Of course, it’s a Blade who’s rather different from the one familiar to most audiences today. The Blade we’ve met in Tomb of Dracula #10 — an apparently “normal” Black guy who kills vampires with wooden knives — is one cool dude, no doubt about it; but he’s not yet the “Daywalker” — the human-vampire hybrid known to the millions of people who’ve seen one or more of the Blade trilogy of films starring Wesley Snipes, or have encountered the character in other ancillary media since the release of the first of those movies in 1998 — or, for that matter, have read any of his Marvel Comics appearances from the last quarter-century or so.
We’ll note here that certain aspects of the Blade character not seen in his debut appearance — the most significant for his later development being the fact of his mother having been fatally bitten by a vampire before giving birth to him — would be forthcoming as early as Tomb of Dracula #13, and were very likely part of Marv Wolfman’s concept from the very beginning. That said, there’s enough daylight (if you’ll pardon the expression) between the Blade introduced by Marvel in 1973 and the Blade whom New Line Cinema would bring to the big screen 25 years later that it appears to have factored into the decision of the judge in the subsequent lawsuit brought by Wolfman against Marvel over the rights to the character. As reported in November, 2000 by The Comics Journal:
The court ruled… that Marvel’s later use of the characters [i.e., Blade and Deacon Frost, the vampire who killed his mom] was sufficiently different from Wolfman’s initial creations to protect it from Wolfman’s claim of copyright ownership.
Wolfman’s attorney Michael Diliberto told the Journal, “We don’t think the judge understood the nuances of character development in comics, the way characters change their powers and relationships over time.”
From what little else I’ve read on this topic, Wolfman accepted the judge’s decision in relatively good grace back in ’00, figuring he’d taken his best shot, had his day in court, and that was that; as far as I know, he still feels that way. On the other hand, the heirs of the late Gene Colan have been embroiled in legal proceedings with Marvel since 2021 or thereabout regarding the rights to several characters they claim the artist co-created — Blade among them. And while there doesn’t seem to have been much progress on this case in the last year or so (or at least not much written about it, outside of court filings), I suspect that, mindful of the potential profits of the new Blade movie Marvel Studios plans to release in 2024 — just a little more than a half-century following the character’s first comics appearance, and a quarter-century since his motion picture debut — the IP attorneys on both sides are keeping their metaphorical wooden knives sharp, at the very least.
Et le 2, l un des mieux réalisés.
Je suis certain que c’était déja le cas dans le dessin animé Spider-Man , avant la sortie du film. C’est même comme ça que je me suis retrouvé à savoir qui était le héros sur l’affiche qui ornait l’intérieur du bus que je prenais pour aller en cours, et ne plus me sentir de voir Marvel débarquer au ciné.
Action/horreur
Long métrage américain
Réalisé par Stephen Norrington
Scénarisé par David S. Goyer, d’après les personnages créés par Marv Wolfman et Gene Colan
Avec Wesley Snipes, Kris Kristofferson, Stephen Dorff, N’Bushe Wright, Udo Kier…
Année de production : 1998
Avant la fin des années 90, les fans de Marvel qui voulaient voir leurs personnages évoluer en prises de vues réelles sur le grand et le petit écran n’avaient pas grand chose à se mettre sous la dent, entre des séries TV et téléfilms cheap des années 70/80 (les Spider-Man, Incroyable Hulk, Captain America…), un flop produit par George Lucas (Howard the Duck) et des bisseries qui ont connu des fortunes diverses, d’une brève carrière au cinéma à l’abandon pur et simple de son exploitation sur tous supports (Le Punisher, Captain America, Fantastic Four). Bref, rien de glorieux…jusqu’à ce qu’un long métrage consacré à un personnage (très) secondaire devienne le déclencheur d’une période faste pour la branche ciné de la Maison des Idées, Marvel Films devenant officiellement Marvel Studios en 1996.
Avant 1996, de nombreux héros et vilains Marvel ont fait l’objet d’options des studios pour une potentielle adaptation à l’écran…pour le résultat que l’on sait. C’est d’abord New World Pictures, société fondée à l’origine par Roger et Gene Corman et un temps propriétaire de Marvel dans les années 80, qui avait les droits de Blade, avec l’intention d’en faire une sorte de western moderne basé à Mexico avec Richard Roundtree dans le rôle-titre (le tueur de vampires étant un rejeton de la blaxploitation, il n’était donc pas étonnant de penser à l’interprète très cool de Shaft). Le projet ne s’est pas fait et c’est ensuite New Line Cinema, la maison de Freddy Kruger, qui a récupéré Blade.
Grand lecteur de comics, le scénariste David S. Goyer travaillait alors sur des séries B d’action comme Coups pour Coups avec Van Damme et Kickboxer 2 et les micro-budgets de Charles Band comme Jouets Démoniaques et Arcade. Sans oublier les héros de BD puisqu’il a vendu un script sur Nick Fury (devenu ensuite un téléfilm avec David Hasselhoff) et il a signé celui de The Crow, la cité des anges. David S. Goyer avait déjà un pied chez New Line (il a participé au scénario du Dark City de Alex Proyas) et après quelques efforts (le studio pensait d’abord s’orienter vers un pastiche…et ils ont même demandé à un moment si Blade pouvait être blanc !), Goyer a pu imposer sa vision pour ce héros inconnu du grand public.
L’intention de Goyer était de le traiter sérieusement et d’oublier la représentation romantique des suceurs de sang (on est en effet loin de Entretien avec un vampire sorti quatre ans plus tôt). Dans le monde de Blade, le vampirisme est associé à une maladie biologique, un virus, et le récit imaginé par Goyer établit ses propres règles quant aux faiblesses des créatures de la nuit (l’utilisation de l’écran total a pu faire grincer des dents certains puristes), parasites dont la société gangrène en quelque sorte celle des humains, en infiltrant les institutions pour faire leurs petites affaires sans se faire remarquer. Mais l’un d’entre eux, un certain Deacon Frost (l’original a été créé par Marv Wolfman et Gene Colan dans Tomb of Dracula), représentant des « jeunes vampires » par rapport au cercle de vieux croutons, veut bousculer l’ordre établi dirigé par Udo Kier (qui fut Dracula pour Paul Morrissey en 1974)…
Pour le rendre un peu plus puissant à l’écran, David S. Goyer a modifié les pouvoirs de Blade pour en faire un demi-vampire, un « diurnambule » (toutes leurs forces, aucune de leurs faiblesses), alors qu’à ses débuts sur papier Blade était principalement immunisé aux morsures des vampires. Si les noms de Denzel Washington et Laurence Fishburne avaient circulé, Goyer voulait Wesley Snipes et ce dernier a signé après avoir échoué à développer un long métrage sur Black Panther. Et tant mieux car il est devenu indissociable du personnage par son attitude badass et ses capacités physiques dont il fait la démonstration tout au long d’affrontements nerveux…
David Fincher fut brièvement attaché au film et a même travaillé sur le scénario avec Goyer avant de passer à autre chose. Impressionné par l’imparfait (mais pas inintéressant) Death Machine tourné avec des moyens limités, le producteur Peter Frankfurt a choisi le britannique Stephen Norrington qui s’est montré à l’aise dans la création de l’atmosphère particulière de Blade, notamment avec une entrée en scène mémorable. Blade commence d’ailleurs tellement fort avec le Bain de Sang de la boîte de nuit et le premier combat qu’il connaît ensuite un ventre mou se perdant un peu en explications. Quelques faiblesses (pas si ennuyeuses que cela) avant une dernière partie riche en action et en rebondissements (à peine altérée par des CGI qui ont pris un joli coup de vieux).
Porté par une bonne distribution (aux côtés de Wesley Snipes, il y a notamment Kris Kristofferson en vieux mentor bougon et Stephen Dorff en vampire arriviste), Blade a connu un bon petit succès, récoltant plus de 130 millions de dollars de recettes pour une mise initiale de 45 millions. De quoi poursuivre l’aventure, Guillermo del Toro signant quatre ans plus tard le meilleur épisode de la trilogie…mais ceci est une autre histoire…
Je suis certain d’avoir connu Blade via le dessin animé Spider-Man, où il était déja un dhampire. Mais avec une veste de motard en cuir en lieu et place du trench pré-Matrix. C’est d’ailleurs pour ça qu’un jour, allant d’un pas mou vers l’école, je repérais l’affiche du fim dans le bus en me disant " Nooooon, c’est pas lui ? Mais nom d’une araignée, si, c’est lui !!! "
Mais peut-être que les divers branches de Marvel se parlaient à l’époque, alors que de nos jours, il faut 79 médailles de gymnastiques mentales pour presque réussir à recoller ne fut-ce que ce qui se passe entre divers comic books. Ceci expliquerait bien cela
Le film était déjà en développement et Marvel a utilisé certains éléments dans le dessin animé. C’est aussi pour ça que Whistler a fait ses débuts sur le petit écran (et qu’il n’avait pas encore le look de Kris Kristofferson)…
(perso Blade c’est la meilleur adaptation du Marvel des années 70, Blade 2 aussi c’est la meilleure adaptation : celles des comics Image du début des années 90)
Merci, ceci explique cela : les gens se parlaient entre eux malgré leur appartenance à divers départements.
Aujourd’hui , ça ressemble plus à des ordres " Hey Aaron, fous des elfes noirs dans Thor . Remender, détruis les liens de parentés entre Wanda et Magneto, la Fox est pas à Disney (oups, ces impatients j’vous jure ) ! "
(perso Blade c’est la meilleur adaptation du Marvel des années 70, Blade 2 aussi c’est la meilleure adaptation : celles des comics Image du début des années 90)
Mêe en conspuant le 3 , force est de constater qu’aucun des films ne ressemble aux autres, chacun ayant son identité. Le 2 se la joue plus cool , cuir, latex et pré-Underworld sexy .
En voyant Daybreaker, je me suis souvent demandé si un traitement de Blade 3 - qui avait un temps été envisagé comme une sorte de Old Man Blade mixé avec Je suis une Légende - avait été écrit et avait circulé.
(perso Blade c’est la meilleur adaptation du Marvel des années 70, Blade 2 aussi c’est la meilleure adaptation : celles des comics Image du début des années 90)
C’est c’là oui…« perso », en effet…^^
Mais on y reviendra, je causerai aussi des deux autres…
Civil War mec !
(Team Cap)
En voyant Daybreaker, je me suis souvent demandé si un traitement de Blade 3 - qui avait un temps été envisagé comme une sorte de Old Man Blade mixé avec Je suis une Légende - avait été écrit et avait circulé.
Ca ressemble fortement au projet d’adaptation du roman de Matheson par Carpenter je me dis
Civil War mec !
(Team Cap)
Si Millar avait été subtil ( mais il n’existe aucun univers dans le Multivers où cela est possible ) , Stark n’aurait pas été écrit comme un psychopathe prêt à tout pour faire adopter le décret.
Millar a cassé Marvel cette année là. Pour toujours. Pour quelques scènes sanglantes dignes d’un What If ( alors que tant de questions pouvaient être posées et des réponses multiples proposées ).
Si Millar avait été subtil ( mais il n’existe aucun univers dans le Multivers où cela est possible ) , Stark n’aurait pas été écrit comme un psychopathe prêt à tout pour faire adopter le décret.
Pour moi le véritable Civil War, je l’ai vu dans la deuxième partie du Thor de Jurgens. Quand Iron Man s’oppose à Thor. Science contre croyance.
Millar a cassé Marvel cette année là. Pour toujours.
Et Hickman s’est empressé de piétiner les miettes, pour empêcher toute réparation. Son Time Runs Out donne tellement l’impression qu’il s’acharne sur le cadavre.
Jim
Bennnnnnnnnnn
(je relis tout son run sur les Vengeurs et franchement c’est limite le moins pire pour ce qui est de New Avengers/Iluminaconnards)
(en fait le problème de son run c’est que 2 ans pour un truc abscons que tu pouvais faire en 6 mois ca aurait vraiment eu plus de gueule et évitait de garder l’image persistante d’héros débilotrouducul)