RÉÉDITIONS DC : TPBs, Hardcovers, Graphic Novels

J’ai découverts Jurgens sur amazing spiderman lorsque Ben Reilly se crée un nouveau costume hyper cool (à mes yeux) tout en restant dans l’esprit de l’original, j’aimais bien son trait et sa tentative de créer un nouveau support cast tout en faisant apparaitre ici et là les « anciens ».

Ah ouais, j’ai beaucoup aimé aussi.
De mémoire, il était encré par Janson, qui donnait un côté cassant à ses crayonnés.
Et, comme tu le soulignes, il gérait bien l’univers du héros. Notamment la révélation concernant la nana principale dans la vie de ce dernier, surprise qui m’avait bien cueilli, à l’époque (je ne révèle rien, mais c’était assez astucieux). Vraiment, Jurgens avait bien saisi la manière de rendre intéressante cette nouvelle version de Spidey, et j’aurais aimé qu’il ait l’occasion d’aller plus loin (même si je suis très fan de ce que Dezago et Wieringo ont proposé dans sa foulée).

Jim

Il y a des récits que je connais de réputation, mais qu’en fait, je m’aperçois, souvent des années après, que je n’ai jamais lus. Et c’est en parcourant les rayons de ma bibliothèque que j’ai remarqué que c’était le cas pour Underworld Unleashed.

Underworld_Unleashed_TP

Bon, l’histoire, on la connaît, justement : un démon du nom de Neron prend du grade en Enfer et vient séduire vilains et héros de l’univers DC, promettant (et tenant) de leur augmenter les pouvoirs en échange de leur âme. Une coalition de justicier finira par lui faire entendre raison.

Le TPB que j’ai réunit les trois numéros de la mini-série, qui se lisent très bien tout seuls (ce qui n’est pas toujours le cas dans ce genre d’entreprises) et le numéro Underworld Unleashed: Abyss, qui se focalisent sur Alan Scott alias (à l’époque) Sentinel.

C’est très agréable à lire, relire ou découvrir. C’est écrit par Mark Waid sur un concept né de discussion de son grand ami (et editor) Brian Augustyn. Waid s’y connaît en continuité, en coups de théâtre, en construction de vilains mémorables et en astuces de premier ordre. La manière de vaincre Neron fournit par exemple une excellente conclusion au récit, tout en permettant de sortir des sentiers battus (pour une fois, ce n’est pas Superman le plus noble et la clé de tout…).

Question dessin, c’est assuré par Howard Porter, encré par Dan Green puis par Dennis Janke. C’est pas aussi lisse et pur qu’avec l’encre de John Dell, mais c’est plein d’énergie. Je remarque, à la composition de la Justice League, que cette mini précède sa prestation sur JLA, ce dont je n’avais pas pris conscience.

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C’est pas mal du tout. Ça se lit très bien tout seul. Je crois que ça gagnerait à être étoffé de quelques épisodes périphériques, parce que certains trucs mériteraient un éclairage, mais dans l’ensemble, si on veut se contenter de l’événement central, ça fait une excellente distraction doublée, comme souvent chez Waid, d’un petit zest meta.

Jim

Bon, voilà, je l’ai, le dernier tome de la réédition de la période Byrne.
Hé il est pas mal du tout.
Déjà, Byrne est en belle forme, notamment grâce à l’encrage impeccable de John Beatty, qui lui va étonnamment bien. On aurait pu craindre une trop grande épure, mais en fait, non, ça se marie agréablement.
Et puis, les séries consacrées au surhomme commencent à fonctionner comme un grand tout, une vaste saga, imposant certes de lire tous les titres, mais donnant de l’élan à plein de récits. Je ne savais pas, pour ma part, que la saga de Zod s’étalait sur Adventures of Superman également, par exemple.
Le recueil contient également un Annual dessiné par Ron Frenz, que je ne connaissais pas (je pensais que celui avec Titano était le seul). Le dessinateur est en mode kirbyen à fond, et ça fonctionne super bien. Stern avance également plein d’éléments qui seront développés pendant des années par la suite. Très agréable.
Et il y a la back-up « Private Lives », mettant en scène Turpin et Sawyer. Ça parle d’amour et d’homosexualité, mais en termes très suggestifs, et à lire ces pages (excellentes), on redécouvre à quel point les choses ont changé en une petite trentaine d’années. À ce sujet, d’ailleurs, l’une des qualités d’écriture de Byrne est d’évoquer des choses en filigrane, destinées aux lecteurs attentifs. Du temps d’Alpha Flight, il laissait glisser des allusions à l’homosexualité de Northstar, détail qui ne sera exploité que des années plus tard. Là, outre la séquence avec Turpin et Sawyer, il signe une très belle scène entre Perry White et Alice (dans Superman #20), qui laisse entrevoir un drame humain de premier calibre, qui ne sera développé que longtemps après le départ de l’auteur. C’est d’une grande élégance, et ce genre de petite touches fait oublier des intrigues héroïques parfois molles ou trop outrées.
Rajoutons là-dessus un épisode de la Doom Patrol permettant de découvrir un Erik Larsen débutant mais déjà vigoureux, et ça compose un sommaire succulent.
Quelle belle collection.

Et si je comprends bien, la suite sera ici :

Et j’en serai.

Jim

[size=125]CHASE[/size] est une série lancée début 1998 et malheureusement annulée à la fin de la même année après dix numéros. Le TPB, sorti en 2012, comprend le numéro 550 de Batman, les numéros 1 à 9 + le numéro 1,000,000 (lié à l’event éponyme) de la série régulière, et une foultitude de courts épisodes estampillés Secret Files sur lesquels je reviendrai plus loin.

Antérieure d’un peu moins de deux ans à Promethea, Chase représente l’un des premiers travaux de J.H. Williams III au dessin, qui, de plus, cosigne ici les scénarios avec Dan Curtis Johnson, de son « vrai métier » programmateur chez Apple, dont c’est l’une des très rares incursions dans le domaine qui nous intéresse ici – la plus développée et la plus notable, aussi. Johnson signera par la suite une poignée d’histoires courtes en 10 pages pour diverses anthologies 80-Pages Giants de DC, un arc de 5 numéros, « Snow », pour la série Legends of the Dark Knight (pour lequel il retrouvera son compère J.H. Williams III), et… c’est à peu près tout. Une production parcimonieuse qui ne l’empêchera pas de se retrouver sur le* Hall of Fame* personnel de Gail Simone, justement pour sa création et son traitement du personnage de l’agent Cameron Chase.

Chase est une ex-détective privée fraîchement engagée par le DEO (Departement of Extranormal Operations, alias en français le DEUS, Département des Évènements Ultra-Spéciaux). En introduction à la série, le personnage tout comme l’agence font conjointement leurs premières apparitions dans Batman #550, et la façon dont ils le font est déjà intéressante. En effet, bien que le numéro soit principalement signé par Doug Moench et Kelley Jones, la dizaine de pages mettant en scène Chase, qui, sur la route qui doit la mener à New York prendre son poste, croise ici celle du chevalier noir sur la piste d’un avatar de Clayface, sont déjà dessinées par Williams.

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Si celui-ci n’est pas encore au sommet de son art, son style est déjà reconnaissable et tranche déjà de façon (à mon avis) plutôt positive sur le reste des planches (mais je confesse mon peu de goût pour le dessin de Kelley Jones de manière générale). De plus, cet effet d’ « appropriation » graphique se double d’un effet de sens « signalétique », qui deviendra plus clair par la suite lorsque des épisodes, faisant plus ou moins office d’interludes, reviendront sur le passé de Chase à San Francisco avant son embauche par le DEO – Williams ne signant alors que les planches du récit-cadre, le corps principal des épisodes, en flashback, étant alors assuré par d’autres dessinateurs (respectivement Bob Hall et Charles Adlard). Une façon assez élégante de palier, je suppose, aux difficultés pour J.H. Williams III à tenir le rythme de publication (il n’a jamais été réputé être un rapide !) sans que le changement de style graphique paraisse arbitraire.

L’agent Chase est donc un personnage évoluant dans un univers de super-héros, enquêtant sur, et occasionnellement travaillant avec, des super-héros, et qui… n’aime pas les super-héros. – À l’opposé de sa sœur, Terry, une authentique fan-girl (ce qui nous vaut, en passant, quelques aperçus assez amusants de la pop-culture et du merchandising dans un monde où les super-héros existent), Cameron Chase n’éprouve guère que méfiance et dédain pour les justiciers costumés. Et, il faut le reconnaître, elle a plutôt une très bonne raison pour cela. Curtis et Williams dessinent un personnage complexe, faillible, auquel on ne penserait pas tout de suite à attacher le qualificatif d’ « aimable » mais qui emporte néanmoins la sympathie, et autour de laquelle gravitent tout un entourage professionnel, familial et amical, efficacement campé, en plus, bien entendu, des caméos de « supers ».

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Cette manière de présenter le monde des héros et vilains de DC par le prisme d’une approche plus « terre à terre » apparaît rétrospectivement comme annonciatrice d’un Gotham Central, tandis que certains passages rendant compte des enquêtes de l’agent Chase ne sont pas sans faire penser aux types de narrations qui allaient bientôt faire connaître un Brian M. Bendis. Inutile de dire que Chase ne connut pas le même succès puisque la série fut vite arrêtée, et, pour ajouter à la frustration de la chose, après un des épisodes d’ « interlude » déjà mentionnés, laissant plusieurs pistes inexplorées aussi bien dans le passé que dans le présent de l’héroïne. La dernière partie du TPB est consacrée à des histoires courtes (voire ultra-courtes) tirées de DC Universe Secret Files, Secret Files Guide to the DC Universe, Superman: Our Worlds At War Secret Files, JSA Secret Files, The Flash Secret Files, The Joker: Last Laugh Secret Files, Batgirl Secret Files et Hawkman Secret Files, dans lesquelles Chase ne fait guère que jouer les utilités pour exposer aux lecteurs les arcanes de l’univers DC, dépourvue de tout ce qui faisait sa personnalité.

Malgré cette triste fin en queue de poisson, la série mérite d’être redécouverte, pour la qualité de son scénario et de ses dessins, et aussi pour le grand nombre d’idées que Johnson et Williams sont arrivés à semer en deux poignées de numéros. Ostrander y puisera pour son Martian Manhunter, Chase elle-même sera reprise notamment par Andreyko pour son Manhunter (que je n’ai pas encore lu) puis par Williams lui-même pour Batwoman, et le DEO a fait depuis son bonhomme de chemin dans l’univers DC jusqu’à finir sous les feux des projecteurs (dans une version certes plutôt… aseptisée) dans la série télé Supergirl (puis à nouveau dans la plus récente série papier, avec Chase officiant désormais comme directrice).

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j aime bien aussl Chase que j ai acheté il y a 10 ans en back issue…
Jamais accroché à sa version Nu52 trop radicale…

Oui une très bonne série, et un bien chouette commentaire.

Très intéressant, ce post, en effet !! Connaissais pas du tout ce titre, pour ma part…

On en parle ici aussi

france-comics.com/rubrique.p … brique=420

Il y a quelques semaines, j’ai découvert l’existence d’un TPB consacré au Vigilante de Marv Wolfman. Tout simplement intitulé Vigilante by Marv Wolfman.

Je l’ai seulement feuilleté, mais je sens que je vais craquer sans tarder. Je reviendrai en parler.
Graphiquement, en consultant Comics VF, je découvre que c’est Keith Pollard qui lance la série, suivi par Don Newton (un épisode), Chuck Patton (deux épisodes) et Ross Andru. Vachement sympa, tout ça.

Jim

Internet étant mon ami, je découvre en ce moment la série Secret Origins des années 1980, donc je ne connaissais jusque-là que quelques morceaux choisis (le Flash de Morrison, par exemple, le Phantom Stranger de Moore, ou un épisode de Zatanna…).
Et là, je vois que dans le numéro 22, daté de janvier 1988, il y a un épisode complet consacré à tous les Manhunters de l’univers DC. C’est bien entendu lié au cross-over Millenium de l’époque, dans lequel les méchants robots rebelles infiltrent l’humanité.
C’est écrit par Roy Thomas, qui fait des pieds et des mains afin de raccrocher les wagons (Englehart avait glissé quelques pistes dans Justice League of America #140-141, notamment en connectant ses robots à Mark Shaw) entre l’intrigue cosmique et le Manhunter de Kirby, mais aussi à Paul Kirk et Dan Richards. On s’aperçoit que c’est un véritable mic-mac, et que Thomas fait un boulot de charpentier et de maçon. À sa manière habituelle, donc avec beaucoup de flash-back et l’élégance d’un bulldozer, mais ça fait son office.
Le numéro suivant est consacré aux Gardiens de l’Univers et à l’Homme Floronique. Tous deux étant liés au même cross-over, ils éclairent l’intrigue en cours. Le premier récit est signé Todd Klein (qui avait rédigé des super back-up dans Green Lantern) et le second Rick Veitch, qui fait preuve d’un mauvais esprit déjà vigoureux.
À la lecture de tout ça, je me disais que la constitution des sommaires de TPB est quand même pas mal défaillante, parfois. En effet, ces trois récits auraient pu figurer dans le recueil reprenant Millenium. Ça aurait donné du corps à une intrigue distendue entre les différents tie-ins, et permis peut-être d’éclairer certains passages de l’intrigue.
Et au détour de cette série qui a connu cinquante numéros, on trouve du lourd. Genre, un Warlord dessiné par Adam Kubert (copiant son père) ou Johnny Thunder illustré par Alan Weiss. C’est pas toujours génial, mais c’est jamais médiocre, et y a régulièrement de très belles planches.

Jim

Parmi les choses que j’ai dans ma bibliothèque et que je n’ai jamais lues, il y a « Shaman », le premier arc de Legends of the Dark Knight, réalisé par Denny O’Neil et Ed Hannigan.

Rappelons rapidement le principe de cette série, lancée à la fin des années 1980 : il s’agit d’explorer les premières années de carrière de Batman, en donnant diverses suites au Year One de Miller et Mazzucchelli. La série a proposé des histoires succulentes par des équipes variées, et constitue une petite mine pleine de pépites.
Ami et mentor de Miller, Denny O’Neil se charge d’écrire le premier récit, et c’est Ed Hannigan qui dessine. L’histoire n’est pas extraordinaire (Bruce Wayne en goguette à la montagne, ramène une légende indienne dont la propagation a des conséquences violentes : c’est très seventies, mais avec une intégration intelligente des apports de Miller).
J’ai souvent exprimé mon manque de goût pour la voix off telle que l’utilisent plein de scénaristes d’aujourd’hui, en guise de béquille narrative et peut-être de caution de sérieux, comme si donner à lire les pensées du personnage suffisait à rendre « adulte » le récit. En général, le résultat est lourd, envahissant, bavard, parfois trop littéraire pour être crédible, bref, c’est une faiblesse d’écriture trop visible.
Dans le cas de « Shaman », c’est tout le contraire. O’Neil, on peut penser que c’est lourd, mais il sait écrire. Et là, il mélange une voix off de narrateur, qui dit « il » pour désigner Batman, et une voix off de personnage, interne, structurée comme dans Year One. Et sans guillemets, sans changements de couleurs, rien. C’est simplement à l’écriture, au style, qu’on sent le passage de l’un à l’autre. Là, pour le coup, chapeau.
Au-delà de ces qualités évidentes (signalons qu’O’Neil écrit un Alfred moins sarcastique que celui de Miller, mais encore bien décalé), on retrouve les tics du scénariste. Par exemple, il envoie Bruce loin de Gotham, et, comme souvent, à la montagne : O’Neil aime bien la montagne. Le récit en lui-même, qui pourrait être signé Goodwin, est une enquête avec recherche d’indices et analyse de profil : « car après tout, c’est un détective », nous dit la voix off.

Question dessin, c’est plutôt sympa, mais assez classique. Assez DC, je dirais. Chez Hannigan, ce que j’aime le plus, c’est ses Spectacular Spider-Man où il singe Ditko, et ses couvertures, que ce soit chez DC ou Marvel. Là, il livre une prestation beaucoup plus plate. Narrativement, c’est impeccable, mais le trait en lui-même est éteint. L’impression de mon édition Titan Books, un peu terne, ne rend pas justice aux couleurs de Richmond Lewis et finit d’écraser le trait : je serais curieux d’avoir une version noir et blanc, pour le coup.
J’ai appris récemment qu’il existait un TPB américain du milieu des années 1990, orné d’une autre couverture, plus classique quant à elle. Je ne sais pas quelle est la qualité de papier.

Et apparemment, il y a une réédition américaine récente qui reprend la couverture de George Pratt, et dont on peut imaginer qu’elle offre un meilleur papier que celui de Titan Books. Bref, tout ça pour dire que le récit semble encore facilement accessible. Ceux qui apprécient l’histoire du personnage et qui sont curieux de sentir l’évolution, palpable durant cette période historique, seront sans doute intéressé par ce récit dans lequel un scénariste classique se glisse dans un mouvement général de modernisation.

Jim

Prévu pour janvier 2018 chez DC

Super Powers by Jack Kirby

In 1984, legendary writer/artist Jack Kirby co-wrote and illustrated tales of the Justice League of America in the miniseries SUPER POWERS. DC collects all three SUPER POWERS miniseries in a single collection, with stories co-written by Kirby cover art by Kirby, and six stories featuring the powerful art of the King of Comics. These tales pit the JLA – including Batman, Superman, Wonder Woman, The Flash, Green Lantern, Hawkman, and more against the forces of Darkseid, lord of Apokolips. These stories are the only time in his long career that Kirby would draw the Justice League, elevating these stories to legendary status.

Collects SUPER POWERS Vol. 1 #1-5 and SUPER POWERS Vol. 2 #1-6, originally published from 1984-1986.

Broché: 272 pages
Editeur : DC Comics (23 janvier 2018)
Langue : Anglais
ISBN-10: 1401271405
ISBN-13: 978-1401271404

Ce titre compile cette série :
super powers 1super powers 2super powers 3super powers 4super powers 5

et celle-ci :
super powers 1bsuper powers 2bsuper powers 3bsuper powers 4bsuper powers 5bsuper powers 6b

Des avis sur la qualité du contenu ? Je crois que certains de ces numéros ont déjà été publiés en France, mais je ne pense pas les avoir lus à l’époque.

J’ai tout ça en scanns sur mon ordi, mais j’ai seulement « feuilleté », pas encore lu. J’ai bien l’impression que c’est un boulot alimentaire, mais je vais me précipiter sur le recueil.

Jim

Tiens, je n’avais pas fait attention à ce travail de Kirby.

Merci pour la réponse @Jim_Laine.
Je me suis dit Kirby + justice league + série « ancienne » avec les couleurs bien flashy de l’époque et surement des bulles avec de la lecture (comme j’aime), donc pourquoi pas tenter.
Je l’ai précommandé il y a un moment (et du coup à un prix moindre qu’il ne l’est maintenant), mais je me demandais ce que le contenu « valait ». En même temps j’aime les séries plus « légères » qui se faisaient autrefois, je ne pense pas prendre trop de risque en gardant ma commande.^^

Pour info, s’il y a des amateurs, un recueil de Wonder Woman va sortir également l’an prochain, regroupant entre autre une série jamais sorties en TPB : The Legend of Wonder Woman de Kurt Busiek. Cette série prend place entre la fin de la V1, après Crisis on Infinite Earths et le début de la V2 par Pérez, et l’on y voit la reine Hippolyte (de Terre 2) observer d’anciennes aventures de sa fille.

Wonder Woman - Forgotten Legends

From comics legend Kurt Busiek, Wonder Woman’s classic adventures are collected in WONDER WOMAN: FORGOTTEN LEGENDS.

Preparing to depart Paradise Island forever, Queen Hippolyta learns an untold tale of the legendary Amazon–the return of Atomia! Then Wonder Woman is transported to the 63rd century to save the Amazons from a race of pig-men who have inhabited their island, and from their abandonment of Aphrodite’s ways. With surprise appearances by Batman, Black Canary, Changeling and Darkseid!

Collects THE LEGEND OF WONDER WOMAN #1-4 (1986), WONDER WOMAN #318, WONDER WOMAN ANNUAL #2, WONDER WOMAN GALLERY #1.

Broché: 128 pages
Editeur : DC Comics (27 mars 2018)
Langue : Anglais
ISBN-10: 1401277950
ISBN-13: 978-1401277956

Ca comprend :
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Ouais, j’ai repéré ça : je ne l’ai jamais lue, ça m’intéresse bien.

Jim

Y a pas eu une annonce de ça quelque part ici ?

Idem, jamais lu, et ce titre était sur ma liste de recherche depuis un moment (il est ressorti en digital il n’y a pas longtemps mais je préfère le papier^^'). Du coup direct dans la shooping list pour ce volume !

@soyouz si tu parles du titre Wonder Woman - Forgotten Legends je ne sais pas, peut-être dans un planning.
Mais si tu parles du titre The Legend of Wonder Woman tu confonds peut-être avec la série du même titre écrite récemment par Renae de Liz.

Non, non,je ne confonds pas. J’avais retenu WW et Busiek, et pas le mot Legend