RÉÉDITIONS MARVEL : TPBs, omnibus, masterworks, Epic…

Excellent récit en effet.

Régulièrement, je ne sais pas, mais en cherchant je note qu’on la retrouve dans la série USAvengers. Elle et son adversaire, le Golden Skull. Encore de l’Al Ewing, ce qui explique ce retour. Si j’ai bien compris, sa première apparition est dans Ultron Forever.

Jim

Elle n’était pas dans la mini sur Cap écrit par Stern ?

First : Avengers: Ultron Forever #1

1 « J'aime »

Non, c’est Shannon Carter, alias American Dream, qui appartient à l’univers futuriste de Spider-Girl.

Jim

1 « J'aime »

C’est bien conseillé, ouais.

C’est peut-être pour cela aussi que tu étais moins enthousiaste que moi à la lecture de la mini Ant-Man d’Ewing. Moi, j’étais ravi de voir qu’il connectait ça à Ultron Forever, même de manière lointaine, et surtout de manière assez amusante avec les résumés des comics du futur.

Jim

Tu enchaînes les deux Forever ?
Faut que tu passes à autre chose que du Avengers, sinon la prochaine lecture Vengeuresque va te sembler fade.

Oui, j’ai mis la barre assez haut, la descente se devra d’être progressive…

Jim

Passe d’un extrême à l’autre, du coup la suite passera mieux
(lis du Bendis)

Passes au x factor forever avec panosian aux dessins.

Si c est bien un titre forever.

Refais-toi JLAvengers. :slightly_smiling_face:

Tiens, je pensais qu’on la voyait plus. Merci.

Merci.

Oui, Ant-Man achevait quelque chose que je n’ai pas lu.

J’ai jamais lu ça.

Jim

Il est dans ma pal virtuelle.

Louise au scenario et panosian, déjà bon mais pas encore celui d aujourd’hui, aux dessins donc.

La semaine prochaine

DOCTOR STRANGE EPIC COLL TP NIGHTMARE ON BLEECKER STREET

MARVEL COMICS

DOCTOR STRANGE EPIC COLL TP NIGHTMARE ON BLEECKER STREET

OCT221040

(W) Len Kaminski, Various (A) Various (A/CA) Geof Isherwood

Powerless! When Clea’s actions free the dread Dormammu, Doctor Strange beseeches the all-powerful Vishanti for aid. But his mystical patrons have a request in return - and when Strange refuses, he is stripped of most of his magical power! Sorcerer Supreme no more, Strange must revive his old non-team the Defenders to contend with Dormammu! Then, when Nightmare targets Strange, will Morbius be a friend or foe? Plus: Strange loses and gains a disciple and is swept up in cosmic chaos when the Goddess launches her Infinity Crusade! And when Strange aids the Midnight Sons against Lilith, it unleashes a terrifying new foe - and sparks a radical reimagining of Strange himself! Collecting DOCTOR STRANGE, SORCERER SUPREME #48-61 and ANNUAL #3; MORBIUS: THE LIVING VAMPIRE (1992) #9; and material from MARVEL COMICS PRESENTS (1988) #146 and MARVEL SUPER-HEROES (1990) #12, and #14.
Rated T

In Shops: Feb 15, 2023

SRP: $44.99

DAREDEVIL EPIC COLLECTION THE MAN WITHOUT FEAR TP

MARVEL COMICS

DAREDEVIL EPIC COLLECTION THE MAN WITHOUT FEAR TP

NOV220881

(W) Stan Lee, Various (A) Wally Wood, Various (CA) Jack Kirby

Matt Murdock’s luck always ran a step behind his good intentions. When a daring act to save a man’s life blinds young Murdock, he finds that the same accident has enhanced his remaining senses to superhuman levels! He becomes Daredevil, a gritty hero born from murder but tempered with the desire to protect the downtrodden. Writer Stan Lee and artists Bill Everett, Joe Orlando, Wallace Wood, John Romita Sr. and Gene Colan lay the foundation of Marvel’s Man Without Fear - including the first appearances of core characters Foggy Nelson and Karen Page, and classic villains like the Owl, the Purple Man, Stilt-Man and the Gladiator! Collecting DAREDEVIL (1964) #1-21.

In Shops: Feb 15, 2023

SRP: $44.99

MMW INVINCIBLE IRON MAN HC VOL 16

MARVEL COMICS

MMW INVINCIBLE IRON MAN HC VOL 16

AUG220983

(W) Dennis O’Neil, Various (A) Various (A/CA) Luke McDonnell

Tony Stark is living proof that even good looks, lots of money and world-class technical genius can’t guarantee that life’s a breeze! With new writer Dennis O’Neil at the helm, Iron Man faces a gauntlet of villains including Diablo and the Serpent Squad. And he’ll need Moon Knight’s help to defeat A.I.M.! Then Obadiah Stane lures Iron Man into a real-life game of chess that could destroy Stark International! With the pressure mounting and still struggling with the demons of alcoholism, Tony Stark transfers the mantle of Iron Man to Jim Rhodes! Prepare for one of the most influential stories in Iron Man history! Also featuring an Annual adventure co-starring the Black Panther that takes Iron Man to Wakanda! Collecting IRON MAN (1968) #158-170 and ANNUAL #5 and material from MARVEL FANFARE (1982) #4.
Rated T

In Shops: Feb 15, 2023

SRP: $75.00

Je viens de relire Captain America Corps, et c’est très sympa.

Le principe est simple : le Contemplator, l’un des Elders of the Universe, constate que des Captain America sont effacés dans diverses lignes temporelles. Il s’en ouvre à Uatu, et constate que ce dernier disparaît : est-ce un départ précipité ou une conséquence des bouleversements temporels ? Quoi qu’il en soit, la situation et grave et il décide de former un petit escadron composé de divers incarnations du héros.

Il réunit donc Steve Rogers au début de sa carrière durant le conflit mondial, USAgent dans son costume noir, Bucky Barnes quand il a repris le rôle, Shannon Carter alias American Dream issu de l’univers MC2 et Commander A, un petit nouveau créé pour l’occasion et venu d’un futur plus lointain. Ils sont cinq, et donc chacun sert de clé d’entrée à l’un des cinq épisodes de la mini-série.

Ils se retrouvent tous, arrachés à leurs époques, dans le repaire non-euclidien du Contemplator. Informés du danger, ils partent en mission et découvrent un monde (une ligne temporelle, censément être LA ligne temporelle) entièrement transformée, où les Vengeurs n’existent pas et où le pays est sous coupe réglée.

Déjà, ça pose un problème pour moi, et même si je comprends la logique de Stern (grosse menace multiverselle qui contient sa propre solution pour résoudre le problème à la fin de la mini), je trouve dommage d’avoir un prétexte colossal impliquant l’espace-temps en entier pour n’accoucher que d’une intrigue dans un seul univers. Rare sont les récits de ce type qui ont de réelles conséquences (effectivement, on en parle ailleurs, Age of Apocalypse a permis d’avoir de nouveaux personnages, Flashpoint a redessiné l’univers DC… pour le pire serais-je tenté de dire… mais pour l’essentiel, l’impact est moindre en général.

Ensuite, je ne suis jamais super-chaud face à des récits impliquant la perturbation de la continuité : on sait d’emblée que le héros parviendra à remettre les choses d’équerre, c’est implicite. Pour moi, ça tue tout suspense. Encore plus dans une mini-série dont le nombre limité de chapitres annonce dès le départ le compte à rebours vers la remise en ordre.

Au-delà de cet aspect « sans conséquence », cette mini Captain America Corps déroule un schéma assez classique : les héros sont capturés, soumis à la question, parviennent à se libérer, rencontrent des rebelles locaux qui sont les pendants alternatifs de personnages connus (Peter Parker, Matt Murdock, Luke Cage…), et fédèrent la révolte. Là aussi, le récit propose des mécanismes qui posent des questions : comment la rébellion, qui dure depuis des années visiblement et mobilisent des êtres à pouvoirs (on reconnaît Bloodstone) malgré l’absence de capacités surhumaines chez la plupart des résistants, peut soudain fonctionner avec l’adjonction de cinq Captain America ? Cela demande une suspension d’incrédulité assez habituelle dans ce genre de récits axés sur les héros, mais tout de même…

L’affaire se résout quand le Contemplator parvient à reconnecter Steve Rogers avec l’outil principal du changement de temporalité, un Cube Cosmique. Le contact entre deux versions alternatives de Steve crée une détonation spatio-temporelle qui permet de relancer la ligne temporelle à neuf.

Alors bon, oui, je peux donner l’impression de ne pas avoir apprécié cette relecture, mais ce n’est pas le cas. Les critiques que je peux émettre sont surtout dues à mon peu d’appétence pour ce genre d’histoires, mais l’ensemble est plutôt bien rythmé, excellemment dialogué, avec une succession de scènes qui relancent constamment le suspense. C’est convenu, mais très bien troussé. Et Philippe Briones s’en sort magnifiquement, avec une belle énergie (malgré quelques petites pétouilles narratives, un oubli de bouclier ici ou là, genre…).

Là où Stern est plutôt ingénieux, mais cela demande un peu d’attention, c’est qu’il caractérise ses personnages en fonction de ce qu’ils savent des autres personnages, et non de ce que le lecteur en sait. Par exemple, Commander A, qui vient d’un futur plus lointain où il est dans l’admiration de ses aînés, appelle le Winter Soldier « Jim », et non « James » ou « Bucky ». On a donc des petites touches dans les dialogues qui peuvent déconcerter. C’est bien joué, en matière de caractérisation, malgré les interrogations que cela peut soulever tant on n’est pas habitués à de telles variations de prénoms.

Dans l’ensemble, une chouette mini-série au rythme soutenu, exploitant un super-vilain méconnu et rendant hommage à la tradition lancée par Captain America.

Jim

image

semaine prochaine

NAMOR SUB-MARINER EPIC COLLECT WHO STRIKES FOR ATLANTIS TP

MARVEL COMICS

NAMOR SUB-MARINER EPIC COLLECT WHO STRIKES FOR ATLANTIS TP

NOV220880

(W) Roy Thomas (A) Various (A/CA) Marie Severin

There’s no mariner like the Sub-Mariner - as you’re about to see! First, our undersea hero must take on the bloodthirsty Tiger Shark, but the truly epic confrontation begins when the man called Destiny returns! His « Helmet of the Ancients » is revealed to be the powerful Serpent Crown, and its evil influence threatens the lives of Namor and everyone he loves! The drama ratchets up another notch when the alien Stalker robs Namor of his ability to fly and breathe underwater. Stranded on land, the Avenging Son of Atlantis becomes Public Enemy No. 1 - and even Doctor Doom is aiming for the target on his back! Also featuring a tooth-rattling fight against the Thing - and the touching return of a love from Namor’s past! Collecting SUB-MARINER (1968) #4-27.

In Shops: Feb 22, 2023

SRP: $49.99

Je viens de relire West Coast Avengers: Zodiac Attack, un recueil reprenant deux Annuals ainsi qu’une grosse poignée d’épisodes de la série du temps d’Englehart.

J’ai quelques recueils de cette série en VO, que je relis dans le désordre, en fonction de l’inspiration quand je passe devant le rayon. Et là, je voulais replonger dans l’histoire contenue dans les deux Annuals.

Tout commence donc dans West Coast Avengers Annual #2, où les deux équipes de Vengeurs s’affrontent lors d’un match de base-ball. Mais ceux de la Côte Ouest découvrent soudain leurs équipiers morts. Aidés du Surfer, ils se rendent dans le vaisseau du Collector, acceptent de « mourir », puis affrontent leurs homologues ans l’après-vie, où ils croisent le Grandmaster.

Le récit s’impose en suite du premier Contest of Champions, avec également un petit air du légendaire affrontement entre Vengeurs et Défenseurs, déjà orchestré par Englehart à l’époque. C’est sympa, ça gigote, mais c’est encore un énième affrontement de héros. On notera que le scénariste ne se montre pas très féministe puisque toutes les héroïnes engagées dans des duels perdent.

Le résultat des courses, c’est que le Grandmaster l’emporte, et s’empare du pouvoir de sa concurrence, Death. L’épisode se conclut sur un roulement de tambour et un rire sadique. La suite se déroule dans Avengers Annual #16, qui a la particularité d’être illustré par des équipes artistiques inédites (John Romita Jr et Bill Sienkiewicz, Keith Pollard et Al Williamson, Marshall Rogers et Bob Layton, Jackson Guice et Kevin Nowlan, Ron Frenz et Bob Wiacek), encadrées par une introduction et une conclusion signées Bob Hall et Tom Palmer. Ça fait de ce numéro un petit bijou, une gourmandise pour les yeux.

Le scénario est signé Tom DeFalco, et montre que le Grandmaster est décidé à détruire une bonne partie de la galaxie en accord avec sa maîtrise des pouvoirs de la mort, mais qu’il ne renonce pas à un nouveau jeu, et laisse les Vengeurs tenter de l’arrêter.

Tout cela est joliment capillotracté, et le sel de l’intrigue repose sur le fait que les deux groupes de héros sont confrontés à des figures de leur passé, des défunts convoqués par le Grandmaster qui peut rappeler les morts. On remarquera que, depuis lors, certains de ces personnages sont revenus, pour la bonne raison qu’ils n’étaient pas réellement morts (Cap affronte Bucky, par exemple). Cela pose, au-delà même de l’aspect méta du truc, la question de la Mort (le personnage / concept, pas l’événement) chez Marvel. On serait chez Méphisto, on pourrait se dire qu’après tout, le démon fait apparaître une version du personnage, nourrie des souvenirs ou des émotions de ses proches, mais là, c’est la Mort elle-même dont le Grandmaster détourne les capacités, donc on est en droit d’imaginer que ce sont vraiment les morts. Après, il est toujours possible d’imaginer que les morts, une fois morts, chez la Mort, ne peuvent être ramenés, et que ce ne sont que des échos que l’on voit ici, ou encore que les pouvoirs de la Mort sont amoindris quand d’autres qu’elle en font usage… Mais bon, les explications deviennent aussi capillotractées que l’intrigue.

Bref, les duels se succèdent, et à la fin, Hawkeye parvient à entraîner le Grandmaster dans un nouveau pari. Le Doyen de l’Univers ne peut résister, mais l’archer triche et parvient à sauver l’univers. Un diptyque sympathique, mais un brin bancal dans ses deux parties, où la deuxième propose des pages magnifiques.

Le sommaire du recueil intègre ensuite plusieurs épisodes de la série mensuelle West Coast Avengers. En commençant par le numéro 25, qui voit Wonder Man affronter l’Abomination (possédée par l’esprit de Tyrannus : va falloir que je lise l’Annual de Hulk en question pour savoir de quoi il retourne…) puis se rendre compte que sa place au sein de l’équipe est plus importante à ses yeux que sa carrière d’acteur de cinéma.

L’épisode est un récit de doute, de questionnement, de départ et d’arrivée. Moon Knight, de son côté, s’interroge sur son implication dans l’équipe, tandis que La Espirita quitte le groupe après avoir constaté qu’elle n’est pas « morte » avec ses équipiers dans l’Annual précédent. C’est donc un épisode de transition, mais sans grande envergure cependant.

Néanmoins, il y a un plaisir malicieux a suivre la parodie de Dino De Laurentiis dans cet épisode, qui voit l’acteur super-héroïque triompher lors de la sortie du film Arkon IV (où il incarne un méchant, d’ailleurs : ses yeux naturellement rouges évitent, on s’en doute, de lourds frais d’effets spéciaux au producteur dont la pingrerie est légendaire), ce qui est un moyen d’évoquer la sortie, plusieurs années plus tôt, du premier Conan avec Schwarzenegger. Bon, De Laurentiis est transparent. En revanche, je ne suis pas sûr de savoir qui se cache derrière Menachim, cet autre producteur aux lunettes extravagantes ? Menahem Golan ?

Dès l’épisode suivant, Englehart enchaîne sur une intrigue impliquant le Zodiac. J’ai pour ma part une relation ambivalente à l’égard de ce groupe d’ennemis : je suis toujours content de les voir revenir, parce qu’ils sont plein de costumes colorés et de pouvoirs rigolos et incarnent une forme de « n’importe quoi » propre aux comics de super-héros, mais je n’arrive pas à m’attacher aux personnages, qui sont souvent anonymisés dans des intrigues à coups de théâtre (à part Van Lunt, le premier Taurus, et le premier Libra, et la succession de divers Scorpio accrochés à leur « clé », les membres ne sortent pas du lot), et j’ai du mal à visualiser leur histoire au long cours, composée de sagas souvent sympas mais oubliables.

Et là, Englehart nous livre une sorte de coup d’état au sein du groupe, où Jake Fury, le LMD copié sur le frère mort de Nick Fury, prend le pouvoir, tue les prédécesseurs (sauf Van Lunt) et les remplace par des LMD de sa fabrication.

Le choix de cette approche, à savoir raconter l’après-putsch (au lieu par exemple de chroniquer une guerre entre les deux groupes, au milieu de laquelle se trouveraient les héros, pris entre deux feux), me semble contreproductif. D’une part, les nouveaux membres du Zodiac, bien décidés à reconstituer leur cartel, sont à la recherche de liquidités, et ça réduit donc cette équipe de super-vilains au rang de super-cambrioleurs.

Ensuite, le scénariste joue la carte de l’infiltration : la clé du zodiaque permet à Scorpio de créer un nouveau Sagittarius, un archer à la ressemblance de Hawkeye. Là, pour le coup, Englehart en tire un certain sel, puisque l’androïde mécanique se montre assez distant, faisant que Mockingbird interprète cela comme une fâcherie après la possible découverte de son secret (elle a laissé mourir le Phantom Rider dans le passé…). Cela donne aussi des scènes rigolotes, comme la visio-conversation avec un Nick Fury sorti de la douche, qu’il prend visiblement avec son inséparable cigare.

Mais au-delà de ces scènes amusantes, Englehart enchaîne les séquences de baston. Il rajoute une couche de trahison avec une fausse Tigra devenue le nouveau Leo.

Le scénariste donne ici l’impression d’ajouter péripétie sur péripétie, et l’action se résout dans l’épisode 28, où les héros sont projetés dans la dimension dont la clé est originaire, occupée par la Brotherhood, une fraternité uniquement vouée au conflit (et qui s’en délecte par l’entremise d’intermédiaire, les membres du Zodiac). La fin est un peu rapide, et quand, comme moi, on n’a pas en tête les vieux épisodes de Conway sur Iron Man et Daredevil, tout cela est sympathique, coloré et bondissant, mais un peu confus.

L’épisode 29 apporte un mieux évident, notamment parce qu’il est construit autour d’un événement unique, la traque de Taurus menée par Moon Knight. Cette unité d’action (associée à une unité de temps, une soirée, et une presque unité de lieu) bénéficie aussi d’un très beau traitement graphique, Machlan noyant les dessins de Milgrom sous un déluge de trames du meilleur effet.

Dernier épisode du recueil, West Coast Avengers #30 est écrit et dessiné par Milgrom, et raconte comment des extraterrestres étudient les Vengeurs afin de déterminer si la Terre est facile ou non à conquérir. Le récit met en avant Moon Knight, confirmant son officialisation dans le groupe, et se conclut sur une chute assez amusante.

Dans mon souvenir, les épisodes avec le Zodiac étaient un peu un moment faible de la série. La relecture me laisse dans le même état d’esprit, et je continue à préférer la saga avec le Peuple-Chat, le voyage temporel ou l’épopée de Pym contre ses vieux ennemis, qui sont autant de belles occasions de visiter le monde Marvel et de pousser les héros en avant. Ici, cette lutte contre le Zodiac me semble passer à côté de son potentiel, malgré quelques jolies caractérisations.

Jim

1 « J'aime »

C’est Dracula qu’on voit sur une des images que tu as postées ?

Voui.

Jim