Wonder Woman par Sami Basri :
Jim
Wonder Woman par Sami Basri :
Jim
Ca donne finalement envie d’y jeter un oeil.
Le destin de la Société de Justice, expliqué dans les années 1970 dans Adventure Comics #466 :
Le dernier épisode de ce passage dans Adventure Comics , et qui referme le sommaire du recueil, est composé par un grand flash-back . Huntress raconte à Power Girl pourquoi les héros ont cessé leurs activités au début des années cinquante. En fait, après avoir déjoué un plan d’espions d’une autre nation, ils ont été convoqués devant une commission sénatoriale, qui refuse de croire qu’un autre pays pourrait disposer d’une technologie susceptible d’envoyer une station orbitale dans l’espace. Les politiciens demandent aux héros de dévoiler leurs identités, mais ceux-ci refusent et quittent l’assemblée, renonçant du même coup à leurs activités de justicier.
Très bien servi par un Staton qui s’encre lui-même (il y a encore des dessins bancals, mais ses choix d’encre donne de la vie à ses cases), Levitz pose là un jalon de l’univers DC et de sa continuité. L’épisode sera repris notamment par Roy Thomas et conservé dans les timelines à venir, et sera également une source d’inspiration pour la série Golden Age de James Robinson et Paul Smith.
Les aventures de la Société de Justice prennent fin dans les années 1970. Mais les bases seront posées pour d’autres déclinaisons (notamment la série de Thomas et Ordway), et surtout, Levitz, s’il n’aura pas réussi à rendre palpitantes les aventures, aura imposé des personnages (notamment Huntress) et une continuité qui servira de tremplins à nombre de ses collègues.
Pour en savoir plus :
Le premier tome consacré à All-Star Comics (version années 1970), s’est arrêté au numéro 67. Le tome suivant (je rappelle qu’il existe une intégrale noir & blanc en Showcase et une intégrale en couleurs, plus récente) reprend dès le numéro suivant, complétant la série sous une couverture de Brian Bolland. [91bfFw8fowL] La série bénéficie du dessin de Joe Staton, énergique mais inégal. On sent qu’il aime ses personnages et qu’il s’investit, mais il y a toujours une case bancale ou un visage rat…
Jim
Wonder Woman et Donald Trump par Ramona Fradon :
Jim
Brett Breeding
Wonder Woman #170, par Robert Kanigher et Ross Andru :
En 1967, c’est au tour de Robert Kanigher et de Ross Andru de réfléchir à une histoire de gorille. Bien entendu, les singes de l’espace apparaissant dans l’épisode ont les honneurs de la couverture.
L’histoire proprement dite se situe en deuxième partie, après un récit consacré au Doctor Psycho. Ici, Diana voit atterrir une soucoupe volante dont les occupants sont des gorilles. Leur chef désire capturer une Amazone pour son bon plaisir, mais la Princesse se rend compte que ce sont des gorilles mâles, et qu’il faut donc les chasser prestement de l’Île du Paradis, si l’on veut éviter que les Amazones perdent leur pouvoir.
Pour plus d’informations :
Ainsi que le relève Francis Saint-Martin dans l’article de Scarce #49 qu’il consacre à Julius Schwartz, Strange Adventures #8, daté de mai 1951, revêt une importance historique énorme, puisqu’il est à l’origine d’une mode aussi saugrenue que durable. [lf-2] Sur la couverture dessinée par Win Mortimer, on voit un gorille en cage brandissant un tableau noir sur lequel il a rédigé un appel à l’aide. Le fascicule se vend nettement mieux que les numéros précédents, et Julius Schwartz, qui a la char…
Jim
Une page de publicité !
Jim
Wonder Woman par David Williams :
Et originaux de Sensation Comics :
Jim
Wonder Woman et la Société de Justice par George Pérez :
Jim
Wonder Woman et Power Girl par George Pérez :
Jim
Publicité pour des montres super-héroïques, 1977 :
Jim
Wonder Woman face à Hulk, par Mike Deodato Jr :
Jim
Statuette Wonder Woman, 29 cm, Kotobukiya, 2015 :
Jim
Statuette Wonder Woman, 29 cm, Kotobukiya, 2015 :
Elle est à la maison celle-ci, avec ses copines !
Lynda Carter et sa doublure, Jeannie Epper :
Jim
Autre doublure de Lynda Carter, Kitty O’Neil (1946-2018) :
Elle a également doublé Lindsay Wagner dans Bionic Woman / Super Jaimie.
Jim
En voyant ses doublures ça me fait penser à quelque-chose.
Dans la série les bottes sont à talons, mais très souvent lorsqu’elle court ou qu’il y a une cascade, comme par magie les bottes deviennent plates.
Comme ici par exemple, dans la grotte on voit bien les talons, et lorsqu’elle court après l’hélicoptère et qu’elle s’y accroche, plus de talons !
Ici aussi on le voit bien. Elle se transforme elle a des talons, elle court et lance son lasso, plus de talons et lorsqu’elle s’approche de sa prise les talons sont de retour !
Steve Englehart ferait deux épisodes avec une intrigue sur les bottes rétractables qui lui permettrait de dévoiler un secret cosmique lié aux origines des Amazones !
Jim
Hahaha