Francis Lalanne - Captain America, même combat?
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Ooooh! Cette couv’. Elle vend du rêve, elle transpire la poésie.
C’est beau comme du Image Comics de 1993
Captain America (1968) #357-365
C’est de qui ? On dirait du Mignola…
Kieron Dwyer
Le Cap de DeMatteis toujours d’actualité (thèmes universels), y compris en dehors du contexte de ce numéro :
"Someone over on Twitter plucked these panels from an old Captain America story I wrote. (Cap #284, to be precise. Art by Sal Buscema and Kim DeMulder.) The words really do reflect how I feel today about what we’re all going through.
You can always count on Cap to put it in perspective."
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« And I really do believe that. »
La fois où la moman d’Evans l’a convaincu d’accepter le rôle de Capitaine Amérique :
Another reminder to always listen to your mother.
15 ans avant la période Pacheco/Immonen du run de Remender, Sam Wilson avait déjà eu l’occasion d’endosser brièvement le costume de Cap (Captain America:Sentinel of Liberty #9, Waid/Braithwaite, 1999).
WHAT THE F…?!?
Qui a peur du Grand Méchant Capwolf ?
Pendant la longue prestation de Mark Gruenwald, Captain America a vécu de nombreuses épreuves…et la plus étrange d’entre elles pourrait bien être celle où il a été transformé en loup-garou !
Dans Man and Wolf (Captain America #402 à 407), Cap enquête sur la disparition de son pilote John Jameson (qui fut autrefois Man-Wolf) et d’autres surhumains, ce qui l’amène droit à la petite ville de Starkboro. Là, il découvre que les habitants ont été changés en loup par Nightshade, qui travaille sous les ordres de son vieil ennemi Dredmund Druid. La Sentinelle de la Liberté devient alors la nouvelle victime des expérimentations de Nightshade, comme son ami Sam Wilson avant lui (dans le #164).
Gruenwald reprenait donc là un vieux concept et des vilains de seconde zone apparus précédemment dans ce qui n’était pas le meilleur épisode de Steve Englehart (loin de là) et dans le court intérim de John Warner. Je n’ai pas tout lu, j’ai juste les deux derniers chapitres en fascicule V.O. mais je n’ai pas eu trop de mal à rentrer dans l’histoire (en 1992, il y avait encore assez de rappels dans les récitatifs et les dialogues pour ne pas être perdus quand on prenait l’histoire en cours de route) et ce qui m’amuse toujours, c’est le ton assez sérieux du récit malgré le saugrenu de la situation. Et même sous cette nouvelle forme, Cap reste le leader naturel…« rrrwe can be frrrree if we join togetherrrr !!! »
Bien entendu, nous étions dans les années 90 et les mutants étaient donc partout. Presque tous les représentants « sauvages » des X-Men sont donc au rendez-vous : Wolverine, Feral, Rahne Sinclair…et bon, il y a Cable aussi !
À la fin de Man & Wolf, Cap ne retrouve pas tout de suite sa forme humaine (ce qui lui vaut une blagounette de Wolvie, « j’aime bien ton nouveau look, Cap. Tu devrais le garder »). Ce sera pour le numéro suivant…mais juste avant de prendre l’antidote, le Vengeur poilu a du combattre son double maléfique dans un épisode dérivé de la saga La Guerre de L’Infini.
15 ans avant la période Pacheco/Immonen du run de Remender, Sam Wilson avait déjà eu l’occasion d’endosser brièvement le costume de Cap (Captain America:Sentinel of Liberty #9, Waid/Braithwaite, 1999).
Je crois que je n’ai jamais lu ça.
Ça a été traduit ?
Jim
https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/S/cmx-images-prod/Item/335144/335144. SX640_QL80_TTD .jpg
Être amateur de comic books et de super-héros s’accompagne bien souvent de petits plaisirs douteux, de la formation d’un goût d’esthète pervers qui se manifeste notamment (mais pas seulement) par le plaisir qu’on peut avoir à lire des histoires pas toujours reluisantes.
Mais bon, qu’est-ce que le “reluisant”, hein ?
On a récemment débattu du travail de Mark Gruenwald à l’occasion d’une chronique consacrée à sa série fétiche Quasar . Et on en est venus à parler de ses Captain America , qui mélange le très bon (la saga de USAgent), l’excellent (“ The Bloodstone Hunt ” ou “ Streets of Poison ”) et le nettement moins réussi.
Et là, l’un des trucs qui revient le plus souvent, c’est “Capwolf”, la dénomination donnée au personnage à l’occasion de la saga “ Man and Wolf ”. C’est un truc qui est revenu sur le devant de la scène, avec l’Americop et d’autres choses, dans les épisodes de Nick Spencer. Du coup, ça revient à l’esprit de tout le monde.
Et donc, il se trouve que je viens de relire la saga, disponible en TPB.
“ Man and Wolf ” intervient dans la série juste après le cross-over “ Galactic Storm ” et après la célébration du quatre centième numéro de la série. Steve Rogers, après avoir retrouvé Demolition Man, se met en quête de retrouver John Jameson, son pilote personnel.
Ce dernier est non seulement le fils de J. Jonah Jameson, le patron de presse bien connu des lecteurs de Spider-Man, mais également le Man-Wolf, un loup-garou “cosmique”, on va dire (pour en savoir +).
La quête de Captain America le mènera aux côtés de Doctor Druid (que Roy Thomas avait ramené et rajeuni peu de temps avant) et face à Moonhunter et Nightshade, tout deux travaillant pour un certain Dredmund. Ce dernier tente de rassembler de nombreux loups-garous de l’univers Marvel, car il est à la recherche d’un lycanthrope capable de faire quelque chose de précis (vous saurez quoi si vous lisez).
L’ensemble a un côté Roy Thomas : on rassemble différents personnages autour d’un point commun thématique, ce qui permet en gros, et un peu artificiellement, de “faire le point”. Gruenwald n’est pas un virtuose de la narration, mais face à Thomas, c’est d’une légèreté à toute épreuve. D’ailleurs, le recueil se lit très vite : le premier épisode est assez bavard car le scénariste donne plein d’explications, mais les suivants sont entièrement dédiés à l’action.
L’aventure en elle-même est distrayante, la surprise finale est classique mais sympa (même si les visées et la méthode du méchant sont assez peu claires et que son obsession des lycanthropes semble d’un coup bien inutile quand il a capturé Druid…), mais le dessin de Rik Levins est raide et la narration pas fluide. Dessinée par Kieron Dwyer ou Ron Lim, l’histoire aurait été nettement plus réussie.
Ami lecteur, si tu es “jeune”, si tu es sensible au “réalisme”, si tu n’aimes pas les “vieilles” couleurs, ce n’est pas pour toi. Mais si tu apprécies le côté frappadingue des univers de justiciers en collant, ça peut te plaire.Jim
Ça a été traduit ?
Non.
et ce qui m’amuse toujours, c’est le ton assez sérieux du récit malgré le saugrenu de la situation
C’est un des trucs que j’aime bien dans les univers de super-héros, et notamment chez Marvel : cette capacité à raconter vraiment n’importe quoi dans une posture inflexible. C’est assez frappant chez Gruenwald, mais aussi chez Englehart, voire chez Gerber (même si chacun savait apporter des touches d’humour, bien sûr). L’univers qu’ils mettent en scène est débridé (Slott, dans ses meilleurs moments, est dans cette lignée), mais ils évitent de le commenter en tant que tel. J’aime bien, ça renforce cette dimension frappadingue.
Jim
Je ne sais plus si on l’a évoqué ici, mais je me permets de mettre le lien vers mon commentaire, en 2012, au sujet du TPB « Death of the Red Skull » :
Je me suis pris récemment ce TPB, assez épais, qui m’a bien fait plaisir. En effet, la période DeMatteis, outre qu’elle est d’une qualité extraordinaire, compte beaucoup pour moi : les premiers comics en VO que j’ai achetés, vers 1981-1982, c’était cette période. Et à ce jour, je continue à la compléter petit à petit. Ce TPB est une aubaine, il me manquait par exemple le #300… Le plaisir de lire une histoire de haute tenue se combine à l’émotion de replonger dans ces numéros pour lesquels j’ai u…
Jim
Quelle mémoire, ce Marko ! ^^
mais le dessin de Rik Levins est raide et la narration pas fluide. Dessinée par Kieron Dwyer ou Ron Lim, l’histoire aurait été nettement plus réussie.
Je suis bien d’accord. Je n’ai pas lu grand chose de la période Gruenwald, surtout les histoires bimensuelles et après The Bloodstone Hunt par Kieron Dwyer et Les Rues du Poison par Ron Lim (voir mes avis quelque part plus haut), ça commence à sérieusement baisser graphiquement parlant. Rik Levins est resté assez longtemps (#397 au 422) et après c’est Dave Hoover (ouch)…
C’est assez frappant chez Gruenwald,
Oui, certains de ses épisodes sont souvent cités dans les articles qui listent les moments les plus WTF de la série (Cap se déguise en femme dans The Superia Stratagem ?)…
Quelle mémoire, ce Marko ! ^^
Oui, je sais pas comment il fait.
Du coup, il m’a donné l’idée de regarder mes commentaires précédents dans la discussion sur les rééditions, ce qui me permet de remonter quelques trucs…
Genre, le TPB « Trial of Yellow Jacket », où Cap assiste à l’un des moments les plus dramatiques de la vie des Vengeurs :
[51RhEgPB5iL] AVENGERS: THE TRIAL OF YELLOWJACKET TPB Written by JIM SHOOTER, DAVID MICHELINIE, STEVEN GRANT & ROGER STERN Penciled by ALAN KUPPERBERG, BOB HALL, ALAN WEISS, DON PERLIN, GREG LAROCQUE, MARK BRIGHT, SAL BUSCEMA & AL MILGROM Cover by AL MILGROM The end of an era! They say pride comes before the fall, and this tumultuous tome is proof of that! When longstanding and founding Avenger Hank Pym — in his guise as Yellowjacket — demonstrates reckless behavior in battle, his fellow …
Jim
Oui, je sais pas comment il fait.
« Gruenwald & Wolf » dans le moteur de recherche et hop c’est vite trouvé (même si oui je me souvenais que Jim avait évoqué ce run à plusieurs reprises ici, avant même que les Epic couvrent une bonne partie de cette période).
Adolescent, j’avais été impressionné par la présence de Captain America dans la série « Guerres Secrètes » traduite dans Spidey. La mini-série Secret Wars n’a pas que des qualités, mais elle contient quelques beaux moments, et aurait sans doute accédé à un statut encore plus grand si la qualité graphique avait été constante (syndrome qui a hélas frappé aussi Squadron Supreme par Gruenwald). Voilà ce que j’en disais en 2016 (en espérant que je ne fasse pas redite avec un post précédent) :
Dans nos réguliers échanges concernant nos « premières » lectures, celles qui sont portées par des élans de nostalgies, il nous arrive de reconnaître qu’il y a parmi les choses qu’on a aimées quand on les a découvertes en étant jeunes quelques productions confinant sinon à l’étron odorifère, au moins à la radouille totalement évitable. [image] Pour ma part, j’aurais tendance à classer la première Secret Wars (ces fameuses « Guerres Secrètes » qui ont fait les belles heures du mensuel Spidey en…
Jim
« Gruenwald & Wolf » dans le moteur de recherche et hop c’est vite trouvé
Perso, j’ai parfois besoin de consulter l’index pour voir si j’ai déjà posté une vidéo par exemple…^^
En tout cas, je suis content, il tourne bien ce fil anniversaire. En même pas 4 mois, on a déjà dépassé le nombre de posts de celui de Superman. Marvel inspire plus que DC, j’ai l’impression…^^
Je suis bien d’accord. Je n’ai pas lu grand chose de la période Gruenwald, surtout les histoires bimensuelles et après The Bloodstone Hunt par Kieron Dwyer et Les Rues du Poison par Ron Lim (voir mes avis quelque part plus haut), ça commence à sérieusement baisser graphiquement parlant. Rik Levins est resté assez longtemps (#397 au 422) et après c’est Dave Hoover (ouch)…
Je l’ai déjà dit, Captain America est la première série que j’ai découverte en VO, avec le numéro 269, par DeMatteis et Zeck. L’épisode est daté de mai 1982, donc je l’ai eu avant (trouvé dans un point presse aux Nouvelles Galeries de Caen, qui avait un minuscule rayon presse étrangère). J’étais en sixième, je commençais l’anglais, et c’était pas simple de déchiffrer tout ce bavardage. Mais c’était un défi.
J’en ai chopé quelques-uns par la suite, mais il me faudra ensuite attendre quelques années avant que mon père revienne d’un voyage aux States avec dans ses valises une poignée de comics, dont un autre Captain America. Le 336, nettement moins intéressant, mais j’étais intrigué par l’évolution de la situation.
Quelques années encore plus tard, j’étais client de Dangereuses Visions. Je ne dépensais pas beaucoup, parce que j’étais étudiant, donc fauché. Mais je prenais une poignée de comics par mois. Chez Marvel, je me souviens avoir reçu des numéros de Hulk (en commençant par le légendaire 377, quel point d’entrée), de Quasar (avec le premier Capullo !) et de Captain America.
De mémoire, je dirais que c’est le 380, avec le début de la saga consacrée au retour de la Serpent Society. Là, j’étais en terrain connu : des vilains classiques, des explications en cours de route, un début de saga…
Depuis lors, j’ai complété. Je me souviens que je commandais des comics à un revendeur qui habitait dans la région de Cherbourg, dont j’avais trouvé les coordonnées dans Scarce, et que j’ai retrouvé par hasard dans un salon BD l’année dernière (sur le ton « but alors you are french »). J’ai du mal à situer cette période : avant ou après Dangereuses Visions et ce Cap #380 ? Je sais pas trop : je me souviens que dans son catalogue, j’essayais de prendre des trucs qui me chauffaient vraiment (les Doctor Strange de Paul Smith, tiens, puisqu’on en parle en ce moment), et comme il était un peu cher, enfin pour mes finances de l’époque, je priorisais. Sans doute que je prenais plutôt les Cap de Zeck que ceux de Lim, quoi.
C’est un peu loin, tout ça.
Oui, certains de ses épisodes sont souvent cités dans les articles qui listent les moments les plus WTF de la série (Cap se déguise en femme dans The Superia Stratagem ?)…
Ah, « Superia Stratagem », c’est du grand n’importe quoi. Pour moi, c’est le sommet de Gruenwald. Postulat stupide, plan improbable de la méchante, contre-attaque bancale des héros, péripéties abacadabrantesques, entassements de seconds couteaux improbables… Et pourtant, j’adore. Y a un côté complètement décomplexé au bouzin qui me séduit vraiment. Bien dessiné, ça aurait été marrant.
Tiens, je vais aller me relire ça, bientôt, na !
« Gruenwald & Wolf » dans le moteur de recherche et hop c’est vite trouvé
Mais quand même !!!
Marvel inspire plus que DC, j’ai l’impression…
Étonnant, non ?
C’est parce qu’on s’ennuie à cause du confinement !
Jim
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