REVUE DE PRESSE - CINÉ / SÉRIES

Saison plus courte, c est etre au chomage une partie de l année.

C’est aussi être plus disponible pour d’autres projets.

Jim

Une part des revendications des scénaristes actuels porte sur le travail caché mais aussi sur les conséquences quand à la formation.

Je reposte cet article car il me semble être une très bon résumé de la période actuel

Things are naturally worse for those on the industry’s lower rungs. Writers on the staffs of hit shows used to be comfortable between jobs because they earned residuals from reruns. But those checks have shrunk for streaming shows made under the cost-plus model. And now that TV seasons are typically only six-to-ten episodes long instead of the traditional 22, even writers of successful series might find themselves out of work for much of the year. Some have taken jobs in retail or driving Lyfts.

One high-level agent says that studios regard the WGA’s demands — for higher minimum pay and staffing requirements, among other things — as simply incompatible with the way TV is now made: “The Writers Guild, delusionally, is harkening back to a day when there were 25 episodes of Nash Bridges a year and repeats and residuals. Back-end payments existed because Europeans were willing to watch our garbage, and Americans were willing to watch repeats of that garbage on cable at 11 at night. The real issue is that the medium changed. Instead of getting a job as a staff writer on CSI: Miami for 46 weeks a year, now it’s a 25-week job working on Wednesday, which is a better show. That’s just progress.”

But this so-called progress may have long-term consequences. Fewer weeks of employment mean that many entry-level writers are not receiving the training they need to advance through the ranks. Staff writers are now rarely invited to sets or editing rooms to learn the skills that would someday help them create their own series.

“Television has turned into a hyperspecialized Model T assembly line where everyone does one particular tiny job,” says Schur. “You focus really hard on screwing this bolt into this piece of metal, and that’s all you do. And as a result, nobody’s learning how to make a whole car. The battle now is to figure out which patches we can put on the process so that in five or ten years, people will still know how to make TV.”

Marko a posté un article passionnant sur Hill Street Blues et en le lisant on voit comment une telle série ne tient pas du miracle mais parce que des scénaristes ont bossé et appris durant une dizaine d’année sur d’autres shows. Il y a une formation.

Tiens X-Files est très connu pour avoir était un centre de formation pour des nombreux scénaristes de séries à succès des années 2000/2010. Pas de Breaking Bad sans X-Files par exemple. Et ça parce que Carter travaillait et formé des scénaristes qui montait peu à peu les échelons en apprenant le métier

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Avec un Cranston post-Seinfeld/pré-Malcolm en guest-star (peu après la sortie du 1er film X-Files).

Je vois peu passer d analyse du soap et sur son influence que j imagine pourtant tres importante sur le format série.

Le à suivre a du s y développer bien avant de s etendre aux autres genres.

De même, je serais curieux de lire sur la place qu ont tenu les romance comic dans l oeuvre de kirby.

On sait qu il en est à l origine mais outre cela quel role ont ils joué dans le développement de l artiste ?

Ce sont des sujets d analyse sur lesquels je ne tombe pas ou cela constitue t il un point aveugle de la critique ?

Je pense que c’est ça parce que j’ai pu lire moult article ou texte sur ce vaste pan de la fiction (déjà parler de « soap » est très réducteur et caricatural puisqu’on parle en fait de drama et qu’ils peuvent être quotidien ou hebdomadaire) et je sais qu’il existe beaucoup d’essai. Aux USA du moins ce qui n’est guère étonnant.

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Peut-être parce que c’est souvent jugé de haut (« pouah ces machins destinées à la ménagère et aux retraités ») et que le ridicule parfois (souvent ?) atteint est une mine d’or pour leurs moults parodies (c’est plus facile de se moquer que de critiquer après tout).

Soap is an American sitcom television series that originally ran on ABC from September 13, 1977, until April 20, 1981. The show was created as a nighttime parody of daytime soap operas, presented as a weekly half-hour prime time comedy. Similar to a soap opera, the show’s story was presented in a serial format, and featured melodramatic plotlines including alien abduction, demonic possession, extramarital affairs, murder, kidnapping, unknown diseases, amnesia, cults, organized crime warfare, a communist revolution and teacher-student relationships.

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Si vous tombez sur des articles, n hesitez pas !

et pour ce qui me concerne et que je confirme

Environ 35 films ont franchi la barre des 500 000 entrées (soit 10 %), quand quelque 250 (70 %) n’ont pas atteint celle des 100 000 billets. « Il y a une inquiétude générale sur le cinéma d’auteur, où les plafonds ne cessent de diminuer : un film qui faisait 200 000 entrées n’en fait plus que 100 000, un qui tutoyait les 80 000 doit se contenter de 30 000 », s’inquiétait le mois dernier, dans nos colonnes, Jean Labadie, fondateur du Pacte.

Le symbole d’un marché polarisé ? Mi-juin, Jane Roger, ancienne présidente du Syndicat des distributeurs indépendants, pointait « un écart de plus en plus violent entre des films surexposés qui récoltent la majeure partie des entrées et des films extrêmement fragilisés qui n’arrivent plus à trouver de salles et encore moins de séances pour exister. Si l’art et essai porteur bénéficie de la dynamique actuelle, ce n’est pas le cas de l’art et essai recherche qui souffre et qui est en danger ». Un constat que corrobore Éric Marti : « Depuis mai 2021, nous sommes dans un schéma où les films qui marchent sont de vrais succès et s’imposent sur la durée, contre une rotation extrêmement rapide pour les titres qui fonctionnent moins ». Par ailleurs, l’analyste souligne que « le déficit de titres qui auraient réalisé entre 500 000 et 1 million d’entrées et qui se retrouvent principalement sur les plateformes » est l’une des raisons pour expliquer l’écart de 12 % encore présent par rapport aux niveaux pré-Covid.

Grève votée. Ca va faire mal

Piquet de grève, plus de tournage possible, aucune promotion (le comic con va t’il se recentrer sur ses dessinateurs et scénaristes ?) etc

et de l’autre pourrissement volontaire en attendant que les petits crève la gueule ouverte et ne puisse pas payer leur crédit et leurs frais de santé

Tiens, question : ça se fait à main levée ?

Pour une fois, France Inter a parlé de la Comic Con. Pour dire que les acteurs ne viendraient pas.

Jim

Elle n’a pas perdu son énergie, la Nounou.

Jim

Elle promet l’enfer.

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Mark Waid a un avis contrasté.


Et bien argumenté.

Jim

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Souvent. C’est agréable de le suivre.

Une vision évidente. La grève va impacter sur un tas de personne dépendant de ce secteur. Je pense que ca va faire très mal.

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De mémoire, la grève de 2006 n’avait pas touché les acteurs non ?

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