Je suis au milieu du second TPB (passé la matinée à lire : pas de courant because les travaux, ça m’a fait une pause), et j’avoue que je suis épaté par la manière dont Spencer utilise son postulat de base (fausses mémoires, camouflage…). En lisant, je repensais à la série télé Dollhouse, qui a un principe de base fort, et qui parvient, en très peu d’épisodes, à pousser l’idée super loin. Là, c’est un peu pareil, ce qui occasionne un suspense intense.
Et tout le jeu sur l’échiquier politique au sein du SHIELD est plutôt astucieux. Depuis des années qu’elles grenouillent dans les coursives de l’héliporteur, Daisy Johnson et Maria Hill commencent enfin à prendre une véritable dimension. Chapeau.
Jim