À part Blade, qui a sans doute été l’élément déclencheur de la vague.
(Après, je garde une grande tendresse pour le Punisher de Goldblatt, parce qu’il a plein de mérites, dont celui de ne pas prendre le personnage pour un objet de parodie…)
Et puis, X-Men a bénéficié de réels producteurs, des gens installés qui ont un vrai carnet d’adresses.

et ces X-Men, d’une part faisaient plaisir aux fans et d’autre part, comme il y avait peu de références, se classaient plutôt bien dans le coeur des fans, ou du moins, dans le mien.
Force est de constater qu’aujourd’hui, plus les films Marvel arrivent sur grand écran, et plus les X-Men de Synger tombent dans mon classement personnel.
Pareil.

Bon, à la base, je ne me roulais pas dans la poudreuse non plus, il y avait quand même pas mal de défauts, comme certains que tu soulignes, mais l’effort était là, et c’était ce qui faisait la part belle du film.
Voilà : on était contents que ça existe, que l’étincelle prenne… mais bon…
Moi, il a fallu attendre le Spider-Man de Sam Raimi pour que je me dise que ça y était, que j’allais pouvoir voir mes personnages bouger et vivre pour de vrai.
Jim