Video Girl Aï (tome 1 à 4 édition deluxe) : admirant les travaux de Katsura, et ayant eu l’occasion de saisir à prix réduit dans toute la série, je me suis mis à lire les VG dont je n’avais lu que les Len. Et je dois dire que pour ce début j’accroche vraiment à cette love stroy fantastique, où un vidéo club apparaît aux gens ayant le coeur pur subissant un chagrin d’amour, et ayant la possibilité d’être consolé par une fille (n’ayant pas le droit d’aimer) sortant de l’écran pour une durée limité (environ trois mois). Mais il il y a un petit bug pour le héros de cette première histoire du nom de Yota, est la jeune fille est possédée par ce sentiment d’amour. Et que de péripéties en perspective.
On retrouve le système classique des histoires d’amour finement mené par Katsura, avec la superbe fille, l’ami conseiller, l’amie d’enfance, etc… mais dans une version plus fantastique, moins « petite culotte », et développant beaucoup le sentiment d’amour sous toutes ses formes en ce début. Ce que j’apprécie, c’est que le rythme est assez rapide, et on se plonge intégralement dans l’histoire et il est assez difficile d’y décrocher. D’ailleurs j’y retourne
Gosh, encore un qui n’a pas lu tout ce qu’on a dit avant ^^‹ ›‹ ›‹ ›’
Mars, tomes 13 à 15 + tome 0. Me voici enfin à la fin de cette série, qui au final était bien plus prenante que ce à quoi je m’attendais. Alors que je pensais tomber sur un shôjo des plus basiques, avec poufs et cruches à gogo, je me retrouve avec un manga sérieux, shôjo certes mais pas fleur bleue pour un rond, qui aborde des thèmes difficiles, comme le viol, la pédophilie, le meurtre, le suicide… le tout avec des dessins très agréables, et des personnages attachants de par leurs forces et leurs faiblesses, et une histoire agréable qui ne subit pas trop de longueurs.
En conclusion, une série vraiment cool, que je ne regrette pas d’avoir lue ^^
Asimov: excellent choix que Video girl Ai, qui reste l’un de mes manga préférés dessins superbes, personnages aux sentiments très purs et vrais, beaucoup de bouleversements, et on a souvent la larme à l’oeil (il y a même un passage où j’ai chialé comme une madeleine).
Va vite voter pour VGA dans le tournoi best manga o/
Saintdimi: boulet
Inu Yasha 1 à 10: un Rumiko Takahashi ne se refuse pas, et pour le moment, j’adore celui-ci (j’avais déjà lu les premiers tomes il y a un certain temps) L’histoire est sympa, sans être profondément oroginale. Mais il y a la petite touche Rumiko Takahashi en plus, un mélange action/humour burlesque bien dosé, que j’adore retrouver chez cette mangaka. Il y a aussi des passages plus tragiques, mais je ne les trouve pas assez développés pour le moment. Et de très bons dessins, si l’on accroche au style. Personnellement j’adore. Bref, pour le moment, c’est que du bonheur pour moi
Shin Megami Tensei: if… le one-shot qui sert de prologue à Shin Megami Tensei: Kahn, et qui aide à mieux comprendre l’oeuvre. Uune impression de bâclé sur tous les points, du coup j’ai moyennemeny accroché à ce one-shot; mais il se révèle vraimetn très uitile pour la compréhension de SMT: Kahn.
Shin Megami Tensei: Kahn 1 à 5:Nobu et Yumi sont deux adolescents sans histoire dont la vie bascule dans l’horreur le jour où leur lycée est transporté dans un monde de ténèbres… Ils sont les seuls survivants de ce voyage macabre au cours duquel 560 élèves et 28 enseignants ont trouvé la mort. De retour dans le monde des vivants, Nobu et Yumi deviennent les pièces maîtresses d’un complot diabolique qui vise à livrer la terre aux armées des ténèbres…
J’ai suivi les 3 premiers tomes avec plaisir, mais pas avec passion. L’histoire est intéressante, les personnages aussi, mais il manque quelque chose pour que la sauce prenne vraiment bien. Et puis, arrive le tome 4, qui marque une séparation avec le début du manga. On se retrouve plongé dans le futur, dans un monde post-apocalyptique où règne la guerre entre humains et démons, conséquence de ce qui s’est passé dans le 3 premiers tomes. Et c’est là que ces 3 tomes prennent toute leur ampleur, et que le manga dévoile tout son potentiel, qui se révèle vraiment énorme. Apparition de nouveaux personnages, on en retrouve d’anciens qui ont bien ou mal tourné dans ce monde chaotique. J’ai vraiment hâte de lire la suite.
Un manga à mon avis incontournable, pour les amateurs de manga sombres et d’univers post-apocalyptique. Et encore une excellente trouvaille de Ki-oon.
Je pige pas trop pourquoi t’en as rajouté une couche après
saintdimi (puisque les autres ont du mal à utiliser des mots pour t’expliquer, malgré leur intelligence a priori supérieure), ici, on ne liste pas ses achats, mais on les commente. Tu dois donc donner ton avis pour dire ce que tu as pensé des mangas que tu viens de lire. Pour la liste des derniers achats, un autre topic existe autre part (je sais pas où par contre).
Voilà voilà, rien de bien terrible n’est-ce pas ?
Par contre, le flood (tu chercheras ce que ça veut dire ) avec des ^^, tu peux zapper, c’est inutile Je serai modo, je te les aurai viré direct.
Death Note, tome 5. (Hmf, j’ai pas pu résister à l’envie de le lire avant de l’acheter T_T). Aaaaaaah ooo Death Note o Bon, même si j’admets que ce tome subit quelques longueur (enfin à mon avis) quand on attaque la partie Yotsuba. A ce moment là, j’ai du m’accrocher pour suivre. (Et encore j’ai survolé quelques passages). Mais décidément, j’adore Light avec sa nouvelle personnalité. Certains diront qu’il manque de piquant, ou quoi, que ce nouveau rôle ne lui va pas du tout, et bien moi j’adore le passage où il est droit et intègre, honnête et franc, et en plus ses yeux sont dessinés plus grands que quand il est Kira, ce qui ne gâche rien (et puis ses cheveux qui poussent, d’ailleurs j’ai trouvé que dans la scène de la voiture avec son père, il était vraiment troooop beau o). Bon, enfin ce n’est que mon avis. De toute façon, j’aime les deux Light, le cruel comme le gentil ^^ En ce qui concerne L, il est plus fade dans ce volume, parce qu’il est déprimé, peut-être? Quoi qu’il en soit, j’ai quand même adoré toutes les piques que Misa, Light et lui se lancent, et Aizawa qui pète un câble quand il les entend parler de « gays, rendez-vous amoureux » etc… Et bien sûr, LE passage qui réjouit toutes les yaoistes (je dirais bien « tous » mais je suppose que les garçons yaoistes sont moins nombreux XD) le moment des menottes, évidemment ooo je me demande bien comment ils font pour se laver, fufufufufu (enfin remarquez qu’ils gardent les mêmes vêtements, Light comme L… humm…). Sans compter le passage où Light dit que L ne sera pas seul tant qu’il sera là o mon Dieu, que c’est romantique o si ces deux là sont pas faits l’un pour l’autre! hum hum
Sinon, autre évènement marquant, l’arrivée de mon Namikawa chériiiii ooo ah diantre, qu’il est beau. (Mais je suis deg, chez Kana ils ont marqué qu’il était marié avec des enfants alors que dans les scantrads, il était célibataire ^^‹ ›‹ ›‹ ›‹ ›’ enfin… non que ça me préoccupe, mais…)
Et aussi l’histoire Erald Coyle et l’entrée de deux nouveaux protagonistes intéressants, Aiber et Wedy.
En bref, malgré quelques longueurs du côté de la Yotsuba, c’est toujours avec un énorme plaisir que je lis cette série que je trouve absolument incroyable. Vivement le tome 6.
Binetsu Shôjo, tome 4. Même si le manga m’a fait rire, j’ai quand même du mal à accrocher. C’est toujours la même rengaine, madame la Rivale qui se pointe, qui fout la merde dans le couple, et quand elle disparaît, hop son collègue masculin monsieur le Rival reprend le flambeau, fout la merde dans leur couple, et ils tombent dans des pièges qui seraient évidents à des enfants de cinq ans… Et puis c’est quand même incroyable de ne pas avoir assez de volonté pour dire clairement à une fille « c’est pas parce que tu m’as embrassé de force qu’il faut croire qu’on sort ensemble » et puis c’est dingue de se sentir coupable de s’être fait embrasser au point de le cacher à sa petite amie.
Enfin bref, y’a comme un très gros air de déjà vu avec cette série. Je pense que je lirai la suite, mais juste parce que ma curiosité insatiable se demande comment tout ça va bien finir (ah, et puis l’intervention d’un beau gosse aux cheveux longs n’y est pas pour rien non plus ^^).
Galism, tome 5. Voici une série qui me fait mourir de rire à chaque fois que je la lis XD ça fait du bien de lire un truc où les héroines ont enfin un peu de volonté et ne passent pas leur temps à pleurer pour un oui pour un non! Bref, ce tome 5 est sous le même drapeau que les 4 autres, romance et bidonnage au rendez-vous, les trois garçons toujours aussi drôles, surtout quand ils racontent leurs malheurs, les situations cocasses, (même si parfois un peu lourdes, je ne le nie pas) les dessins toujours aussi sympas… ^^
Même si ce tome était l’avant dernier de la série et que je n’ai pas l’impression que Ran va finir avec mon petit Kent, ce qui me désespèèèèère (RAH mais pourquoi, pourquoi elle sort avec ce nul de Yudai au lieu de cette bombe sexuelle de Kent???), mais enfin j’ai quand même hâte de lire la suite :D:D
Lawful Drug, de Clamp, tome 1. Une série shônen-ai ^^ (pour l’instant peut-être que ça partira dans le yaoi par la suite? ) Je l’ai trouvée assez étrange… Déjà, pourquoi le héros se retrouve-t-il agonisant dans la rue au tout début du manga sans qu’on sache pourquoi? Mais à la fin du manga c’est marqué que par respect à la législation en vigueur en France, des images ou textes pouvant être considérés comme incitation à la prise de stupéfiants ont été supprimés. Un peu dommage pour un manga qui s’appelle Lawful Drug, me direz-vous… Donc la question est: est-ce qu’ils ont effectivement supprimés des passages qui peuvent nuire à la compréhension de quelques aspects de l’histoire? Est-ce que le héros (Kazahaya Kudo) était défoncé le soir où Rikuo Himura (l’autre héros) l’a retrouvé? … je trouve vraiment dommage qu’ils aient censuré des passages (alors qu’il y a d’autres mangas tellement plus gores… enfin ce n’est que mon avis).
En ce qui concerne les personnages, Kudo a l’air d’être très soupe au lait et très borné, mais il me plaît bien, c’est un jeune homme sympathique. Il a une coupe bizarre, longue d’un côté, et courte de l’autre (tout comme son employeur qui lui donne des jobs étranges, Kakei), mais il est mignon quand même L’autre, Rikuo Himura, me fait penser à un mélange de Domeki et de Kurogané, le type asocial au possible, qui ne parle pour dire que le strict minimum et qui est toujours moqueur et ironique (et puis même physiquement, il ressemble à Kuro ^^)
Mais cette série est étrange tout de même: est-ce que Kudo et Rikuo vont continuer à faire des petits boulots bizarres pour Kakei? Je suppose qu’on arrivera dans un passage où leur passé (qui semble bien tordu) sera révélé, mais je me demande quand même un peu où les Clamp veulent nous emmener.
Mais c’est intriguant, et c’est shônen-ai, alors j’aime bien.
Jim_Laine
(Jean-Marc Lainé)
A scindé ce sujet ()
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En attendant le dernier tome de Fruits basket et le premier tome de Démons et chimères, Delcourt nous propose ce one-shot, recueil de plusieurs travaux de Natsuki Takaya.
La première histoire, qui donne son nom au recueil, nous raconte comment un jeune garçon à la mine renfermée, et une jeune fille qui reste marquée par les brimades qu’elle a subies dans le passé, vont, grâce au chant et à la musique, se trouver et se redonner mutuellement le sourire. Une première histoire magnifique, très touchante, qui se veut porteuse d’espoir, et dont le style n’est pas sans rappeler un certain Fruits basket.
La deuxième histoire, intitulée « Ding Dong », nous narre les relations plus ou moins tendues entre une jeune fille après la mort de son père, et sa belle-mère, veuve après seulement quelques mois de mariage. Heureusement, les quiproquos disparaîtront et tout s’arrangera pour eux. Sympathique.
« La voix de mon coeur » nous narre la jolie histoire de deux jeunes adolescents musiciens. Je dirais que le style est proche de la première moitié de Fruits basket.
« Double jeu » nous montre comment une jeune fille fugueuse va s’immiscer dans la vie sentimentale de son jeune oncle et de la femme qui l’emploie. Une histoire à la fois drôle et touchante, dans le plus pur style de Natsuki Takaya.
Enfin, « La Princesse des Ténèbres » est une parodie délirante De Blanche-Neige, dont les personnages ne sont autres que ceux de Ceux qui ont des ailes ! Une histoire originale, déjantée et souvent drôle. Natsuki Takaya s’essaie ici à un autre style, et avec beaucoup de réussite.
Pour tous les fans de Fruits basket et de Ceux qui ont des ailes, Accords parfaits se révèle être un indispensable, car on y trouve tout ce qui fait le charme de ces deux oeuvres de Natsuki Takaya. De plus, il est très intéressant de voir, entre les différentes histoires, l’évolution du style de la mangaka.
Pour les autres, ce one-shot est vraiment un très bon moyen de découvrir l’univers de cette excellente mangaka.
Ludwig revolution 1:
Difficile de résister, quand on voit la magnifique couverture du tome 1 de ce nouveau manga de Kaori Yuki.
Et l’intérieur du manga est encore plus irrésistible.
Kaori Yuki prend ici un malin plaisir à exercer tout son talent (et on sait qu’il est souvent énorme) pour revisiter à sa manière les plus grands classiques de contes bien connus.
Le tout se veut parodique. On a donc le droit à un savant mélange entre le style sombre et macabre que l’on connaît à la mangaka, et un irrésistible humour plus ou moins noir, style beaucoup plus rare chez l’auteur.
On suit donc le prince Ludwig, personnage principal très spécial, puisqu’il est à la fois beau, intelligent, séducteur, mais aussi arrogant, égocentrique, grossier et nécrophile (ce qui est quand même peu courant ^^). Celui-ci est à la recherche de la femme idéale (ce qui pour lui, signifie une femme belle à la poitrine opulente ^^), et va faire la connaissance de plusieurs personnages de contes.
Ainsi, il croisera le chemin d’une Blanche-Neige absolument magnifique en femme fatale… un peu trop fatale.
Puis il croisera un chaperon rouge-tueuse sanglante, ainsi qu’une belle au bois dormant à l’histoire tragique.
Enfin, il devra porter secours à une ravissante demoiselle au physique faussement avantageux, et dernière capture en date d’un Barbe Bleue hilarant tellement il est ridicule.
Au final, Kaori Yuki nous sert sur un plateau un premier tome qui est un véritable chef d’oeuvre, revisitant ces contes de fées avec un humour noir qui fait mouche, et avec des dessins tout bonnement magnifiques (et c’est quelqu’un qui n’est d’habitude pas fan des dessins de Kaori qui vous dit ça )
J’ai hâte de lire la suite qui, je l’espère, sera aussi excellente que ce premier tome.
Je l’avais pris hier sur l’étagère du furet et je l’ai reposé sans le lire, mais finalement j’aurais pas du ^^‹ ›‹ ›’ et c’est vrai que la couverture est absolument magnifique.
Pas mieux. Un véritable régal, un florilège de situations plus excellentes les unes que les autres, des héros incroyablement parodiques, avec parfois une touche de mélancolie (un passage où le prince pense à la princesse Ronce…), vraiment quelque chose à ne pas rater. Sublime ^^ (tout comme la couverture d’ailleurs ^^)
Yakitate Japan, tomes 6 et 7. Aaaah mais qu’est-ce que je peux me bidonner devant cette série!!! Elle est franchement énormissime. La coupe afro de Kawachi, Kuroyanagi et son aller au paradis, Yukino, la garce sulfureuse, et Kazuma qui est toujours adorable, décidément cette série est un vrai régal ^^
(Mais elle donne faim XD qu’est-ce que je ne donnerais pas pour goûter ces fameux pains!!! ^^)
Yotsuba T6 : Yotsuba et ses compagnons restent fidèles à eux mêmes dans ce tome, qui est tout comme les 5 précédents, très bon et très « nouveau », rafraichissant.
Les dessins sont toujours les mêmes, on ne peut pas faire mieux pour ce type d’histoire.
C’est vrai, on rit moins dans ce tome (je n’ai franchement rit que 2 fois), mais durant toute la lecture ^^
AU finale, j’adore toujours cette série, l’idée de devoir attendre un bon bout de temps avant le 7 me fend le coeur.
8/10
Slam Dunk T25 : Alors là sa devient sérieux ! J’ai adoré ce tome, qui m’a extasié au moment du combo entre Sakuragi et Ryota
Le match qui débute dans ce tome se promet d’être fabuleux ! Sans aucun doute le meilleur match depuis le début.
Takehiko Inoue a encore progressé au niveau des dessins, à un tel point que c’en est fascinant.
C’est superbe. Vive Slam Dunk ! Un de mes mangas préféré
Le seul bémol dans cette série, c’est qu’à chaque tome on se rapproche de la fin.
10/10
EyeShield 21 tome 15:
Fin du match entre Deimon et Poseidon, qui donne la victoire à Deimon à un fil…
Ensuite, lors de la fete des sports de Deimon, Hiruma organise un entrainement spécial…l’occasion de voir Mamori d’une autre manière…
Lors de cette fete, Sena rencontrera Riku, un ancien camarade qui est tout aussi rapide que lui…et qui joue dans l’équipe de Seibu, le prochain adversaire de Deimon…
Un tome de qualité tant dans le dessin que dans le scénario. On ne s’ennuit pas et l’on s’amuse des mauvais coups de Hiruma…le tandem Yusuke Murata/Inagaki Riichiro brille à merveille.
Zacthbell tome 7:
Un tome de transition, où on a le droit à des intrigues parallèles sans incidence sur la trame principale…
On a par exemple le récit de la rentrée en classe de Kiyomaro, ou encore la rencontre de deux démons et leur possesseurs qui ne sont pas comme ceux qu’ils ont rencontrés auparavant…
Un tome une nouvelle fois très bon, où l’humour et les bons sentiments sont présents…
School Rumble tome 1:
Tsukamoto Tenma rentre en première et se retrouve dans la meme classe que clui qu’elle aime depuis toujours, Karasuma Oji…et elle en profitera pour essayer de lui déclarer son amour…Mais ce qu’elle ne sait pas c’est que Harima Kenji, voyou du coin, est amoureux d’elle et que cette année sera aussi sa chance de déclarer ses sentiments…
Un premier tome hilarant, puisque ces trois personnages principaux forment un triangle amoureux qui est à l’orgine de beaucoup de situations comiques…surtout qu’ils ont tous un caractère bien défini…Tenma est naive, Kenji est plutot maladroit et Oji est…euh…impassible…