URBAN COMICS - Les dernières infos

Sortie en octobre :

American gods tome 1
Ombre vient tout juste de sortir de prison lorsqu’il apprend la mort de sa femme et de son meilleur ami dans un terrible accident de voiture.
Dans l’avion qui le ramène chez lui, il fait la connaissance d’un étrange personnage appelé Voyageur. Ce dernier, qui n’est autre que le dieu nordique Odin, lui propose de l’embaucher comme garde du corps. Ensemble, ils vont poser les bases d’une lutte qui opposera le panthéon des anciens dieux à celui des divinités modernes, la Télévision, Internet ou encore la Voiture.
INFOS
SCÉNARISTE : RUSSELL P. CRAIG - DESSINATEURS : RUSSELL P. CRAIG, HAMPTON SCOTT
Public : Adulte
Collection : URBAN GRAPHIC
Date de sortie : 19 octobre 2018
Pagination : 240 pages
EAN : 9791026813101
Contenu vo : American Gods #1-9

Suicide squad rebirth tome 5
Suite aux exactions de Rustam et de ses alliés, le leader du Peuple, une organisation concurrente de la Force Spéciale X, décide de révéler son identité à Amanda Waller, qu’il kidnappe afin de lui faire part de ses plans quant à l’avenir du monde.
De son côté, Harley Quinn découvre qui a tué Hack : pour Captain Boomerang, l’heure du châtiment a sonné !

Superman rebirth tome 5
La famille Kent a dû faire face à bien des soucis dernièrement, à commencer par la découverte des pouvoirs du jeune Jonathan.
Aussi, il est désormais grand temps de prendre quelques vacances… Mais les plans initiaux prennent une toute autre tournure lorsque l’Homme d’Acier se voit propulsé dans un univers d’antimatière où son unique espoir de survie repose sur un ancien Green Lantern bien connu : Sinestro.

Merci pour la reponse. C’est quand même un peu plus complexe que ce qu’on pouvait imaginer. Et surtout vachement cadré. L’éditeur-traducteur semble avoir une marge de manoeuvre assez réduite du coup.

Oui, on est un peu loin de l’ultimate open bar all inclusive* …

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  • j’ai essayé de placer softcover, mais je n’ai pas réussi

Et dans ton cas, si un éditeur a pris une licence DC, et qu’il veut faire piocher dans du matériel ancien, il doit payer quelque chose ? Que je m’explique je suppose que Urban a signé avec un objectif de publication récurrent (à vrai dire c’est ce qu’on m’a expliqué PS : je ne sais plus qui, c’était vers mes débuts où j’écrivais) mais imaginons qu’il reste dans leur quotat et qu’ils veulent piocher dans une ère différente de ce qui a été prévu et topé sur l’année avec DC, il faudra payer ? Ou non pas de souci ils peuvent remplacer si accord ? Et est ce possible que DC refuse et demande un supplément pour accepter le changement ?

C’est de plus en plus cadré, j’ai l’impression.
Tu sais, il y a cinquante ans (ou presque), Arédit publiait des Pockets en mélangeant du DC et du Marvel dans le sommaire, Lug faisait des couvertures inédites… Petit à petit, ces choses se sont codifiées, et maintenant qu’il y a des contrats bien précis, on ne sort pas tellement du cadre. D’autant que les éditeurs papiers appartiennent à d’énormes groupes qui surveillent de près leurs licences.
(Si on se recroise en live, je te raconterai les coulisses des articles…)

Je ne suis pas sûr de bien comprendre ta question.
Tel que je vois les choses (en fonction de mon expérience), l’éditeur français propose un planning éditorial sur la durée concernée par le contrat (donc sur trois ans, sur cinq ans, ouatéveur…), et contenant un certain nombre de bouquins (disons cent par an). Ces bouquins sont des nouveautés, des trucs patrimoniaux, des rééditions (type « intégrale »), ce que tu veux, suffisamment pour alimenter les différentes collections.
Bien entendu, l’éditeur américain est intéressé à l’idée que l’éditeur français consacre une grosse partie de son catalogue en devenir à la « nouveauté », parce qu’il cherche à faire rentrer des ronds sur les productions récentes, mais l’éditeur français peut aussi consacrer des cases à des choses patrimoniales (car il est supposé mieux connaître son marché propre).
En fonction des réussites, de ses envies, des bonnes occasions (un film qui sort, une expo à Angoulême, un gros succès inattendu en kiosque…), il peut rajouter des bouquins à son programme (parfois, ce sont même des raisons en lien avec la politique interne de la maison qui font que le nombre des projets augmente).
Donc, sur l’année 20XX, il prévoit cent bouquins. Et puis, au deuxième trimestre, il révise ses plans et rajoute, pour le quatrième trimestre, trois bouquins. Quelle que soit la collection, d’ailleurs, ou le format, ou la nouveauté / ancienneté. Il peut le faire, le contrat l’y autorise (c’est bien plus facile que d’en retrancher un).
Après, comment ça se danse ? Ça, je sais pas. À l’époque où il n’y avait pas de « master agreement », c’est simple : nouveau bouquin égale nouveau contrat égale nouvelle avance. Dans le cas d’un master agreement, je pense que ça peut se jouer de deux manières : soit il y a une avance (sans doute minorée et préférentielle justement parce le contrat global a été signé avant) avec des droits à payer à échéance du relevé, soit il n’y en a pas (je n’y crois pas) mais il y aura plus de droits à payer à terme. Quant à la livraison du matos, je ne sais pas si c’est cher, préférentiel ou gratuit (mais je sais qu’au début des années 2000, DC acceptait que les éditeurs étrangers pratiquent le « material sharing » entre eux).
Et tout ceci peut concerner de la même manière du Bob Kane de 1940, du Kirby de 1970 ou du Jim Lee de 2002.

Bon, j’ai la vague sensation de ne pas avoir répondu à ta question. Sans doute parce que je l’ai comprise de travers. Tu me diras.

Jim

Malgré mon coup de choucroute, tu as répondu à mes interrogations

Purée, j’ai de plus en plus de mal à te comprendre.
Tu es possédé par l’esprit de Kab, ou quoi ?

Jim

Tu me rassures !

Moi je le comprend et ça m’inquiète,
:disappointed_relieved:.

Justement ça veut dire que tu n’as pas un cerveau de vieux c’est tout xD

Ce sera avec plaisir. C’est toujours passionnants et instructifs.

Sortie en octobre :

The dregs
Vancouver, une ville en plein gentrification.
Sa population sans-abri circonscrite aux quelques blocs qui forment le quartier qu’on appelle The Dregs. Quand son meilleur ami disparaît du jour au lendemain, Arnold, un SDF toxico et obsédé par ses romans policiers, se met en tête de faire tout la lumière sur cette affaire.
INFOS
SCÉNARISTES : THOMPSON ZAC, NADLER LONNIE - DESSINATEUR : ZAWADZKI ERIC
Public : Adulte
Collection : URBAN GRAPHIC
Date de sortie : 19 octobre 2018
Pagination : 128 pages

The witcher la légende
Le voyage du sorceleur Geralt de Riv le conduit cette fois-ci à bord d’un étrange navire.
À son bord, des fous, des renégats ou bien encore de dangereux criminels. Chacun paraît plus menaçant que son voisin, mais parmi eux se cache un homme dont le lourd et sinistre secret surpasse de loin tous les autres, et pourrait bien mener l’équipage tout entier à sa perte.
INFOS
SCÉNARISTE : TOBIN PAUL - DESSINATEUR : QUERIO JOE
Public : 12+
Collection : URBAN GAMES
Date de sortie : 26 octobre 2018
Pagination : 136 pages

Ça c’est du Black Mask si je ne me trompe pas, j’ai lu pour l’instant les deux premiers numéros et c’est assez radical. Une sorte d’horreur urbaine, dérangeante et organique. À voir !

Tu ne te trompes pas effectivement

Sortie en octobre :

Batman white knight
Dans un monde où Batman est allé trop loin, le Joker doit sauver Gotham !
Le Joker, ce maniaque, ce tueur, celui que l’on surnomme le Clown Prince du Crime… si Batman, le Chevalier Noir, sombre du côté obscur, pourquoi le Joker ne pourrait-il pas sortir de sa psychose et devenir le Chevalier Blanc ? C’est ce qui arrive après qu’un traitement inédit a guéri le Joker et le fait redevenir Jack Napier : un nouveau candidat à la mairie de Gotham !
INFOS
SCÉNARISTE : MURPHY SEAN - DESSINATEUR : MURPHY SEAN
Public : 6+
Collection : DC BLACK LABEL
Date de sortie : 26 octobre 2018
EAN : 9791026814375
Contenu vo : Batman White Knight #1-8
Prix : 22,5 EUR (et version N&B à 29 EUR)

Bonsoir, je ne sais si c’est le sujet pour aborder celui-ci (…) mais…je suis le seul à avoir remarqué qu’à prix constant Urban a recement diminué la pagination de ses revues ?
Où alors des p’tits cons arrachent des pages des magasines chez mon kiosquier…rogntudju…

C’est pas plutôt qu’il y a eu des annuals un moment et que ça a grossi le kiosque ?

Nop…plus sérieusement quand je lis les paginations(plus fiable que le nombre d’épisodes à mon sens…) sur les sujets, on serait passé de 184 à 160 pages. Flagrant sur les mensuels de juin 2018 comparés à ceux de juin 2017.

Bah en fait, le chat à béret n’a pas tout à fait tort (même si son raisonnement ne va pas jusqu’au bout). Un Annual, ou un épisode #25, par exemple, ça fait soit 28 soit 38 pages. Donc soit huit soit dix huit pages de plus qu’un épisode normal.
Dans ce genre de cas, il y a deux solutions : soit on passe deux épisodes comme toujours (et donc, on grossit la pagination), soit on en passe un seul (pour les Annuals, ça arrive, mais pas que), et dans ce cas, ça peut diminuer la pagination.
Les mensuels d’Urban n’ont pas une pagination fixe, ça varie en fonction du contenu, en fait. Quand il y a un cross-over en route, il y a de fortes chances pour que le numéro qui le contient soit plus épais, par exemple. Mais là encore, s’il y a un autre truc qui prend de la place en même temps, peut-être y aura-t-il un décalage au numéro suivant, et tout et tout.
Les différents #25 récents ont par exemple un peu chamboulé les paginations.

Jim


Un début d’ appel à l’indignation, voir la contestation (pour le principe)balayé en 2 messages…
Mon ego me crie de chercher à vous prouver que vous avez tort.
Mais ma raison me prie de fermer ma gueule et d’attendre un mois ou deux pour vérifier cette réflexion pernicieusement imparable.

Une bonne nuit de sommeil déjà…