Son Star Wars en fait …
Ah mais c’est sûrement là que j’ai gaulé l’info alors, tout simplement… 
Merci pour l’info ! Si je ne dirais pas qu’il s’agit là du haut du panier de la production du Duo Brubaker/Phillips, c’est quand même très bon, « Reckless », donc tant mieux.
Je ne sais pas si ça a été corrigé entre temps mais sur la version que j’ai téléchargé, ce n’est pas un morceau de The Smile qui est diffusé mais ça doit être du Gospel (je ne sais pas si c’est le même morceau que le premier diffusé ou pas, je l’ai préféré en tout cas 
)
Pour The Smile, je suis encore en phase découverte comme toi. Seulement 3 écoutes et je ne l’ai pas encore dompté ni trouvé mes repères. Mais il est très bon.
Ah bon ??? Merde, j’ai pas réécouté ça… Je vais voir ce que je peux faire.
EDIT : Bon, ça devrait être rectifié assez vite. C’est bien le même morceau de Gospel qui est passé deux fois à la place de « Skrting On The Surface »…
Ben alors, je l’ai préféré à la 2nde écoute. C’est un très bon signe! 
Sans ça, je serais peut être passé à côté.
Moi aussi, en fait !! Il ne m’avait pas marqué tant que ça à ma première écoute de l’album mais à la deuxième, il me semblait évident que c’était celui que je passerais…
Cool ce petit focus pour réhabiliter « Reinventing the Steel ».
Autant j’ai écouté tous les albums de Pantera (hors période glam évidemment) un nombre incalculable de fois, autant celui là je ne lui ai jamais laissé sa chance. Pas sûr de l’avoir écouté plus de 5 fois…
Tu m’as donné envie de le ressortir !
Ok, j’ai mis le bon épisode dans l’archive
Génial, merci beaucoup !!!
.
Ah oui ? Comme je l’ai dit durant la chronique, c’est vraiment un album qu’on a usé de bout en bout à l’époque de sa sortie avec mes potes. Je l’ai autant écouté que « Vulgar Display… » ou « Far Beyond Driven ». Pour être honnête, l’album a un gros ventre mou avant de s’achever sur deux morceaux excellents (celui-là et « I’ll Cast A Shadow », que le groupe jouait sur la tournée de l’époque), mais toute la première face est terrible, vraiment. Plus encore avec le mix de Terry Date.
EPISODE 28 : L’oeuf du chacal en plein Nexus !!
Des oeufs, des chacals et des vaisseaux spatiaux dans « Tumatxa! » cette semaine : tel est l’étrange programme auquel vous êtes tous conviés… Voilà qui nous permettra de balayer large au niveau des genres convoqués, de l’horreur au space-opéra en passant par ce bon vieux western !!! Miam.
Pour le cinéma (même si le film de la semaine n’a pas eu droit à une sortie salles mais en VOD/vidéo uniquement), nous évoquons « Egō », production finlandaise et premier long-métrage signé Hanna Bergholm, où une jeune fille, enferrée dans un foyer familial en apparence idéal, découvre un mystérieux oeuf aux proportions alarmantes… Mélange de film de monstre et de « body-horror » cronenbergienne, « Egō » comporte son lot de maladresses mais se révèle suffisamment riche pour envisager de suivre avec attention la carrière de sa réalisatrice…
Pour la littérature, on s’attelle cette semaine à un western ; ce récit, « Une assemblée de chacals », est l’oeuvre de S. Craig Zahler, artiste américain couteau suisse (jugez plutôt : le bougre est romancier, scénariste de films et de BD, musicien, chef-opérateur… n’en jetez plus), qui signe là son premier roman. D’une brutalité à peine croyable, « Une assemblée de chacals » comblera aussi bien les fans de western à l’ancienne que les amateurs du gore le plus échevelé. Accrochez-vous à votre scalp car ça défouraille !!
Pour la BD, on se penche avec joie sur le premier tome de l’intégrale en VF de « Nexus », comic book emblématique du renouveau du genre au début des années 80, signé Mike Baron au scénario et Steve Rude au dessin. Sorte de space-opéra politico-philosophique mâtiné de récit super-héroïque, « Nexus » est un régal, d’une originalité et d’une inventivité en béton armé. La traduction et la préface sont signées Alex Nikolavitch, ce qui ne gâte rien.
Le tout est évidemment blindé de bonne zique, comme il se doit : les irlandais de Therapy? refont l’actualité avec la sortie en VF d’un livre d’entretiens rétrospectif, mais aussi la ressortie de leur plutôt récent « Disquiet » (Relentless edition, est-il précisé), et on s’en écoute le terminal « Deathstimate » ; la décidément très occupée Emma Ruth Rundle sort un album atypique intitulé « EG2 : Dowsing Voice », représentatif du versant expérimentalo-curieux de son corpus, et dont est issu le sobrement nommé « Imbolc Dawn Atop Ynys Wydryn - Ice Melts As The First Resplendent Rays Of Spring Pour Over The Horizon » (ouf) ; Blut Aus Nord est de retour avec « Disharmonium - Undreamable Abysses », un album certes un peu en-deçà de son fabuleux prédécesseur dans la discographie du groupe, mais on reste dans le même niveau d’excellence habituel pour le projet de Vindsval, comme en atteste « That Cannot Be Dreamed » ; on conclue l’émission avec l’étrange et beau « Batwings (A Limnal Hymn) » de Coil, issu du sublime « Musick To Play In The Dark vol. 2 », tout fraîchement réédité…!!!
« There are lots of ugly people on this world
I know because I’m one
When I get a chance I’ll step out of the shadows
And turn my face into the sun »
Alors, pour info, les termes sur lesquels tu achoppes sont effectivement du gaélique (pas nécessairement du gallois, d’ailleurs). Imbolc, c’est une des dates du calendrier celtique. Tout à fait primordial chez les néo-païens. C’est la adate à mi-chemin entre le solstice d’hiver et l’équinoxe de printemps, ce qui correspond plus ou moins à la Chandeleur chez nous ou au Jour de la Marmotte aux US. Donc, pour les films basés sur ce calendrier, on a « Midsommar », on a « The Wicker Man » pour Beltaine. Et on a « Un Jour Sans Fin » pour Imbolc. Que des classiques de la folk horror. 
Et donc, l’autre terme, Ynys Wydryn, c’est le nom en gaélique de Glastonbury Tor, la colline qui domine la ville de Glastonbury (pas au Pays de Galle mais pas super loin non plus). Donc, aujourd’hui, cette ville est surtout connue pour être la capitale des hippies britanniques. Mais elle a toutes sortes de légendes autour d’elle. Notamment, c’est censé être le lieu où est enterré le Roi Arthur. Et le trésor des templiers. Et des lignes ley qui passeraient dans le coin, aussi. Quand j’y suis allé, j’ai pensé à un mix entre Rennes-Le-Château et Paimpont (la ville au milieu de la forêt de Brocéliande).
Finalement, le coté néo-hippie, ça lui va bien, à Emma Ruth Rundle.
Ha ha ha !!
Merci pour toutes ces précisions.
Renseignements pris, Emma Ruth Rundle a passé quelques temps au Pays de Galles (un bon mois) pour rompre avec le rock n’roll circus qui commençait à l’oppresser un peu. Elle y a écrit son album « Engine Of Hell », puis, imbibée des paysages et de la culture locale, elle a dédié une bonne partie de son dernier album, « EG 2 Dowsing Voice », donc, à son séjour réparateur là-bas.
C’est vrai que ça lui va plutôt bien, ces sonorités et ce corpus de références.
Ah oui, et Ynys Wydryn est aussi le nom d’un groupe de death metal brésilien. Mais les échos que j’ai ne sont pas très positifs. Un sous-Septicflesh, semble-t-il.
Ah tiens, connais pas du tout.
Erratum !!!
Un ami féru de géographie m’a sévèrement remonté les bretelles au sujet d’une grossière erreur de ma part : la Finlande ne fait pas partie de la Scandinavie, contrairement à ce que je claironne durant toute ma chronique sur « Ego ».¨Dont acte ! (je suis une brêle en géo)
Pour me consoler, je constate l’existence d’une entité géographique, la Finno-Scandie, qui regroupe les deux. Ouf, mon analyse n’est pas totalement invalidée… 
Ouais, la Scandinavie, c’est Danemark, Suède et Norvège, c’est ça ?
Je me plante toujours, moi aussi.
Jim
Oui, c’est bien ça ; et si on rajoute la Finlande et l’Islande (anciennes colonies danoises) ainsi que l’Estonie (mais pas les autres états baltes manifestement), on a ce qu’on qualifiera de « pays nordiques ». Que je confondais allègrement avec les pays scandinaves, donc…
L’Islande était bien sous domination danoise… mais la Finlande était sous domination suédoise.
l’Estonie est un peu la pièce rapportée, parmi les états baltes. Elle a beaucoup plus en commun avec la Finlande qu’avec la Lettonie ou la Lituanie.
Tori.
Rhââââ !!! Une erreur dans l’erratum, je fais fort sur ce coup-là.