En même temps ça remplace dans les bacs des series en pause durant la saga.
L idée de cette redite est donc ici le fun de tous les côtés, si je comprends bien.
Why not ?
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“Fun” was definitely what I was going for. Something that still too often becomes a naughty word in our business. Like we’re too afraid or ashamed to embrace the ridiculously fun part of comics, for fear we won’t be seen as bleak and mature enough. And I say that as a writer who’s gone as bleak as anyone over the years and who certainly has more bleak-as-fuck bleakness yet to come, sooner rather than later. But with HEROES REBORN, I wanted to build something fun, something for the kid inside me with his spinner racks of wildly-imaginative treasures, relics from other worlds that would fill his head and his heart with amazing wonders for a lifetime to come. Something joyful.
Because there wasn’t a lot of joy to go around when I sat down to write this. Not in the real world. Not for most anyone, including me.
I started writing HEROES REBORN more than a year ago, just at the start of the pandemic. I think I had the first issue mostly done when the shutdown came. When the comic industry ground to a stop. When companies had to give “pencils down” orders to most of their creators. We all know how surreal and unprecedentedly difficult the next months would be. And I’m sure we all had our own unique personal challenges to deal with in the midst of that. I sure did.
Things were able to move forward again on HEROES REBORN by the end of the summer. I wrote HEROES REBORN #2, the Hyperion issue, in July. And most of the rest of the series in August. Life was difficult. The world was a terrifying wreck. People were dying. We were all lonely and isolated and frightened.
So I did the opposite of writing the world outside my window. There wasn’t a lot of joy to be found in that world. Instead I went back to that kid at the spinner rack, and I wrote with the joy and wonder I’d been stockpiling inside myself for all my decades of reading and loving comics. I painted a world with what was in my guts. A world that could make me smile. And it damn sure did.
That said, there’s definitely a darkness that runs through HEROES REBORN. I think it’s still very much a story born of its age. But I hope you can feel that joy and wonder. And more than anything, as life is still a challenge and we’re all just starting to poke our heads out of hibernation in some way or another to survey the reborn landscape of the world, I hope this books make you smile. We all deserve a lot more of those this year.
This has been BEARD MISSIVES, direct from the stupidly grinning face of Jason Aaron.
Merci
Bouh, c’est puissant et sale, ici.
Jason Aaron y va fort avec son Doctor Spectrum, encore plus arrogant que Hal Jordan, encore plus acharné que Guy Gardner, avec un patriotisme acharné et une violence puissante pour gérer les problèmes. L’auteur s’amuse avec les conséquences de la justice cosmique brutale de Spectrum, véritable shérif injuste du cosmos (et qui s’assume ainsi), et lui oppose un Rocket Raccoon proche de Lobo dans l’esprit.
Sympa’, même si Rocket est un peu « faible » face à Spectrum, et s’il y a une petite incohérence avec une back-up passée sur les Starjammers de ce monde. Ca reste très agréable et fun, même si très bourrin et violent. James Stokoe est un excellent choix pour cet épisode brutal et sec, qui en dit plus sur la fin avec Mephisto en « dieu » véritable et assumé : il est sur les billets de banque, et sa statue est dans les églises.
Ca avance, donc, même si la back-up par Ed McGuinness sur la gamine Starbrand n’apporte rien, hormis que ça ne va pas tarder à péter.
Ca reste cool, très cool.
Written by: Jason Aaron.
Art by: Ed McGuinness, R.M. Guera.
Covers by: Leinil Francis Yu, Mark Bagley, Juan Cabal, John Tyler Christopher.
Description: When there’s a riot at the Ravencroft Asylum, Nighthawk must descend alone into a realm of madness, surrounded by the most deranged members of his notorious rogues’ gallery, including his archenemy, the maniacal Goblin
Pages: 40.
Price: $4.99.
In stores: June 2.
Bon sang, R.M. Guera sur Nighthawk, ça annonce du pâté !
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Pour l instant l event marvel le plus sympa depuis jla/avengers
Bon les ties ins sont pas terrible a part le magnéto
On parlait il ý a un an des mythes américains et là ils en prennent pour leur grade
À ce point ?
Jim
Ben c est ultra fun
Ca a un goût d amalgam avec un cote sage of apo qui dézingue la mythologie US de la nation choisie par dieu, que le bien est su cote US…
Moi je m amusr vraiment…
Apres c est un event pas born again
Les ties in sont pas top
Contrairement à ben j ai aimé magnéto… les autres sont moins bien et celui d il y a 15 j etait nase (j ai oublié ce que c etait)
Y a un cote et si les avengers n etaientt pas la et que la JLA les remplacent mais la JLA … propre sur elle par rapport aux mythes US
D un cote c est plus sur pour les USA que l univers marvel mais c est une boucherie ailleurs…
La on a une vraie équipe au service du gouvernement US qui aurait vécu l histoire marvel…
Apres c est pas un vrai event on dépasse la moitié et onne fait que découvrir ce monde
Y a un cote team america, le film
Voilà qui donne envie.
S’il y a un côté Team America le comics en plus, ce sera juste parfait!
Super ambiance et super exercice de style.
Jason Aaron ne s’occupe pas ici de l’ultra-patriotisme du Squadron Supreme of America : son Kyle Richmond « croit » au système et à son pays, et il est Sénateur du district de Columbia à Washington. Mais Aaron rappelle le rôle « vide » de ce Sénateur qui n’a guère de pouvoir officiel, même s’il a une Nightcave dans le Congrès américain.
Non, Jason Aaron s’amuse surtout à faire un Batman chez Marvel… et ça fonctionne ! L’Asile d’Arkham est remplacé par l’Institut Ravencroft, Kraven tente (en vain) d’être meilleur que Nighthawk, le commissaire Cage rôde, alors que plusieurs super-vilains mènent une révolte : le Lézard, Bullseye, mais aussi un Octopus privé de ses membres (« forcé » d’élever des pouples comme armes, ha-ha). On a aussi Deadpool en Harley Quinn, Black Skull avec Johan Schmidt possédé par Venom (et une jolie reprise de Spider-Man qui prend conscience que son costume noir est vivant, ici avec Nighthawk proche de Black Cat, sa Catwoman). Et surtout The Goblin, équivalent du Joker, qui a tué le Faucon et menace Night-Gwen, équivalent de Batgirl. On a aussi une « bonne » approche du refus de Nighthawk de tuer The Goblin, car il veut en fait le faire souffrir à jamais pour avoir tué le Faucon ce qui est rude mais pertinent.
RM Guera illustre avec intensité et un talent immense ce segment réussi, très « sérieux » dans son approche d’un Batman chez Marvel, mais avec de vraies bonnes idées et un ton réussi. C’est moins fun, mais c’est carré et efficace.
En parallèle, Jason Aaron montre le même Nighthawk contre « Ronin », qui s’avère être Black Panther, qui cache même au Wakanda ses voyages dans le monde car son pays reste caché ; il réussit cela grâce au cadavre du Céleste dont il emprunte la téléportation. C’est habile, malin et Ed McGuinness est efficace même si, bon, ces passages obligés sont un peu redondants.
Le plaisir de lecture demeure, cool !
Le Lézard en Killer Croc, Bullseye en Monsieur Zsasz,Octopus en…
Je sèche!
Le ventriloque ? Ses bras lui parlent ?
Ce serai balo qu’au dernier numéro, Ben Wave nous dise finalement que cet event est raté 
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La destination compte autant que le voyage, Victor. 
King in Black dispose d’un dernier numéro expédié, trop facile dans sa conclusion, mais la montée en puissance reste de qualité, et me fait apprécier l’événement.
Je ne doute pas que Heroes Reborn restera pour moi un bon souvenir.
HEROES REBORN #6 (OF 7)
- JASON AARON (W) • ERICA D’URSO & ED MCGUINNESS (A) • Cover by LEINIL FRANCIS YU
- Variant Cover by JEFFREY VEREGGE
- VARIANT COVER BY FRANK CHO
- TRADING CARD VARIANT BY MARK BAGLEY
- ACTION FIGURE VARIANT COVER BY JOHN TYLER CHRISTOPHER
- STORMBREAKERS VARIANT COVER BY R.B. SILVA
- Over the eons, the fabled daughter of Utopia Isle known as Power Princess has defeated the All-Gog, Gorr the God Butcher and the King in Black, but now she must venture into the ruins of Asgard, where something unexplained is stirring in the graveyard of the gods.
- 40 PGS./Rated T+ …$4.99
