Tiens, un autre :
Jim
Tiens, un autre :
Jim
Je n’ai pas l’impression.
Ou plus précisément, ce sont les deux seuls exemples que j’ai en tête. Il y en a peut-être d’autres.
Je pense que des séries ont été créées directement pour le marché des comic shops, sans passer par la case kiosque. Omega Men, peut-être ?
Jim
J aime beaucoup cet arc Eye for an eye… je l ai toujours en VF
Légion, j’ai lu en VF, et notamment celui-ci (j’ai récemment complété la série Héros 2000, chez Sagédition, qui reprend la fin de la période Shooter, avec souvent Grell au dessin), mais c’est vraiment la série qui ne m’a jamais accroché. En creusant un peu, je découvre qu’un des trucs qui manque à la série, avant « The Great Darkness Saga », c’est vraiment un projet d’ampleur, une période stable avec des auteurs réguliers qui lancent des choses sur le long terme.
La série a souvent été constituée de récits indépendants, avec de vagues fils rouges au mieux, ou carrément des idées abandonnées ou transformées suite au départ d’un auteur, ce genre de choses. Si bien qu’en tant que lecteur, je ressentais un manque de tonalité, d’identité, de personnalité. Tout cela était accentué par le fait qu’il y a beaucoup de personnages et que je n’arrivais pas à les identifier (j’ai toujours été rétif aux dénominations genre Machin Boy et Trucmuche Girl) et encore moins à éprouver quelque chose pour eux.
J’avais raccroché quelques wagons avec la période Abnett & Lanning, et notamment grâce à l’édition Semic du début de leur prestation. Mais ça n’a pas suffi. J’aimais bien leurs apparitions dans d’autres séries (dans les Superman de Geoff Johns et Gary Frank, par exemple), mais je n’ai jamais accroché à la série dédiée. Il y a quelques années, j’ai acheté les quatre tomes de la version Showcase, ce qui m’a permis de lire les épisodes de Jim Shooter (quand il avait treize ou quatorze ans). Et il est indéniable que ses récits sont meilleurs. Même si j’aime bien l’approche d’un Binder ou d’un Hamilton, voire d’un Siegel, qui jonglent avec des idées SF, les aventures écrites par Shooter s’intéressent aux personnages (la création de Karate Kid, le recrutement de Colossal Boy dans la Legion of Super-Villains, je crois que c’est de lui…), leur donnent un peu plus d’épaisseur.
Il faut reconnaître que la série, c’est un peu le foutoir. Au départ, c’est un peu une blague, le prétexte à une histoire marrante de voyage dans le temps destinée à montrer que Superboy est important parce qu’il suscite une admiration même mille ans plus tard. Puis peu à peu ça devient sérieux. Mais la série passe entre plusieurs séries, en back-up dans les sommaires. Donc déjà, faut suivre. Et l’on voit bien que les editors ont du mal à trouver des auteurs décidés à rester (c’est frappant durant la période O’Neil). Et tout cela n’aide pas à donner une identité forte à la série.
Je vais faire une comparaison : si les Detective Comics d’Englehart et Rogers sont à ce point salués, c’est, indépendamment de leurs évidentes qualités, en partie dû au fait que la formule proposait une stabilité au titre qui n’en avait pas dans les années qui précèdent. Et on notera qu’à partir de cette période, on assiste à l’installation de scénaristes (Len Wein d’abord, ensuite Gerry Conway puis Doug Moench…) et de dessinateurs (par exemple Don Newton, ou Gene Colan…). On est en 1977 et je crois qu’on peut affirmer sans risque que c’est en partie lié à la présence de Jenette Kahn aux commandes. Elle est arrivée début 1976, et elle doit trouver des solutions par rapport à l’augmentation du prix du papier et des encres. L’une de ses solutions consistent à augmenter les prix mais aussi la pagination, à transformer les comics en « 100-pagers ». Elle se prend frontalement les problèmes de la « DC Implosion » (retard de fabrication, hiver rigoureux, problèmes de distribution). Mais dans le même temps, elle cherche à recruter des talents et à fédérer une écurie d’auteurs (c’est elle qui fait venir Englehart chez DC). Et si on regarde la production DC, on peut constater que la période 1976-1978 correspond au moment où les équipes stables arrivent, où la pagination cesse de fluctuer au gré des chemins de fer à remplir, etc. Bizarrement, c’est également dans ces années que le catalogue DC commence à se renforcer, ce qui conduira, au début de la décennie suivante, à associer des auteurs à des séries (Levitz et Giffen sur la Légion, Wolfman et Pérez sur les Jeunes Titans), et à renouer avec le succès.
Des personnages comme Superman ou Batman (ou plein d’autres parmi les figures de proue) peuvent résister à un traitement éditorial chaotique. Mais pour la Légion, ça me semble plus difficile. Et j’aurais tendance, à l’aune de ce qui est dit plus haut, à penser qu’il faudra attendre les années 1980 pour que la série trouve son identité.
Jim
J ai eu une periode où le concept d Ultra Boy me fascinait… avoir tous les pouvoirs de superman mais ne pouvoir en utiliser qu un à la fois… je sais pas j adorais… et vraiment eye for an eye est un arc que j aime beaucoup.
Mais j ai ausi été déçu par Darkness quand je l ai reconstitué en single VO…
Pourtant j aime bien aussi les Hero 2000 (que ja i aussi encore)
Ouais, j’aime beaucoup, même si j’ai toujours l’impression que personne n’en fait rien.
J’aime bien Colossal Boy (pouvoir sympa, famille envahissante), j’aime bien Dawnstar aussi (pouvoirs cools et look d’enfer). Après, y en a quelques-uns dont je m’étonne encore qu’ils soient dans le groupe alors que certains membres des Subtitutes sont épatants (je pense notamment à cette nana qui a une super-force dès qu’elle est dans le noir, c’est génial, comme idée).
Je les ai complétés récemment. Ça tombe sur une période qui est déjà bien le foutoir en VO. Mais les dessins de Grell et Nasser sont chouettes.
Jim
J’avais toujours espéré une suite tant j’ai aimé ce Semic Book.
Je viens de regarder la date de sortie. Apparemment, août 2004. Environ deux mois avant le départ de Thierry Mornet, quatre mois avant le mien. Grosso modo, le temps qu’on sache si c’était un succès ou pas, il n’y avait plus personne pour s’occuper d’une éventuelle suite.
Jim
Évocation du Flash de Morrison et Millar par le Seigneur de Babylone !
Jim
Batman: The Caped Crusader tome 1, par le même aristocrate !
Jim
Double évocation de Golden Age (bientôt en VF chez Urban) :
Jim
Wonder Woman by George Pérez Omnibus, commenté par Ninesisters :
Jim
On en a parlé récemment, ici et ailleurs, la Légion des Super-Héros a débuté dans les aventures de Superboy : trois super-gamins du futur arrivent dans la petite bourgade de Smallville en 1958 et racontent au jeune Clark Kent qu’ils sont des admirateurs.
C’est sur cette base que les scénaristes Dan Abnett et Andy Lanning démarrent leur dernière grosse saga consacrée à la Légion, en 2003. Rappelons qu’ils travaillent sur la licence depuis plusieurs 1999. Ils sont arrivés sur les titres du groupe avec les dessinateurs français Olivier Coipel et Pascal Alixe, et raconté l’invasion de la galaxie par une race de zombies cybernétiques dénommée Blight. Par la suite, ils ont raconté la chute du groupe, sa dispersion (dans Legion Lost), sa reconstruction (dans Legion World) avant de redonner un titre stable (Legion) au groupe, qui est parvenu à reconstruire son monde. Non sans être passé par des épreuves que je n’ai pas lues, mais qui semblent gratinées.
Au numéro 25 de Legion, Abnett et Lanning décident de rendre hommage à l’héritage du groupe. Ils ouvrent l’épisode sur une reprise de la scène décrite plus haut, à la différence que Clark Kent est embarqué non pas par Saturn Girl et ses deux complices, mais par trois émissaires d’Apokolips. En attendant que ce mystère soit résolu, les deux scénaristes font le tour des personnages, ce qui permet au lecteur qui débarque (exemple : moi) de comprendre ce qui s’est passé, de faire connaissance avec des personnages nouveaux, de saisir le statu quo actuel et de prendre la mesure de ce que les héros ont affronté.
L’une des astuces du tandem est de mettre en scène des cadets destinés à devenir de futurs membres de la Légion, et qui servent ici de candides par lesquels passe l’information. Les personnages sont bien expliqués, riches, sensibles. C’est plutôt bien joué. Certains segments de l’épisode sont confiés à d’autres dessinateurs, dont Dave Cockrum pour les pages consacrées à Mekt Ranzz, ou le trop rare Paul Rivoche, qui retrace le parcours d’Element Lad (ce qui m’a furieusement donné envie de compléter l’édition en recueil, tonnerre !). Pendant qu’une partie des héros fait la visite des lieux, une autre équipe enquête sur une perturbation spatio-temporelle, à l’issue de laquelle ils découvrent… Superboy. Plus précisément, le Superboy du moment, Kon-El, mais qu’importe, le clin d’œil fonctionne.
Ce n’est pas le seul coup de théâtre de l’épisode, qui est rempli de références, d’informations, de pistes pour la suite. L’épisode 26 ne tarde pas à exploiter tout cela : on revient sur le monde d’Apokolips et sur la figure de Darkseid, qui ressemble à une statue de pierre endormie que des adeptes, ou « Servants », s’apprêtent à ranimer. Deuxième référence, donc : Abnett et Lanning emploient les termes utilisés par Levitz et Giffen dans « Great Darkness Saga », démontrant que l’épopée en cours est construite en vue de faire références à l’histoire de la série.
De leur côté, Superboy et ses nouveaux amis affrontent les émissaires de Darkseid, tandis que Quantum Kid ressent d’étranges effets de déjà-vu (via des astuces visuelles que les deux scénaristes ont déjà exploitées dans Force Works). Bien vite, Brainiac 5 comprend ce que les adversaires projettent : utiliser la matière noire de l’univers afin de créer un Boom Tube géant.
À travers ce dispositif de téléportation, Darkseid parvient à convoquer un double de lui-même, plus jeune, dans lequel il envisage de se réincarner. Bien entendu, le jeune Darkseid n’est pas d’accord, la Légion intervient, les paradoxes temporels se multiplient (et les Superboy aussi), tout ça tout ça… C’est très sympa, rapide, enlevé, bien caractérisé. On sent aussi qu’Abnett et Lanning prennent plaisir à rendre hommage, mais se contentent de livrer une intrigue bien huilée pour faire plaisir aux exigences éditoriales du moment tout en faisant des clins d’œil aux lecteurs (il y a même une troisième énorme référence, que je vous laisse le soin de découvrir : les auteurs sont généreux). On sent bien que le gros morceau de leur prestation est passé. Ce qui n’enlève rien au plaisir de lecture.
L’autre mission des scénaristes consiste à présenter le monde de la Légion tel qu’il a été reconstruit (et peut-être à préparer le terrain pour les projets de Geoff Johns). L’épisode 27, qui utilise l’astuce classique du journaliste faisant son reportage dans les coulisses, est particulièrement agréable à ce niveau, parce qu’il permet une caractérisation plus poussée, notamment de Cosmic Boy.
Graphiquement, c’est plutôt chouette. Chris Batista assure les pages intérieures, dans son style propre et lisse, sans doute un peu trop sage, mais séduisant. Assez lumineux, ce qui fait un bien fou après les épreuves vécues par les héros. Il est aidé de Tony Harris, qui signe les couvertures ainsi que certaines séquences des épisodes 25 et 27. L’ensemble est agréable à l’œil, assez vivant, futuriste avec justesse.
Cette saga, qui constitue le dernier gros tour de piste du tandem, a été compilée dans un TPB intitulé The Legion: Foundations. Le gros point de ce recueil, c’est de m’avoir donné envie de lire le reste de leur prestation, que je connais fort mal.
Jim
Superboy #147 : Les origines de la Légion, et l’attentat contre R. J. Brande
Superboy and the Legion of Super-Heroes #221, 223, 224 et 227 : La saga de Pulsar Stargrave et Jim Shooter
Superboy and the Legion of Super-Heroes #237, par Paul Levitz et Walt Simonson
Superboy and the Legion of Super-Heroes #239, par Jim Starlin et Paul Levitz
Superboy and the Legion of Super-Heroes #240, par Paul Levitz, Jack C. Harris et Howard Chaykin
Superboy and the Legion of Super-Heroes #241 à 245 : « Earthwar », par Paul Levitz, Jim Sherman et Joe Staton
Legion of Super-Heroes #273, par Gerry Conway et Jimmy Janes : fin de la saga de Pulsar Stargrave
Legion of Super-Heroes: The Great Darkness Saga
Legion of Super-Heroes: An Eye For An Eye
The Legion by Dan Abnett and Andy Lanning, volume 2
Legion: Foudations, par Abnett & Lanning
Legion of Super-Heroes par Brian Michael Bendis
Ça donne envie. Mais ce n’était pas une autre Légion que l’originale ?
Ouais, c’est bien.
En regardant dans mon étagère, je m’aperçois que j’ai Legion Lost (qui constitue le menu du Legion by Abnett & Lanning volume 2) et le début de cette série, dans un « Monster Edition » en allemand (ça va pour comprendre l’histoire en gros, mais les subtilités, en matière notamment de caractérisation, m’échappent).
Je vais peut-être attendre de tout avoir dans l’ordre en anglais avant de relire.
Alors c’est un truc que je n’ai pas bien compris, parce que je n’ai suivi que de loin, mais je crois qu’il y a une explication du genre les uns sont les clones des autres. Et pas tout à fait à la même époque. Il me semble que, dans les années 1990, l’équipe dans Légion of Super-Heroes et celle dans Legionnaires ne sont pas composées des mêmes héros. Mais sur cette période, je suis passablement largué (d’autant que j’ai cru comprendre qu’il y a, à un moment, une sorte d’univers de poche créé par Glorith). La découverte de tout ceci attendra des rééditions et sans doute un bon paquet d’années.
Jim
Je crois même que, en plus des clones, Zéro Hour a confirmé que la Légion d’avant ne peut exister sans un Clark Superboy. D’où une deuxième version, avec aussi des clones. Puis le crossover avec les Teen Titans de Geoff Johns mène à une troisième version, de Mark Waid. Avant que le même Johns ramène la première dans ses Superman, et qu’il aplanisse tout dans Legion of Three Worlds.
Mais je parle sans certitude…
Ça fait écho à des trucs que j’ai lus.
J’avoue que vraiment, je suis perdu dans cette partie de l’histoire de la série.
Quel foutoir, quand même !
Jim
À propos de la Légion, un petit récap des commentaires que j’ai récemment postés :
Superboy #147 : Les origines de la Légion, et l’attentat contre R. J. Brande
Superboy and the Legion of Super-Heroes #221, 223, 224 et 227 : La saga de Pulsar Stargrave et Jim Shooter
Superboy and the Legion of Super-Heroes #237, par Paul Levitz et Walt Simonson
Superboy and the Legion of Super-Heroes #239, par Jim Starlin et Paul Levitz
Superboy and the Legion of Super-Heroes #240, par Paul Levitz, Jack C. Harris et Howard Chaykin
Superboy and the Legion of Super-Heroes #241 à 245 : « Earthwar », par Paul Levitz, Jim Sherman et Joe Staton
Legion of Super-Heroes #273, par Gerry Conway et Jimmy Janes : fin de la saga de Pulsar Stargrave
Legion of Super-Heroes: The Great Darkness Saga
Legion of Super-Heroes: An Eye For An Eye
The Legion by Dan Abnett and Andy Lanning, volume 2
Legion: Foudations, par Abnett & Lanning
Legion of Super-Heroes par Brian Michael Bendis
Jim
Les deux principaux problèmes de la Légion sont que:
Les reboots sont décorrélés des relaunchs ce qui complique les choses pour rentrer dans la série.
C’est le titre le plus déconnecté des autres dans l’absolu (puisqu’il se passe au 31ème siècle) mais le plus impacté par les autres bureaux éditoriaux dans les faits (par exemple, les editors de Superman ou de la JLA ont toujours eu le dernier mot sur les intrigues liés aux 2 univers). Du coup ça a entrainé des retournements de plots soudains (au hasard, la Sensor Girl de Levitz qui devait être la Supergirl pré-COIE) et des retcons massifs dans tous les sens en cours de route qui ajoutent à la confusion.
Je vais essayer de résumer pour voir si j’arrive à clarifier tout ça (et ça me mettra en jambes pour certains articles sur la série que je veux écrire depuis un moment).
Jim a bien retracé la 1ère partie du parcours de la Légion et la première bizarrerie éditoriale (la 2de série Légion en direct sales) venue compliquer les choses.
Crisis vient ensuite en rajouter une couche en effaçant l’existence de Superboy même si dans un premier temps Byrne et Levitz trouve la parade avec un crossover malin entre la Légion et Superman.
Ainsi, on nous révèle que le Superboy rencontré par la Légion vient d’un univers de poche contrôlé par le Time Trapper.
Le jeune héros se sacrifie pour sauver tout le monde à la fin et tout le monde est content puisque les aventures de la Légion sont désormais déconnectées de celle de Superman sans que les évènements passés ne soient invalidés.
Sauf que quelque temps plus tard, le bureau des titres Supes change d’avis et décide (et réussit à imposer auprès de la direction) que la Légion ne doit plus faire aucune référence à leurs aventures passées avec le kryptonien.
Du coup, les editors et scénaristes sont obligés de procéder à des retcons massifs dans tous les coins.
Pour accomplir cette tâche monumentale visant à réécrire 30 ans de la série, ils vont utiliser le crossover Invasion et la menace des Dominators comme rampe de lancement.
Ce dernier sert à lancer 2 séries se déroulant à notre époque:
Valor (consacrée à Mon’El le Daxamite) qui prend dorénavant la place de Superboy comme source d’inspiration de la Légion. La série devrait plaire à Jim avec son héros cosmique novice et un ton similaire à Quasar. Et puis, elle est écrite (en partie) par 2 experts de la continuité: Kurt Busiek et surtout Mark Waid (qui entretient une longue relation avec la Légion).
L.E.G.I.O.N./R.E.B.E.L.S. qui suit les aventures de Vril Dox, ancêtre du Brainiac 5 de la Légion, et qui permet d’établir des ponts subtils (ou non) entre le présent et le futur pour réécrire l’histoire du 31ème siècle au fur et à mesure. Cependant cette version présente de la « Légion » peut très bien se lire indépendamment et est ultra-savoureuse avec son assemblage de pourritures (dont Lobo) qui passent leur temps à se trahir les uns les autres. Une sorte de Suicide Squad / Thunderbolts en plus acide.
La suite de l’historique compliqué… après mon petit déjeuner
Merci pour cet éclairage.
Ouais, j’ai lu ça dans un des recueils de la collection Man of Steel, faut que je relise parce que c’est parti un peu loin.
C’est un peu con, quand même.
Tiens, ouais, j’avais pas compris à quel point c’était important pour la Légion, ce cross-over.
Je l’ai lue, je l’ai même chroniquée dans Scarce. C’est très sympa. Après, cet article a valu des discussions à n’en plus finir. Le rédacteur en chef a changé une partie de l’article sous prétexte que certaines informations y étaient fausses. Or, elles reposaient sur des dialogues dans la série, et il arguait que l’explication valable était ailleurs dans une autre série (et relative à Glorith). Alors d’une, c’est donc devenu mon dernier article dans Scarce (parce que faut pas exagérer), et de deux, c’est le signe que c’est bien compliqué, quand même.
Mais ouais, c’est une série sympa. Et assez jolie, en plus.
Jim