J’avais eu un problème similaire lors d’un concert de Fear Factory à Donostia. Le volume était vraiment bas et le fait d’entendre les gens parler autour m’avait sorti du concert. Vraiment bizarre surtout qu’à l’inverse, Will Haven qui jouait en première partie m’avait flingué les oreilles. J’avais même quitté la salle quelques minutes tellement les hurlements de Grady Avenell m’arrachaient les tympans.
Oui, dans les oeuvres complètes, probablement le premier tome mais ce serait à vérifier…
Merci beaucoup !!!
Là aussi bizarrement, le volume du concert de Mantar, un des groupes de première partie, était beaucoup plus fort… Et comme le son était beaucoup moins « défini », ça faisait un peu bouillabaisse sonore. Mais un bon concert quand même, ceci dit.
Ok merci.
En adaptation de « L’anneau des Nibelungen », tu as aussi la version beaucoup plus libre de Leiji Matsumoto. C’est transposé dans l’univers d’Albator/Galaxy Express. C’est top mais ça se trouve également à prix d’or sur le net. J’ai pu le récupérer sur LeBonCoin à pas trop cher il y a quelques années.
Pour celle de Neofelis, j’avais vu l’info sur le forum en 2021 mais j’ai complétement oublié de la commander à l’époque…
Va falloir que je me dépatouille pour le choper à un prix correct…
Je ne la connais que de réputation… mais il faudrait que je me penche là-dessus !
Même moi je l’ai
Arrête de me narguer !
Attends, je commence juste.
Je viens de regarder et il est dispo sur le site de Neofelis! Tu ne vas pas pouvoir faire le malin très longtemps !
J’ai pas la capacité de faire le malin tout court, alors longtemps, tu penses bien …
Ne sois pas modeste.
Jim
À qui le dis-tu !
Je crois que je n’en ai que la moitié… Les prix me découragent vite.
Tori.
Comme toujours, merci pour la mention dans l’épisode. J’avoue que j’avais, au mieux, vaguement entendu parler des films de Borgès que tu évoques. Il va falloir que je me penche sur la question
« Invasion » est un authentique grand film, qui avait fait du bruit à l’époque, aujourd’hui hélas surtout célébré dans des cercles finalement assez réduits…
« Les Autres » a l’air très intéressant aussi, à la lumière de ce qu’en dit Vincent Jacques. Plus typique de son temps, peut-être, avec ses bizarreries narratives à la Robbe-Grillet et son hermétisme de façade.
EPISODE 23 : Les Dédales de Vincent et de la Speakerine de Radio Infini !!!
Cette semaine, émission très spéciale pour cette dernière de « Tumatxa! » avant la pause pascale, puisque j’ai l’honneur et le plaisir de m’entretenir à nouveau avec un invité et pas des moindres, en la personne d’Arthur-Louis Cingualte, qui nous avait déjà accordé un entretien passionnant pour son précédent ouvrage, « L’évangile selon Nick Cave - Le Gospel de l’âge du fer rouillé ». C’est avec joie que nous remettons ça pour son dernier ouvrage en date !!
Par ailleurs, nous aurons également le temps de nous pencher sur une BD (et pas des moindres) et un film (excellent), le tout en musique, comme il se doit !!
Pour la littérature, nous recevons donc Arthur-Louis Cingualte, pour son livre/essai/poème en prose (difficile à définir et donc précieux) « La Speakerine de Radio Infini - Pourquoi je lis Les Mille et Une Nuits », consacré comme son nom l’indique au très célèbre recueil de contes arabes parmi les plus fameux qui soient, et paru au Feu Sacré, dans la collection des Feux Follets, sous la houlette d’Aurélien Lemant, qui signe également la postface du livre.
A travers cet entretien très riche de notre point de vue, nous aurons l’occasion d’évoquer Nick Cave (en préambule), le pouvoir de la fiction, Borges, Thomas Pynchon, Huysmans, la vie nocturne, le cinéma de Robert Altman et la figure de Schéhérazade, quasi divine, qui irradie à travers toute le livre. En conclusion, Arthur-Louis teasera brièvement son prochain ouvrage, attendu de pied ferme par l’auteur de ces lignes !!
Qu’Arthur-Louis soit ici à nouveau remercié !!
Pour la BD, cela faisait très longtemps que nous ne nous étions pas penchés sur le travail de l’immense Charles Burns ; la sortie il y a quelques mois du dernier tome de « Dédales » (aux éditions Cornelius) nous donne l’occasion de le faire. Affinant encore son incroyable minutie graphique et son sens imparable du storytelling, Burns revisite sa thématique fétiche de l’adolescence étrange et aliénée, du récit « coming of age », comme son chef-d’oeuvre « Black Hole » le faisait déjà, sur un autre mode. « Dédales » est certes assez cryptique dans son propos (si ce n’est qu’il y a une sorte d’évidence dans le rapport qu’il installe avec le cinéma), mais témoigne de la maîtrise insensée de son auteur, intacte.
Pour le cinéma, séance de rattrapage avec « Vincent doit mourir », premier long-métrage de Stéphan Castang, sorti en salles en novembre dernier mais désormais visible en VOD. Le film met en scène Vincent, incarné par le fabuleux Karim Leklou, sur qui un sort étrange s’acharne : tous les individus qu’il croise se mettent à l’agresser sans raison, avec l’objectif explicite de lui faire la peau in fine… Flippant, vous en conviendrez, et incroyablement porteur sur le plan dramatique, Castang ne se privant pas de procéder à un mélange jubilatoire de genres aussi divers que la romance, l’horreur, la comédie, le post-apo, et de sacrément bien gérer ses ruptures de ton. A ne pas manquer.
Le tout est évidemment mis en musique : le défunt combo Majesty Crush a droit à une compilation rétrospective ces jours-ci, ça s’appelle « Butterflies Don’t Go Away » et le lancinant « Ghost Of Fun » en est issu ; Mazzy Star nous régale de « She’s My Baby », issu de son célèbre deuxième album « So Tonight That I Might See » ; Bauhaus dégaine son cormanien « The Man With X-Ray Eyes », extrait de son album de 1982 « Mask » ; le duo de Pittsburgh Zombi revient avec l’excellent « Direct Inject », dont on écoute le morceau introductif homonyme ; on conclue en beauté si l’on peut dire avec le sombre et massif « Hence Shall They Be Devoured All Of Them » de Lustmord, et c’est sur l’album tout fraîchement sorti « Much Unseen Is Also There »…!!
« Now everybody looks
All around the corner
Just to see your baby
Walkin’ home »
Euh… Pâques, c’est déjà passé !
Pause vernale, plutôt.
Tori.
On dit quand même les vacances de Pâques pour celles du mois d’avril… du moins dans mon corps de métier !!
Officiellement, ce sont les vacances de printemps :
Mais, oui, beaucoup les appellent vacances de Pâques.
Tori.