Special origine 307bis
Merci.
Marvel imprimait deux versions, sur deux papiers différents ?
La vache !
Je connaissais le coup de Legion of Super-Heroes et de Tales of the Teen Titans, qui sortaient des épisodes inédits sur beau papier (le baxter, justement) pour les librairies, tandis que l’édition kiosque reprenait en décalage ces épisodes, sur papier « normal ». Quel mic-mac, quand j’y pense.
Apparemment, le baxter paper a été utilisé la première fois pour Camelot 3000.
both the Titans and Legion series were gonna stop printing original stories in their newsstand editions. Both series would continue, but only in newly-numbered series printed on something called “Baxter” paper, and sold only at comic shops. The Baxter paper was a higher-grade stock that printed more vibrant and vivid colors and, as a result was about fifty cents per issue more expensive.
Marvel would slap some worthy reprints of things like the Kree/Skrull War and the Warlock comics on Baxter, while also using the stock for special projects like Phoenix: The Untold Story, which was, at that time, the slickest presentation of John Byrne’s art I’d ever seen. But DC were particularly keen on the sharp new paper, and had quite a number of high quality presentations.
Au sujet du mando paper chez Marvel :
Mando paper is a higher-quality stock paper on which the original Marvel Comics four-issue Transformerslimited series was printed. Previously, comics were printed on cheaper newsprint-grade paper, but in the Eighties, Marvel began switching its titles to Mando paper, which was less acidic, whiter, and sturdier. The use of Mando paper was advertised in early Transformers solicitations.
À propos du mando, du baxter, et des autres…
With the publication of DC 's Camelot 3000 in 1982, the arrival of Baxter paper was hailed.
I was far more impressed with Mando paper when it came down the pike. Almost as white as Baxter but not as heavy, Mando held the color well and the image did not bleed through from the other side of the page
Over at Marvel Comics, the Marvel Fanfare title experimented with a glossy, slick, coated magazine stock. They described it as having every page feeling like the cover.
The glossy, slick, coated magazine stock that Marvel Fanfare was printed on was called Hudson paper .
Kim Thompson de Fantagraphics à propos du papier brillant :
It is profoundly astonishing to me that ANYONE, let alone major publishers, is still subscribing to the weird notion that printing a comic on coated (a.k.a. glossy, a.k.a. shiny) stock is somehow fancier and better and more collectalicious. Granted that we (and Kitchen Sink and that whole generation of alternative publishers) went through that madness back in the 1980s and 1990s, we got cured eventually and realized that 98% of comics look better on uncoated stock, and NO comic looks good on outright glossy stock.
Great question! Here’s everything I remember about the evolution of paper stock from the 1980s.
- Marvel Fanfare. To my memory the paper stock was just a nicer slick magazine style stock that was never really promoted as a format, although several books in the Epic line used it or something similar. Elektra: Assassin for instance.
- Baxter. Baxter was a heavy acid-free white paper stock that DC got on board with first, but Marvel also used. It was used by DC for the Direct Market versions of New Teen Titans, Legion of Superheroes, Vigilante, Omega Men and others. It was also used for high end reprints for New Gods, Manbat, Roots of Swamp Thing, Manhunter, Deadman, Green Lantern/Green Arrow and other runs before trade paperback collections were a thing. Marvel used it for reprints such as X-Men Special Edition, Phoenix the Untold Story, Steranko’s SHIELD and Captain America, Fantastic Four Annual 1, and others.
- Mando paper was a replacement for newsprint. It was whiter, printing looked much better, and it was a nice mid-point between Baxter and Newsprint books. DC called it « New Format » when they rolled it out. It started with Swamp Thing 60, and was used on Green Arrow, Shade, Sandman, Hellblazer, and other Direct Market/mature readers books. At Marvel, Sensational She-Hulk and Excalibur were ongoing series that used the paper.
- Prestige Format. The paper used here was called Ronoweb (sp?), and several versions were tested during Miller’s Ronin series. The final version of the paper (ronoweb 4 maybe?) became what DC called Prestige Format, and it premiered with Dark Knight 1. It was also used for Green Arrow: The Longbow Hunters, History of the DC Universe, and similar square bound limited series. Marvel’s square bound books used a thick white paper stock that was never really advertised, but was of lower quality than DC’s efforts.
Jim
En 1992, alors que la popularité du Punisher semble inébranlable, Marvel sort une nouvelle série, Punisher War Zone, et met les petits plats dans les grands.
Chuck Dixon commence à être connu. Quant au tandem John Romita Jr / Klaus Janson, c’est une valeur sûre. Le style massif que déploie le premier et les effets de matière et de lumière du second sont parfaits pour créer une ambiance de roman noir.
Qui plus est, la couverture entre dans la catégorie des couvertures à gadgets que l’époque adore. Il s’agit ici d’une « die-cut cover », c’est-à-dire une couverture au carton plus épais et prédécoupée, ici selon les contours des impacts de balle que l’on voit au-dessus des épaules de Frank Castle. Un sacré effet, à l’époque, et quelque chose de plus regardable et de moins agressif que les cinquièmes couleurs argentées ou dorées ou les effets hologrammes.
Le recueil compilant les six premiers numéros de cette nouvelle série (qui comprend plein de choses intéressantes, y compris les épisodes dessinés par John Buscema ou Joe Kubert ), paraît en 2002, sobrement intitulé Punisher War Zone. Moi qui ai vu passer ces épisodes mais qui n’avais pas les sous à l’époque, je me suis précipité dessus.
L’intrigue est simple : après le départ de Microchip, son assistant et soutien technologique, Frank Castle revient à des méthodes plus terre-à-terre. Et il décide d’infiltrer la mafia. Une idée que Dixon exploitera dans les épisodes réalisés avec John Buscema, et qui s’avérera aussi dangereuse que la première fois.
Le premier numéro regorge de moments forts : la filature de Micro, une scène de torture (surtout psychologique, et bien vicieuse) qui sera reprise dans l’un des longs métrages (j’ai la flemme de vérifier lequel), des grosses fusillades.
À la fin de ce premier volet, Frank Castle parvient à infiltrer le gang de Julius Carbone, sous le nom de Johnny Tower. Les ennuis commencent.
Notamment parce que Johnny Tower croise, dans le deuxième épisode, le chemin de Rosalie Carbone, la fille de Julius. Une bombe latine trimballant un look un brin vulgaire, mais immanquable.
Dixon s’amuse avec les codes des récits mafieux et des intrigues d’infiltration, et pousse l’idée très loin. Plutôt que d’attendre de grimper les échelons dans l’organisation de Carbone, Frank décide de prendre un raccourci… et séduit Rosalie dans le troisième épisode.
Bien entendu, les choses vont rapidement s’emballer, jusqu’à ce que le faux Johnny Tower soit démasqué et laissé pour mort.
Au fil du récit, Dixon consacre quelques séquences à Shotgun, un justicier armé jusqu’aux dents et créé par Romita Jr. Le personnage, qui affiche une coolitude un peu surjouée, ne sert pas à grand-chose mais dépanne Frank au moment le plus opportun.
La fin du récit conduit Frank sur l’île de Julius. Là encore, le scénariste pousse ses idées très loin, transformant le repaire de mafieux en base de méchants à la James Bond : on a même droit à une piscine pour requins. Le caractère outrancier de l’intrigue permet sans doute (en tout cas aux yeux d’un lecteur comme moi) de faire passer la pilule d’un monde entièrement peuplé de flingueurs.
Dixon a le sens de la formule. Ses voix fonctionnent très bien, avec un rythme laconique et saccadé du meilleur effet, une veine quasi millerienne.
Gros film d’action musclé, ce premier arc pose les bases d’une série qui se veut exagérée mais distrayante. Elle permet aussi de donner un rôle au long cours à Rosalie Carbone, qui fera plusieurs apparitions marquantes jusqu’à sa disparition dans la série d’Ostrander.
Jim
Je l’ai celui-ci. Acheté dans les années 2000 mais je l’ai. Et ouais, c’est spectaculaire (wraparound de mémoire)
Oui wraparound
Une couv deluxe (corner box)
Je trouve pas le version normale.
Je sais plus quels titres etaient concernés
Ah la vache, j’avais jamais remarqué.
Merci.
Jim
je pense que c est juste aprés le rachat de malibu. Il y a des comics qui sont plus cher mais avec meilleur papier, meilleure couleur et d autres qui restent au format ancien… il me semblait que certains avaient le double traitement mais je retrouve pas l info et ca faisait pas partie des séries que je faisais qui avait ce traitement
Tori.
rappel du premier semestre
et la news sans date avant l’avalanche de la semaine prochaine qui verra les news d’Aout 2024 à Janvier 2025
Voilà ce qui sera annoncé (star wars, alien etc compris)
AUG 2024
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
SEPT 2024
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
OCT 2024
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NOV 2024
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
DEC 2024
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC
JAN 2025
NEW EPIC
NEW EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC MODERN ERA EPIC
NEW EPIC
J attend Punisher 6 ou 8 ou 9!!!
Je ne vois pas la différence
Il n’y a pas la mention « DELUXE » et il coûte 0,45$ de moins (et le code barres est différent)…
Tori.
Ah oui. Ca pinaille.
Ben sur le contenu, je ne sais pas ce qui diffère : je me contente d’observer les différences de la couv.
Tori.
C est le moment de bascule
Le deluxe a un papier et une couv assez semblable a aujourd hui… l autre c est le papier et la couv des comics d avant…
Et donc les couleurs ont pas le meme rendu
Va falloir se calmer avec ce thread, c’est le second TPB que je me prends après vos commentaires, ça commence à bien faire !! Comme si j’en n’avais pas déjà assez ici…
Alors en FF Epic, on va être complet du tome 17 (86-87) au 25 (95-96).
Il ne restera plus qu’à combler le trou du 10 (77-78) au 16 (84-85).
Pense-bête : Marvel Ultimate Collection, Complete Epic and Epic Collection lines - Wikipedia
T’as pris lesquels ?
Jim
Le premier et le second.