Eh eh eh.
Ou comme y a plus cette dimension, pour compenser il se dit : tiens je vais faire un site avec une frise chronologique de dc.
True story.
Je préfère le trip bouquiniste.
HAHAHAHAHAHAHAHA
Jim
Yep c est ce qui me fait rire quand les newbies trouvent les comics compliqués
C est quand même plus facile de trouver des renseignements aujourd hui
Sur mes aredit j ai gribouille le numéros us… en essayant de répéter les coupures…
Quand j ai eu les scarce ou heroes j avais peu d erreur
Je me dis que les 4f étaient plus une série aredit et hulk plus lug
Sur mes formats poche, je mettais de petits marque-page faits maison, en guise d’aide-mémoire, indiquant les numéros américains.
Gribouiller : tu n’y penses pas !!!
Jim
Il y a, dans l’histoire des super-héros, des prestations courtes qui auront marqué les esprits, tant par l’intérêt des histoires que par la qualité du dessin. On pourra citer, diversement, le passage de Jim Starlin sur Captain Marvel, les trois épisodes de Jim Steranko sur Captain America, les neuf épisodes de Roger Stern et John Byrne, toujours sur Captain America, le passage de Denny O’Neil et Neal Adams sur Green Lantern / Green Arrow qui a non seulement redéfini les deux justiciers mais également donné une perspective nouvelle au genre en entier, la courte mais éloquente prestation de Steve Englehart et Marshall Rogers sur Batman, et j’en oublie sans doute plein d’autres. Les super-héros ont longtemps connu une période de récits au long cours où les auteurs restaient longtemps sur les titres (ou bien valsaient dans un grand anonymat qui renforçait la sensation de pérennité), et les courts tours de piste que je viens de citer sortaient du lot, en marquant un avant et un après (alors qu’aujourd’hui, les runs courts semblent presque la norme).
L’arrivée de John Byrne, dessinateur auréolé d’Uncanny X-Men, dont on peut affirmer sans trop se tromper que tout ce qu’il touchait se transformait en or, et repreneur salué, au scénario et au dessin, de Fantastic Four, sur un personnage classique et purement kirbyen comme Hulk, ne pouvait qu’annoncer l’un de ces passages lors desquels le héros, redéfini, s’élance vers un futur radieux plein de promesse. Si les lecteurs ne savaient pas à l’époque qu’il n’allait rester qu’une poignée d’épisodes, ceux qui, aujourd’hui, ne connaissent ceux-ci que de réputation pourraient être enclins à penser qu’il s’agit, là encore, d’une de ces prestations courtes mais intenses, aussi passionnantes et réussies en matière de scénario que de dessin.
Faisons bref : il n’en est rien.
Resituons : Cela fait désormais des années que le scénariste Bill Mantlo chronique les aventures du Titan Vert, proposant des pistes nouvelles, au rang desquelles on citera le fait que Banner puisse contrôler Hulk (esquisse de la version « Docteur Hulk » à lunettes développée par Peter David et reprise par Mark Waid) ou l’exil dans une autre dimension (péripétie de l’épisode 300 qui sera reprise à sa sauce par Greg Pak). Renvoyons aux trois recueils dont la lecture est vivement conseillée : Hulk: Pardoned, Hulk: Regression et Hulk: Crossroads.
Dans le même temps, John Byrne anime depuis un peu plus de deux ans la série Alpha Flight, réunissant des héros qu’il a créés dans Uncanny X-Men et que Marvel (et Jim Shooter) souhaite le voir développer, alors que le bédéaste canadien n’est pas très motivé. Pour le premier scénariste, il est temps de changer d’air, pour le second c’est l’occasion de s’intéresser à un personnage classique, kirbyen en diable, et à s’éloigner de ces personnages avec lesquels il n’a jamais tant eu que ça d’affinité. Les auteurs mettent donc en place une intrigue sous forme de crypto cross-over, à l’issue de laquelle Hulk est ramené sur Terre, mais également après quoi Mantlo (accompagné par Mike Mignola, son dessinateur de l’époque) et Byrne échangent leur poste.
Le transfer croisé ne concerne pas seulement les deux auteurs, mais également les deux responsables éditoriaux. Carl Potts, jusque-là superviseur de Hulk (qui connaît une réussite thématique et formelle) se charge désormais d’Alpha Flight, et c’est Denny O’Neil, précédemment editor de cette série, qui déboule dans les aventures du Titan Vert aux côtés de John Byrne, emportant le coloriste Andy Yanchus et le lettreur Rick Parker dans ses bagages.
Donc, une nouvelle ère s’ouvre pour le Géant de Jade, qui se retrouve à faire des bonds inconsidérés dans la campagne américaine, dans la plus pure tradition des épisodes de Sal Buscema. Pour bien faire comprendre que les choses ont tout de même changé, Byrne recrée la scène convenue du monstre vert confronté à la vie animale, en l’occurrence un cerf mal embouché qui meurt dès la première taloche d’émeraude. Byrne s’adresse au vieux lecteur (et au nouveau, même si ce dernier n’a pas de quoi comparer) et lui fait comprendre que ce n’est plus le même Hulk : totale finesse.
Le recueil Hulk Visionaries: John Byrne reprend donc la brève période durant laquelle le dessinateur-scénariste officie sur le personnage. Le sommaire s’ouvre donc sur Hulk #314, puis continue avec l’Annual #14, écrit par Byrne et illustré par Sal Buscema, qui s’encre lui-même dans ce style un peu sec influencé par Walt Simonson. Vif, nerveux, sans élégance poussée mais avec un vrai souci de narration, le dessin est au service des personnages, très (trop ?) expressifs.
Hulk est capturé par des scientifiques sans scrupules travaillant pour un riche et adipeux magnat pour qui l’expression « surcharge pondérale » est un doux euphémisme. Ce dernier, après une floppée de tests confinant à l’horreur, souhaite extraire des cellules de Hulk afin de reproduire sur lui-même une métamorphose comparable, et donc retrouver l’usage et le contrôle de son propre corps. Bien entendu, ça ne va pas se passer comme prévu, et l’expérience tournera mal, dans un de ces récits un brin moralisateurs mais emplis de bonnes questions dont le genre super-héros a le secret. Mélange des genres, chute forte, idées à foison, cet Annual est franchement sympa, malgré de longs tunnels de bavardages.
Surtout, Byrne y glisse quelques idées qui semblent attester sa compréhension du personnage, en tout cas de ses pouvoirs : il suggère que le corps de Hulk est résistant à tout microbe, virus ou bactérie (donc inutile de désinfecter les éventuels instruments chirurgicaux susceptibles de percer sa peau) et rappelle que la masse du monstre est en partie due à une reproduction de cellules sinon anarchique du moins amplifiée, idée dont Peter David tirera des conséquences intéressantes.
L’action de cet Annual se situe au milieu de l’épisode 314, en gros. Celui-ci s’ouvre sur la poursuite du vaisseau des scientifiques, puis se concentre sur Leonard Samson, qui apprend la nouvelle du retour du Titan Vert. Le temps de suivre le psychologue aux cheveux verts, et le lecteur retrouve le héros éponyme pour une belle grosse baston. Et c’est là que la série dégénère. Parce que tout devient très vite complètement inepte.
La gestion de Doc Samson est aberrante. Ce psychologue réputé, censé garder son calme et juger les situations de manière pondérée, bondit de son siège, court dans tous les sens puis s’élance dans les airs à l’annonce du retour de Hulk. Génial. Il ne songe pas à appeler les autorités, l’armée, le SHIELD, afin de proposer ses services ? Non, il préfère bondir. Où trouve-t-il le temps de se changer, on ne saura jamais. Et il précise qu’il lui a fallu presque douze heures pour faire le trajet entre Chicago et le Nouveau-Mexique : n’aurait-il pas gagné du temps et de l’énergie à prendre un avion ?
Passons, passons. Voyant Hulk gesticuler comme s’il affrontait des ennemis invisibles, Samson se dit que son adversaire a des hallucinations, et en conclut que l’esprit de Banner, toujours enfermé dans le corps verdâtre, envoie des signaux pour gêner le Titan Vert et donc aider le psy, mais de l’intérieur. Pas un moment le praticien ne songe à une éventuelle attaque mentale, aux effets d’un psychotrope quelconque, à l’emprise d’une éventuelle fièvre… Samson profite donc de la désorientation du monstre pour l’assommer.
Parce qu’il a une idée en tête, Samson : séparer Banner de Hulk. Et dès l’épisode suivant, il parvient à « filtrer les cellules » du premier afin de les séparer de celles du second, à l’aide d’un tamis high-tech qui paraît ridicule même dans l’univers de science fantaisiste et de techno-blabla des comics de super-héros. Cette ambiance « total nawak » est nappé d’un vernis visuel de crédibilité et d’une tonne de texte pour essayer de faire passer la pilule. Et on peut accéder au souhait de l’auteur en admettant que ouais, on peut « filtrer les cellules ». Parce qu’on est gentils.
Mais pas gentils au point de tout gober. Samson dit qu’il a encore de l’influence auprès du SHIELD, mais il n’était pas au courant de leur arrivée ? Il veut s’évader, mais il pourtant est libre de circuler ? Il fait sortir la journaliste de sa cellule, puis y rentre afin de creuser un tunnel pour s’évader d’une zone militaire où il circule déjà librement ? Tout laisse à penser que personne ne relit le script ni les pages.
Et ça continue. Samson, qui a tout fait pour arrêter Hulk, qui se sent coupable (je sais pas trop bien de quoi), décide, quand il apprend que le SHIELD s’apprête à détruire le monstre, de le sauver. Et quand sa tentative de sauvetage (qui merdoie on ne sait trop comment, d’ailleurs) conduit à libérer la bête plus destructrice que jamais, le même psychologue se met en tête de tuer Hulk. Le tout dans un même épisode. N’importe quoi.
Et ça continue : dans l’épisode 316, le monstre déchaîné affronte les émissaires de deux équipes de Vengeurs, ceux de la côte ouest avec Iron Man et Wonder Man, et ceux de la côte est avec Namor et Hercule. Byrne les décrits comme des fiers-à-bras qui joue à celui qui a les plus gros muscles, tous lancés dans un concours de testostérone d’autant plus ridicule que les groupes sont à l’époque écrits respectivement par Steve Englehart et Roger Stern, qui confèrent à chacun des protagonistes une personnalité plus travaillée que celle qui est mise en scène ici.
Ce concours à qui cognera le plus fort sur Hulk s’arrête quand Samson fait un nouveau caca nerveux et insiste auprès des héros pour s’occuper seul du monstre. Tout le monde sait que si la situation est critique à ce point, c’est sa faute, mais Iron Man et les autres acceptent de le laisser faire, dans un renoncement incompréhensible à leur mission. Illogique, incohérent. Mais le « meilleur » reste à venir.
Dans l’épisode 317, Bruce Banner, à peine remis de sa séparation, pardon, de son « filtrage », regroupe une petite équipe de spécialistes (divers : xénobiologie, exploration…) afin de reconstituer… les Hulkbusters. Ouais, le savant qui a lutté pendant des années pour être séparé de Hulk, qui est enfin éloigné de son terrible alter ego, qu’est-ce qu’il veut faire ? Lui courir après. Bien conscient du caractère imbécile de cette évolution de personnage, John Byrne s’acharne à tenter de justifier ce choix, en recourant à des astuces narratives aux semelles de plomb (la discussion entre deux recrues à propos de la santé mentale de leur nouvel employeur, des extraits du journal intime de Bruce…). Il va même jusqu’à mettre en scène une discussion entre Bruce et Betty (qui vient de revenir, ouais ouais…) où il compare le savant à Thunderbolt Ross. Tout cela est mobilisé afin de faire passer cette nouvelle pilule, plus grosse que celle du tamis cellulaire.
On peut aussi s’interroger sur le mode de recrutement des nouveaux Hulkbusters. Dans la discussion, Banner précise qu’ils ne peuvent pas refuser, parce qu’ils ont connu beaucoup d’échecs et que plus personne ne veut les faire travailler. Ils sont donc pieds et points liés. Mais c’est idiot à la base : si plus personne ne veut les engager, c’est peut-être aussi parce qu’ils ne sont pas si compétents que le script veut bien nous le faire accepter. Donc pourquoi Banner irait s’entourer de seconds couteaux, pourquoi ne va-t-il pas chercher des kadors, bien contents de profiter des installations et des budgets qu’il est parvenu à faire réunir ?
La série est marquée par une caractérisation maladroite, où les personnages se résument à des élans hystériques d’adolescents boutonneux. Certes, la colère est au centre du titre, et chaque personnage a des raisons d’être en colère, mais ils réagissent tous de manière épidermique, sans réfléchir, sans discuter. Là encore, c’est plutôt incohérent, car le casting est composé de gens qui sont des professionnels, habitués à gérer le stress et à établir des stratégies : mais Byrne les écrit tous comme s’ils s’agissaient de gangsters au moment du partage du butin, incapable d’échanger sans défourailler.
L’épisode 318 raconte la première séance d’entraînement des Hulkbusters, qui tourne mal au moment de l’intervention de Doc Samson, et qui aboutit sur la mort de Carolyn Parmenter, l’une des recrues. Cela nourrira la rancœur de Sam Laroquette, autre membre de l’équipe, épris de la jeune femme. L’idée n’est pas plus idiote qu’une autre (surtout dans ce festival de fulgurances stupides), et présenter un couple réunissant une blanche et un noir est audacieuse pour 1985. Mais Byrne n’en fait pas grand-chose, puisque le couple n’est suggéré que sur deux épisodes. Ou plutôt si, il en fait quelque chose : il transforme le survivant du couple, l’homme noir, en caricature d’amoureux meurtri et vengeur, toujours dans sa perspective d’hystérie adolescente. Laroquette devient alors aussi gonflant que ridicule. Samson, en justicier prétentieux et obstiné, n’est pas en reste.
Et Bruce, dans tout ça ? Il décide de demander Betty en mariage. Oui, en pleine chasse à Hulk, alors qu’il est à peine remis, il songe à convoler. Et elle dit oui. Des ados, je vous dis. Cela donnera naissance au pire épisode de la prestation, heureusement le (presque) dernier, celui du mariage.
Alors que les deux tourtereaux se passent enfin la bague au doigt, Thunderbolt Ross revient, plus halluciné et dépressif que jamais, menaçant sa fille avec une arme si elle dit oui. Rick Jones intervient, écope d’une balle dans le ventre, et Betty traite son père de tous les noms. Byrne tire la chasse sur une relation père-fille tordue, difficile mais complexe, pour la résumer à de grands éclats de voix où s’entassent les lieux communs (Betty hurle « je suis une femme » dans un élan féministe maladroit et bancal, deuxième occurrence depuis l’arrivée de Byrne). L’épisode est découpé en deux intrigues, d’une part le mariage et d’autre part une confrontation entre Hulk, Samson et les Hulkbusters, chacune d’elles occupant une moitié de planche, à l’exception de la dernière, celle du baiser des époux, sous les yeux d’un Rick Jones à moitié mourant mais ravi de voir ses amis sombrer dans le bonheur : « c’est bon, les poteaux, pas la peine d’appeler l’hôpital, je peux attendre la fin du mariage ».
Sur ce sommet d’imbécilité, John Byrne quitte la série, et l’écurie Marvel, pour aller sévir sur Superman chez DC. Denny O’Neil, de son côté, est appelé vers d’autres cieux, ceux de Gotham City, puisqu’il va devenir le responsable éditorial des titres consacrés à Batman. C’est donc Al Milgrom, au scénario et au dessin, supervisé par Bob Harras, qui vont reprendre la série pour une période que je connais mal, mais dont les extraits que j’ai pu lire me laissent penser qu’elle est intéressante. C’est notamment Milgrom qui fera plonger la série dans une tonalité horrifique (avec des métamorphoses croquignolettes) et fera revenir l’incarnation grise du personnage.
Byrne n’en a pas tout à fait fini avec le personnage, puisqu’il aura dessiné un épisode constitué de pleines pages et reliée à la saga du Scourge, l’ennemi de Captain America. Mais Denny O’Neil, d’après ce que j’ai lu, aurait refusé l’idée. Le récit finira par trouver un foyer dans les pages de Marvel Fanfare #29, et s’avérera sans doute le meilleur passage de cette prestation désastreuse (l’épisode conclut le recueil Visionaries).
Alignant les idées farfelues, les caractérisations incohérentes et les péripéties grotesques (sans compter les séquences de remplissages), Hulk #314 à 319 constituent l’un des pires passages de la série, et l’une des pires prestations du bédéastes. Paradoxalement, ces récits fourniront aux repreneurs (d’abord Milgrom puis David) du grain à moudre pour de futurs récits : le couple Bruce / Betty sera au cœur du récit, les Hulkbusters seront présents et prendront de l’importance, la schizophrénie de Banner, proposée chez Mantlo mais niée chez Byrne du fait de la séparation du savant et du monstre, reviendra en force… À son corps défendant, Byrne a livré un grand nombre de pistes que d’autres sauront exploiter, bien mieux que lui.
Jim
A retrouver (ou pas) dans l omnibus qui sort en début d année pour la VF.
Le passage de paul smith sur les x men.
Hahaha
Héhéhé…je relirai ça l’année prochaine pour l’anniv’ du grand vert. Je n’avais pas été emballé à l’époque même si je n’avais pas trouvé ça aussi mauvais que toi (je suis tout de même d’accord sur certains points). Mais bon, je n’avais lu ça qu’une fois, on verra bien ce que ça donne à la relecture…
Clairement l’une de mes périodes préfères toutes séries Avengers confondues. Dans mon top 5 assurément.
La redécouverte récente m’a fait prendre conscience de la solidité du travail éditorial derrière. J’ai beau savoir ça depuis des décennies, je reste encore estomaqué de l’impact que peut avoir un editor sur une série, et que ce soit aussi sensible quasiment d’un épisode à l’autre.
Jim
Tu vois que tu sais faire court quand tu veux.
C’est assez étonnant, mais bon, en 1981, soit quatre ans avant cette période Hulk, Denny O’Neil ressemblait à ça :
Et en 1983, soit deux ans avant, à ça :
J’ai du mal à dater l’image utilisée dans le montage que tu montres, et qui vient de sa fiche IMDB. J’espérais voir un indice dans le collier de badge, mais bon…
C’est nettement plus récent, de toute évidence.
N’empêche, quel « visionnaire », ce Byrne.
Jim
J’ai du mal à dater l’image utilisée dans le montage que tu montres, et qui vient de sa fiche IMDB. J’espérais voir un indice dans le collier de badge, mais bon…
C’est nettement plus récent, de toute évidence.
Dans les bonus du visionaries, il y a une page montrant l’apparence de O’Neil à l’époque de ce run (il avait encore des cheveux) :
Mais bien sûr, j’aurais dû penser à cette page, extraite de Hulk #316 (ici avec la note en bas de page et le titre).
Merci d’y avoir pensé.
« Don », c’est Don Daley, assistant éditorial de Denny O’Neil à l’époque.
Jim
Y en a pour qui ça a du bon de vieillir
J’ai du mal à dater l’image utilisée dans le montage que tu montres, et qui vient de sa fiche IMDB. J’espérais voir un indice dans le collier de badge, mais bon…
C’est nettement plus récent, de toute évidence.
La photo date du 14 ou 15 octobre 2011.
Désolé, je ne parviens pas à être plus précis.
Tori.
Je serais bien curieux de savoir comment tu as pu trouver l’info ?
Jim