ENCREUR, PLUS QU'UN MÉTIER

"A Splash from Secret Wars # 12 by Mike Zeck, with Inks by Arthur Adams and Mike Mignola, Letters by Joe Rosen, Colors by Christie Scheele, and a Script by Jim Shooter.

Mike Zeck needed help getting this book finished, so later issues of this series featured multiple inkers, but John Beatty is the only one that got officially credited. Mignola’s heavy black inks have stood the test of time, whereas Art Adam’s felt pen work has faded."

Capullo :

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Tu m etonnes, on etait tous comme fou devant ces episodes.

Dommage d ailleurs que l equipe avec les costumes de l école n ait pas eu le droit à plus d épisodes.

Cette période… J’avais l’impression de vivre ce qu’avait dû vivre les lecteurs découvrant Byrne à l’époque : un sentiment de renouveau, de cycle grandiose… Dommage que ce ne fut pas à la hauteur sur la durée !

Claremont en avait encore sous la pédale. Il aurait tenu 8 mois de plus max et il serait peut-être encore le scenariste des x men.

Il l’a dit dans une interview : il aurait dû tenir durant la tempête, accepter les diktats de Harras, et rester à la barre vaille que vaille. D’autant qu’il avait en tête cette saga avec Wolverine retourné par la Main, qui devait culminer au #300.
Sur une Terre alternative, il l’a écrite, cette saga. Reste plus qu’à trouver un moyen de traverser les dimensions afin d’aller la lire.

Jim

« Wizard Magazine #2 previews the X-Men line with Chris Claremont as the reshuffle occurs with the launch of X-Men #1. »

:roll_eyes::grin: Je vais envoyer à Claremont un exemplaire de Fake Covers et les fausses pages que je suis en train de réaliser…

Plus qu’à.

On lit facilement entre les lignes qu il ne gère déjà plus les histoires.

Déjà que tu as realisé sa jasper s story !

Il n’a plus le modjo.

Sur terre 645 si, peut-être.

Nowlan :

Solo Avengers #8A by Kevin Nowlan

Pym par byrne à l epoque. Le seul auteur qui, à mon sens, avait su reinventer pym et tourner la page du problème d identité et de la gifle.

Réinvention qui avait commencé chez Englehart.

Jim

Je me souviens d un pym pleurnichard chez Englehart.

Pas moi : je me souviens d’un Pym suicidaire qui trouve l’amour, le réconfort et la force de se reconstruire. Et qui devient un des moteurs de l’équipe (au moment où Englehart se brouille avec la rédaction et s’en va).

Jim

Donc englehart le fait regresser par rapport à Stern ?