J’ai longtemps cherché le jeu de mot derrière le nom Cassivellaunos… Jusqu’à ce que j’apprenne que c’était un personnage historique.
Tori.
Un peu de rattrapage :
9 décembre :
The Dangers in my Heart 9
Une petite comédie romantique en milieu scolaire, avec une bonne touche d’humour.
Ce n’est pas révolutionnaire, mais c’est sympathique et divertissant.
10 décembre :
Dragon Ball SD 10
Une relecture de Dragon Ball sous un nouvel angle, tout en suivant la chronologie classique, un défi qui fonctionne chez moi (mais ça n’est pas le cas pour tout le monde)
11 décembre :
Under ninja 11
C’est du n’importe quoi, mais c’est bien fun.
12 décembre :
Le chat qui rendait l’homme heureux (et inversement) 12
Parce que tout est dans le titre.
13 décembre :
L’atelier des sorciers 13
On ne dira jamais suffisamment de bien de cette série.
14 décembre :
Réimp’ 14
Les dessous de l’édition de mangas.
15 décembre :
Dandadan 15
J’aime bien ce titre, même si, sur la durée, ça risque de lasser.
Tori.
Publié entre 1988 et 1989 dans Pif Gadget à l’occasion du bicentenaire de la Révolution (qu’est ce qu’on en mangé cette année la).
On suit le parcours de deux adolescents, Noël et Marie donc, de leur petit village province jusqu’au champs de bataille de Valmy en passant (le gros de l’histoire) par Paris et le faubourg St Honoré.
C’est captivant avec une atmosphère fantastique surprenante au départ et le fait de vivre l’aventure par le biais d’adolescent puis jeunes adultes est bien vue. La série vaut surtout pour les dessins de Mitton parce que niveau réalisme historique c’est quand même la fête du slip (la Révolution vu par le PCF en gros).
Toujours pas lu : faudrait que je le trouve, je pense que j’aimerais bien…
Jim
J’allais également le mettre dis donc 
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16 décembre :
Rokudenashi Blues 16
J’ai abandonné l’idée d’avoir la version J’ai lu au complet, cette réédition est la bienvenue.
17 décembre :
On a marché sur la Lune
La deuxième BD que j’ai possédée (la première, c’était Les 7 boules de cristal)… J’ai attendu très longtemps avant de lire le début de ce diptyque.
La mort de Wolff m’avait marqué.
Tori.
1ère BD de ma vie, j’avais 4 ans
The Shadow de Dennis O’Neil et Michael Kaluta est une bande dessinée qui revisite le personnage emblématique de pulp des années 1930. On y suit The Shadow, justicier énigmatique au rire glaçant et doté d’une capacité surnaturelle à se dissimuler dans les ténèbres. Accompagné de ses fidèles agents, il lutte contre le crime organisé et des ennemis retors dans une atmosphère sombre et stylisée.
Sous la plume de Dennis O’Neil et le trait gothique et détaillé de Michael Kaluta, l’histoire restitue l’ambiance unique du pulp originel tout en apportant une dimension visuelle saisissante. Entre mystère, action et justice implacable, The Shadow est une œuvre marquante qui a su capturer l’essence du héros des années 30 tout en séduisant un public moderne.
(Ne me reste plus qu’à découvrir la trilogie de Frères de sang dans cette même collection.)
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Le Shadow m’a toujours impressionné, par son look, par son aura, par la mythologie dont je sais très peu. J’ai lu les deux premières nouvelles le concernant, c’est bien mais le style a ralenti ma lecture.
J’aime particulièrement le concept de son réseau d’agents. Merci pour l’avis !
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Oh purée ! Je voulais le mettre aussi ! 
Coup de cœur pour moi aussi ! 
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Hmmm, ça m’intéresse…
Je te suis en ce qui concerne Darwin’s incident.
Tori.
Comme je me suis raté hier, c’est la journée pour les duo !
(parce qu’il est mien depuis aujourd’hui)
