il suffit de jeter un oeil à une poignée de pages du second numéro d’X-Men/Alpha Flight (alors que Paul Smith avait reçu l’aide de plusieurs encreurs pour pouvoir tenir la cadence des deadlines), où le style de BWS est reconnaissable sans pour autant totalement supplanter celui de Smith.
Comme il explique dans l’interview qu’il avait accordé à la revue promotionnelle Marvel Age en 1983, Layton avait alors planché sur une histoire assez ambitieuse et peu commune (pas l’ombre d’un super-vilain à l’horizon), dont les répercussions auraient du s’étendre jusque dans les différentes séries régulières du tisseur (Layton devait également s’occuper du dessin et de l’encrage à la base).
Après avoir été gravement blessé lors d’une fusillade, un Spidey mal à point devait se faire soigner par la femme d’un mafieux, pour ensuite entamer une liaison de courte durée avec celle-ci (jusqu’à ce que le tisseur se décide, non sans hésitations, à sauver la vie du mari).
Les astres auraient pu s’aligne pour donner vie à ce projet, mais il en a été autrement.
Smith n’étant pas connu pour être le dessinateur le plus rapide qui soit (surtout quand il s’encre lui-même, par exemple ses numéros de Dr. Strange espacés par des fill-in de dessinateurs invités), ce projet n’a eu donc de cesse d’être repoussé (entretemps, Layton retourne sur Hercules puis Iron Man, arrive au secours d’un Zeck à la peine sur le 1er Secret Wars et participe au lancement d’X-Factor).
Sauf qu’entretemps la situation du pôle éditorial a pas mal changé (DeFalco à la place de Shooter au poste d’editor-in-chief) et l’année 1987 a également vu la concrétisation du mariage entre Peter et MJ. Avec un bague au doigt, la relation de Peter Parker avec une autre femme (mariée de surcroît) n’était donc dès lors plus à l’ordre du jour (un bâton dans les roues de ce GN, dont l’intrigue portait justement là-dessus), sans compter que le projet ne convenait pas à DeFalco de toute façon (trop d’impact pour un récit à part et plus vraiment raccord avec la sacro-sainte continuité du moment).
Sources :
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Dis donc, ce canaillou !
Oh la team de dingue
Plaît-il ? 
Journée Paul Smith comme ça (« heureux hasard » car pas de concertation au préalable avec Jules-de-chez-Paul-Smith-en-face).
À ce propos…
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Au départ Lee et Kirby n’étaeint pas certains de ne pas donner de costumes aux FF. Il en restera la combinaison et le casque métallique que Ben portera quelques temps.
Ils auraient du aussi avoir un autre logo au lieu du simple 4 qui aurait été un FF.
Des pages ont été retrouvées avec ces costumes avant modification par Kirby
Pour ma part, et d’une certaine manière, je suis satisfait que ça en soit resté à ce stade.
Je ne suis pas vraiment un amateur de Bob Layton et l’encrage du Smith anglais sur son homonyme américain dans X-Men/Alpha Flight ne m’avait pas totalement convaincu.
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Dont il doit rester un vestige (différents croquis du logo avec le double « F » à la fin d’un des Epic Colllection).
tu le vois deja là sur les dessins (reed)
En effet, mais les essais on ceci d’intéressant que c’est comme si l’on assistait en direct à la naissance du fameux logo (le 4 entouré). Faudrait que je retrouve l’image… (les croquis de Brodsky au dos d’une page avec le double F & le 4)
tu es un veritable detective!!
c est superbe
Par contre, moi perso, j étais pas si fan de Smith sur Xmen… j ai beaucoup aimé falcon, AF/Xmen mais pas tant marqué par ses xmen… j ai plus aimé ses doc strange découvert bien aprés…
Par contre avec le temps, je suis moins fan de son evolution (Golden age, leave to a chance…)
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Le scénariste (à choisir, je préfère le Hercule de Van Lente/Pak au sien) ou le dessinateur
(la raideur de ses personnages a de quoi rebuter), ou les deux à la fois ?
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Les deux à la fois.
Même son encrage, j’ai jamais été réellement fan (même si il fait bien les reflets metalliques, oui).
Et je préfère aussi le Hercules de Pak/Van Lente.
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