X-MEN: FIRST CLASS (Matthew Vaughn)

À part Blade, qui a sans doute été l’élément déclencheur de la vague.
(Après, je garde une grande tendresse pour le Punisher de Goldblatt, parce qu’il a plein de mérites, dont celui de ne pas prendre le personnage pour un objet de parodie…)
Et puis, X-Men a bénéficié de réels producteurs, des gens installés qui ont un vrai carnet d’adresses.

Pareil.

Voilà : on était contents que ça existe, que l’étincelle prenne… mais bon…
Moi, il a fallu attendre le Spider-Man de Sam Raimi pour que je me dise que ça y était, que j’allais pouvoir voir mes personnages bouger et vivre pour de vrai.

Jim