De la tétralogie, c’est peut-être celui que je revois le plus souvent.
Jim
J ai déjà parlé de mon gout pour la boule à z feminine ?
Clin d’œil
Genre, là !
Et sérieux, ça marche super bien. La scène de cauchemar, au début, elle est prenante, intense.
La caractérisation est formidable, portée par des acteurs attentifs à leurs rôles. Paul Reiser compose un Carter Burke sans cesse à la recherche de la bonne expression, louvoyant entre les sujets qui fâchent, ce qui annonce plein de choses. Et ça va continuer ainsi tout le temps. L’une des scènes qui me plaît le plus, c’est quand ils se regroupent autour de la table et regardent un plan : Newt est trop petite pour voir, et c’est Hicks qui la fait asseoir sur le bord. Tout le personnage est là.
Je trouve assez épatant qu’il soit possible à ce point d’être fin dans la définition des personnages alors que l’ambiance est à la bidasserie. Le briefing, c’est un modèle du genre.
Un autre truc que j’aime beaucoup dans ce film, c’est qu’il a été fait avant la grosse vague des avancées numériques. Donc y a de la matte painting à foison, des maquettes dans tous les coins, et ça fonctionne très bien.
Jim
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J’aime les 4 mais le 2 reste mon chouchou.
J’aime comment les 4 films amènent une variation sur le genre à chaque fois.
Tout pareil.
Tsouin sur les rotules qui fait des messages de plus en plus court quand il en fait
T’as encore de la marge avec Victor.
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