COMICS ODDITIES

Et pendant ce temps, la suite des histoires imaginaires des X-Men de Frédéric Steinmetz se profile à l’horizon.

30 ans et toujours vert!

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Quand Ann Nocenti décide de s’attaquer au sujet de l’activisme, on peut s’attendre à un épisode explosif!

La plus grande saga mutante jamais contée!

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Alors que Claremont s’échinait à donner de l’épaisseur à ses personnages féminins, d’autres épisodes de l’Assistant Editors’ Month étaient plus… gênants.

Pour son chant du cygne, la collection DC Graphic Novels convoque l’une des forces vives de la science-fiction et l’un des dessinateurs philippins les plus fous ayant jamais tenu un crayon: Space Clusters

Tu déniches de sacrés trucs, toi. Encore un titre que je ne connaissais pas. Et c’est vrai que Alex Nino en couleurs, c’est plutôt impressionnant. Pour moi, il est surtout associé aux récits courts de DC que j’ai dans quelques pockets N&B d’Arédit.

Malgré ces succès, cette période est marquée par une occasion ratée puisqu’il avait été engagé par Ralph Bakshi pour travailler sur son film d’animation Wizards.

Les Sorciers de la Guerre en V.F. J’en ai causé dans le ciné-club :

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Merci Doc.
Je pense que certains albums de l’autre collection de graphic novels DC devrait te plaire aussi (même si là aussi le bilan global est mitigé).

Excellente chronique des Sorciers de la Guerre d’ailleurs (j’ai un amour coupable pour Bakshi, y compris Cool World).

Clash of the Titans!
Nuff Said!

Petit bilan de la gamme DC Graphic Novels pour terminer la semaine.

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A hard Rain’s a-gonna fall

Car n’y allons pas par quatre chemins, ce Daredevil 252 c’est juste… l’un des meilleurs putain de tie-in jamais publié !

Je suis bien d’accord. Superbe épisode, le genre de lecture qui reste imprimée dans la mémoire après toutes ces années !

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Tous les tie-ins de Nocenti durant son run sur Daredevil sont excellents.

Quand les tergiversations autour du Brexit rendent le 1er ministre anglais fou, ça pourrait bien signer la fin des X-Men

Revenons aujourd’hui sur un Marvel Graphic Novel qui partait sous de mauvais auspices mais…

Ma dernière lecture remonte à pas mal d’années maintenant, mais je reste très fan de ce titre sorti en TOP BD en 1986 (pinaise, j’avais 12 ans). Et en tant que fondu de cinoche bis, j’aime beaucoup le concept tout simple à la base du titre…^^

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Je suis un grand fan de ce GN. Pour un tas de raison.

Je pense aussi que l’âge de la découverte, et l’amour d’un certain genre de cinéma aide beaucoup !
C’est purement vendu comme un géant qui va détruire des immeubles et se confronter à des super héros. Mais au-delà de ce postulat un peu simpliste, Michelinie propose des personnages très bien écrits, qui possèdent et provoquent es émotions.
Le personnage Ahmet Abdol dont le parcours en fait une figure tragique aurait pu n’être qu’un vilain pas content de ne pas être le maître du monde par exemple. . L’introduction place de suite le personnage comme quelqu’un ayant fait les mauvais choix à cause d’une tragédie très… Humaine.
La Vengeance du Monolithe Vivant est pour moi la meilleure histoire d’un scénariste que j’ai pu parfois jugé efficace, mais malheureusement trop… Impersonnel à mes yeux.
Mais ici, sa conception de l’Héroïsme m’a énormément touché et a façonné en quelque sorte MA conception du super héros : un personnage qui ne se laisse pas abattre par une menace plus grande que lui (Spider-Man) et un autre qui possède des valeurs mettant en avant lHomme lui-même (Captain America).

La partie graphique fut aussi une claque pour moi !
J’ai passé des heures à recopier certaines cases, tant ce dessinateur que je ne connaissais pas caractérisait ses personnages par des postures élégantes et sauvages, des visages expressifs ! Silvestri, aidé par un Geof Isherwood « organique » disont, sublimaient certaines idées essentielles du récit : quand Abdol fait le choix définitif qui scellera en quelque sorte son sort et celui de sa fille. Cette planche qui montre l’hésitation du mutant est le point culminant du récit !

Le récit réussit donc, sous une forme de pur divertissement super héroïque, à définir de beaux personnages, des moments aussi explosifs qu’intimistes, tout cela servit par des artistes qui tirent parti d’une idée toute simple et très « bis ».

Une réussite du genre et, vous l’aurez certainement compris, une vraie expérience de jeune lecteur pour moi !

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Concept qui pouvait aussi mener au pire (et j’aime les « zederies » donc ça ne m’aurait pas nécessairement gêné^^) mais que Michelinie a su transcender mais ça j’y reviendrais plus en détail la semaine prochaine :wink:

Fred connait déjà tout le bien que je pense de ce MGN

epoque ou silvestri a encore beaucoup de zeck et pas du lee

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De l’action, de l’émotion, du grand spectacle…lire ce genre de BD les premières années où l’on découvre les comics, ça ne peut que vous marquer. Comme les DD de Nocenti, les Hulk de Peter David dont Winnetouch parle régulièrement, c’est resté gravé dans ma mémoire. Alors que j’ai bien du mal à me rappeler de la plupart des trucs de super-héros récents lus ces dernières années (et ce n’est pas parce que je vieillis…^^).

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